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Gluck, Orphée et Euridice, opéra en trois actes. Paris, Des Lauriers, sd [1774]. Seconde édition, en partie originale (la pièce a été refaite). Velin à coins moderne.

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Gluck, Orphée et Euridice, opéra en trois actes. Paris, Des Lauriers, sd [1774]. Seconde édition, en partie originale (la pièce a été refaite). Velin à coins moderne.

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En vente le mercredi 11 sept. : 10:00 (CEST)
joue-les-tours, France
Hôtel des ventes Giraudeau
+33247377171

Exposition des lots
mardi 10 septembre - 14:00/17:00, Hotel des Ventes Giraudeau - Maîtres Jabot, Gauthier et Bensaiah
mercredi 11 septembre - 09:00/10:00, Hotel des Ventes Giraudeau - Maîtres Jabot, Gauthier et Bensaiah
mercredi 11 septembre - 13:00/14:00, Hotel des Ventes Giraudeau - Maîtres Jabot, Gauthier et Bensaiah
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OPERA - VERDI Giuseppe (1813 - 1901) - Lettre autographe non signée Lettre autographe non signée (la dernière partie est incomplète), non datée (mais entre décembre et janvier 1869), du célèbre compositeur italien, adressée à "C.[aro] G.[iulio]", le célèbre éditeur de musique Giulio Ricordi. Une lettre musicale très intéressante sur le remaniement partiel souhaité par le musicien après la première représentation très réussie de son opéra "La Forza del Destino" à Saint-Pétersbourg le 10 novembre 1862. Le librettiste de l'opéra en question était F. M. Piave, mais comme celui-ci, pour des raisons de santé, n'était pas en mesure d'apporter au texte les modifications que Verdi jugeait nécessaires, il eut recours à l'œuvre d'Antonio Ghislanzoni. Le travail fiévreux de remaniement - tant du texte que de la musique - fut effectué par l'intermédiaire de Giulio Ricordi, comme l'indique Abbiati (vol. 3° p. 244 ff.) qui mentionne trois lettres entre Giulio et Verdi à ce sujet, sans en indiquer le contenu. Les changements sont intervenus au dernier acte et Verdi en parle comme suit au début de la lettre : Je ne voudrais pas mettre l'air d'Eleonora au début du dernier acte. J'ai essayé de trouver une dissolution que vous soumettrez à Ghislanzoni..." et, preuve supplémentaire de la grande importance que Verdi accordait au texte de ses opéras, le voilà occupé à "suggérer" une nouvelle version de la scène VII et du dernier acte 4 de l'opéra. En réalité, dans son texte final, cette scène VII a été divisée en trois scènes (VII-VIII-IX) et les paroles du maestro ont subi d'autres changements, en partie certainement imposés par le librettiste, mais en partie souhaités par Verdi lui-même lorsqu'il a retouché la musique. (Cela ressort également du texte d'une autre lettre de Verdi à Ricordi en notre possession, où le musicien lui-même retouche encore les paroles pour les adapter aux exigences musicales). La lettre - malheureusement incomplète à la fin de cette période - se termine par un intéressant ...