Null JOSEP VILALTA TOR. Une jeune femme (d) Sculpture en bronze avec base en boi…
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JOSEP VILALTA TOR. Une jeune femme (d) Sculpture en bronze avec base en bois Signé 27x11x7 cm (sculpture). En bon état. Légères rayures sur la base.

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JOSEP VILALTA TOR. Une jeune femme (d) Sculpture en bronze avec base en bois Signé 27x11x7 cm (sculpture). En bon état. Légères rayures sur la base.

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École italienne ; première moitié du XVIIe siècle. "Le Christ expirant". Bronze argenté. Dimensions : 29 x 28 x 5 cm ; 38 cm (base). Le crucifix, d'une grande qualité exécutive, fait partie du groupe de bronzes de ce type du cercle Giambolo-Gnesco, datable entre la fin du XVIe et le début du XVIIe siècle. L'œuvre proposée ici présente des similitudes avec des exemples connus tels que : deux crucifix du couvent de la Santissima Annunziata, Florence ; celui du Smith College Museum of Art, Northampton ; un autre dans une collection privée, Sienne (reproduit dans P. Torriti, fig. 77) ; un autre dans une collection privée, Sienne (reproduit dans P. Torriti, fig. 77) ; et un autre dans le Smith College Museum of Art, Northampton. P. Torriti, fig. 77) ; trois autres exemples dans des collections privées (Catalogue d'exposition : "Giambologna 1529-1608", 1978, nos. 99, 100, 101) ; ainsi que la variante hybride du "Christ semi-vivant" au Musée municipal de Douai. En raison de la linéarité des plis du pagne, celui-ci se révèle être une œuvre de la génération postérieure à Giambologna, qui préférait les surfaces de tissu planes. Elle se distingue des exemples cités ci-dessus par une articulation anatomique vigoureuse et par l'exécution raffinée et détaillée des traits du beau visage et de la chevelure. Alors que dans les exemples cités, le Christ tourne la tête vers le haut et vers la droite, le Christ que nous examinons est le seul exemple où la tête est inclinée vers la gauche. La tête est inclinée vers la gauche, conformément à l'archétype graphique dont dérive le Christ vivant de la sculpture de Giambologna, c'est-à-dire le Crucifix conçu par Michel-Ange pour Vittoria Colonna vers 1540 (Londres, British Museum, inv. 1895-9-15-504r). Cf. Giambologna 1529- 1608. Sculptor to the Medici, catalogue d'exposition Edinburgh, London, Vienna, edited by C. Avery, A. Radcliffe, London 1978, nos. 98-104, pp.140-142. (K.J. Watson) ; P. Torriti, Pietro Tacca da Carrara, Gênes, 1984 ; M. Tommasi, Pietro Tacca, Pise, 1995 ; E. D. Schmidt, Scultura sacra nella Toscana del Cinquecento, in Storia delle arti in Toscana : il Cinquecento, édité par R. P. Ciardi, Florence, 2000, pp. 231-254, en particulier p.248 avec la note 83. Les crucifixions et les crucifiés sont apparus dans l'histoire de l'art et de la culture populaire dès avant l'ère de l'Empire romain païen. La crucifixion de Jésus est représentée dans l'art religieux depuis le quatrième siècle. C'est l'un des thèmes les plus récurrents de l'art chrétien et celui dont l'iconographie est la plus évidente. Bien que le Christ soit parfois représenté vêtu, il est habituel de représenter son corps nu, les parties génitales étant toutefois recouvertes d'un tissu de pureté (perizonium) ; les nus complets sont très rares, mais importants (Brunelleschi, Michel-Ange, Cellini). Les conventions de représentation des différentes attitudes du Christ crucifié sont désignées par les expressions latines Christus triumphans ("triomphant" - à ne pas confondre avec la Maiestas Domini ou le Pantocrator-), Christus patiens ("résigné" - à ne pas confondre avec le Christ de la patience-) et Christus dolens ("souffrant" - à ne pas confondre avec le Vir dolorum-). Le triumphans est représenté vivant, les yeux ouverts et le corps droit ; le patiens est représenté mort, la volonté totalement vidée (kenosis), la tête baissée, le visage à l'expression sereine, les yeux fermés et le corps arqué, montrant les cinq plaies ; le dolens est représenté de manière similaire au patiens, mais avec un geste de douleur, en particulier au niveau de la bouche.

Léon Carré, attr., Soldat dans le port Représentation d'un jeune soldat en uniforme de parade devant un mur dans le port, probablement un motif de sa ville natale Granville dans le département de la Manche en Normandie, peinture de genre finement fixée par glacis, huile sur toile, signée en bas à gauche "LCarré" et datée par incision [18]94, à droite sur la pierre peinte, désignation non interprétée "AC 33", faible craquelure, éclatement de la peinture, un peu à restaurer, encadré, dimensions du pli environ 32 x 25 cm. Informations sur l'artiste : en fait Léon Georges Jean-Baptiste Carré, également Léon Carre, français. Peintre, dessinateur, graphiste, graphiste utilitaire, concepteur de timbres et illustrateur (1878 Granville/Manche à 1942 Alger), représentant de l'École d'Alger, formation de décorateur à l'École des beaux-arts de Rennes en Bretagne, 1896 transfert à Paris à l'École nationale supérieure des beaux-arts, élève de Léon Bonnat et Luc-Olivier Merson, puis artiste indépendant à Paris, voyages à Alger en 1904 et 1905, bourse de deux ans pour un séjour à la Villa Abd-el-Tif à Alger en 1909-11, voyage d'étude en Espagne en 1911 et enthousiasme pour la représentation de corridas, après la Première Guerre mondiale, il se consacre à la peinture sur bois. Il travaille surtout comme graphiste utilitaire, crée en 1927 des peintures décoratives pour le paquebot "Île de France", réalise en 1926-32 des illustrations pour une édition en 12 volumes des "Mille et une nuits", fréquente dès 1900 le Salon de la Société des Artistes Français, à partir de 1905 au Salon de la Société des Artistes Indépendants, en 1907 au Salon de la Société nationale des beaux-arts et en 1911 au Salon d'Automne, nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1936, travaille à Paris et depuis env. 1939 à Alger, source : Thieme-Becker, Vollmer, Saur "Bio-Bibliographisches Künstlerlexikon", AKL, Bénézit et Wikipedia.