VIETNAM (probablement province de Thanh Hoa) dans le goût DONG SON 

Hache pédif…
Description

VIETNAM (probablement province de Thanh Hoa) dans le goût DONG SON Hache pédiforme à talon carré (rìu) en bronze Décor incisé d'un cervidé entouré de motifs géométriques Belle patine couleur jade 8 x 8.8 cm (Oxydation et usures) Provenance : Ancienne collection d'un ambassadeur de France au Vietnam puis par descendance Les Routes de la Soie, partie II, vente 2024, étude Adjug'art, lot n°280 Comparatif : Une hache présentant un décor similaire, mais moins oxydé, conservé au Musée Cernuschi (n° d'accession MC 7363). Une autre présentant une scène de chasse d'un cervidé conservé au Musée National d'Histoire du Vietnam à Hanoi. Bibliographie : C. NOPPE, J. GUILLAUME, L. MARTINOT, G. WEBER, Analyse de quelques bronzes de la Culture de Dong Son (Vietnam) et de tradition dongsonienne à Java, Les cahiers de Mariemont, vol. 39, 2010, p. 40 fig. 8a. Veuillez demander les rapports de condition avant la vente : ils ne sont pas intégrés dans les fiches.

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VIETNAM (probablement province de Thanh Hoa) dans le goût DONG SON Hache pédiforme à talon carré (rìu) en bronze Décor incisé d'un cervidé entouré de motifs géométriques Belle patine couleur jade 8 x 8.8 cm (Oxydation et usures) Provenance : Ancienne collection d'un ambassadeur de France au Vietnam puis par descendance Les Routes de la Soie, partie II, vente 2024, étude Adjug'art, lot n°280 Comparatif : Une hache présentant un décor similaire, mais moins oxydé, conservé au Musée Cernuschi (n° d'accession MC 7363). Une autre présentant une scène de chasse d'un cervidé conservé au Musée National d'Histoire du Vietnam à Hanoi. Bibliographie : C. NOPPE, J. GUILLAUME, L. MARTINOT, G. WEBER, Analyse de quelques bronzes de la Culture de Dong Son (Vietnam) et de tradition dongsonienne à Java, Les cahiers de Mariemont, vol. 39, 2010, p. 40 fig. 8a. Veuillez demander les rapports de condition avant la vente : ils ne sont pas intégrés dans les fiches.

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Asie. Manuscrit en langue Lolo de la province du Sichuan en Chine (près de Mapien). [2] ff. vierges, [10] ff. manuscrits à l'encre noire, [14] ff. vierges, sur papier fin, [1] f. de couverture de papier noir, le tout enroulé et placé dans un étui tube avec un petit croissant de soie brochée avec rubans vert et rose. Dim. des feuillets déroulés : 50 x 22,5 cm. Les Yi sont un groupe ethnique de Chine. Leur ancien nom, Lolo ou Luóluǒ (倮倮, luóluǒ, « dénudé »), est maintenant considéré comme péjoratif en Chine, mais est toujours utilisé de façon officielle au Viêt Nam (Lô Lô) et en Thaïlande (Lolo, โล-โล), où il ne revêt pas cette signification dans la langue locale. On dénombrait 7,8 millions d'individus en 20002, qui représentent le sixième plus grand groupe ethnique des 56 officiellement identifiés par la république populaire de Chine. Ils vivent principalement dans des secteurs ruraux du Sichuan, du Yunnan (notamment Xian autonome yi d'Eshan), du Guizhou et du Guangxi, habituellement dans des régions montagneuses. Les Yi parlent une langue tibéto-birmane, le yi, dont il existe de nombreuses variétés et qu'ils écrivent avec le syllabaire yi. Les noms Lolo, Lolopu, etc. sont reliés à la vénération des tigres parmi les Yi ; dans leurs dialectes, le mot « lo » signifie « tigre ». « Lo » est aussi la base du nom chinois pour le groupe, Luóluó (猓猓, 倮倮, ou 罗罗). Les Yi sont des descendants du peuple antique des Qiang de l'ouest de la Chine, peuple que l'on pense être l'ancêtre des peuples tibétain, naxi et qiang actuels. Ils ont émigré du sud-est du Tibet au Sichuan et dans la province de Yunnan, où la majorité de leur population réside maintenant. Au Xve siècle, une petite partie de l'ethnie Lolo s'est installée dans la région du Tonkin (actuel Vietnam). On compte aujourd'hui deux sous-groupes au Vietnam : les Lolos Fleuris vivant dans les districts de Méo Vac et Dong Van (Province de Ha Giang) et les Lolos Noirs vivant dans le district de Bao Lac (Province de Cao Bang). En 1726, sous la dynastie Qing, l'officier mandchou, Ortai tente d'abolir le système des tusi dans sa politique de réforme de gouvernance. En 1730, lors d'un de ses rapports à l'empereur Yongzheng, il lui fait remarquer que les populations sont fidèles aux officiers natifs, mais pas à l'autorité chinoise. Plus de 30 000 Yi ont ainsi été abattus dans la petite ville de Mitie. À Wumeng, Dongchuan, Zhenxiong, les peuples des minorités ethniques et les migrants chinois ont été tués par 20 000 militaires conduits par Ortai. Un grand nombre de Yi se sont alors échappés dans les monts Liangshan au Sichuan. (source Wikipédia.)

Lakshmi de style Trà Kieu ; Vietnam, civilisation Champa, Xe siècle. Roche sédimentaire. Certificat d'authenticité ci-joint du spécialiste Ha Thuc Can. Dimensions : 65 x 39 x 26 cm. Sculpture taillée dans la roche sédimentaire représentant Lakshmi, assise, les jambes croisées et les mains sur les genoux, le torse nu et les yeux fermés dans une attitude de prière. La pièce n'a pas été travaillée dans la partie arrière, ce qui indique qu'elle a été conçue pour être vue de face. En ce qui concerne la sculpture, la volupté des formes est remarquable. Lakshmi est l'une des principales déesses de l'hindouisme. Elle est la déesse de la richesse, de la fortune, du pouvoir, de la beauté, de la fertilité et de la prospérité et est associée à Maya. Avec Parvati et Saraswati, elle forme le Tridevi des déesses hindoues. Lakshmi est à la fois l'épouse et l'énergie divine (shakti) du dieu hindou Vishnu, l'Être suprême du vaishnavisme ; elle est également la déesse suprême de la secte et aide Vishnu à créer, protéger et transformer l'univers. Chaque fois que Vishnu est descendu sur Terre en tant qu'avatar, Lakshmi l'a accompagné en tant que consort, par exemple Sita et Radha ou Rukmini en tant que consorts des avatars de Vishnu, Rama et Krishna, respectivement.Trà Kieu a été la première capitale du royaume hindou du Champa, alors appelé Simhapura, entre le 4e et le 8e siècle après J.-C. Il ne reste rien de l'ancienne cité aujourd'hui. Il ne reste aujourd'hui rien de l'ancienne cité, à l'exception des murs rectangulaires. Si les monuments cham de Trà Kieu, dans la province de Quang Nam, ont été détruits, plusieurs magnifiques pièces de sculpture associées au site sont encore conservées dans des musées. Certificat d'authenticité ci-joint du spécialiste Ha Thuc Can.

Brahma ; Vietnam, Thap Nam, province de Binh Dinh, Champa, XIIe-XIIIe siècle. Grès. Dimensions : 95 x 52 x 11 cm. Stèle en grès représentant la figure de Brahma en relief. Dans le cadre de l'hindouisme, Brahma (littéralement "évolution" ou "développement", en sanskrit), est le dieu créateur de l'univers et membre de la Trimurti, la triade formée par lui-même (dieu créateur), Vishnu (dieu conservateur) et Shiva (dieu destructeur). Il existe plusieurs mythes sur l'origine de la Trimurti, mais le premier mythe est celui qui suppose Brahma comme le premier être créé par Brahman, voire comme la première personnification de cette divinité absolue, par qui tout a été créé. Ainsi, les trois dieux seraient des avatars d'un dieu unique, dans ses facettes de créateur, de conservateur et de destructeur. Brahma est l'époux de Sarasvati, la déesse de la connaissance. Cependant, étant le Créateur, tous ses enfants naissent de son esprit et non de son corps. Brahma n'intervient qu'occasionnellement dans les affaires des dieux, et rarement dans celles des mortels. Le Champa était une civilisation d'Asie du Sud-Est qui a prospéré le long des côtes de l'actuel centre et sud du Viêt Nam pendant une période d'environ mille ans, entre 500 et 1700 apr. Les Cham ont créé des sculptures de grès autonomes en ronde-bosse, ainsi que des sculptures de grès en haut et en bas-relief. En général, ils semblent avoir préféré sculpter en relief, et ont excellé en particulier dans la sculpture en haut-relief. La sculpture cham a connu une succession marquée de styles historiques, dont le principal a produit certaines des plus belles œuvres de l'art de l'Asie du Sud-Est.