Null NIEUHOF, Johan (1618-1672). Legatio Batavica ad magnum Tartariae chamum Sun…
Description

NIEUHOF, Johan (1618-1672). Legatio Batavica ad magnum Tartariae chamum Sungteium, modernum Sinae emperorm. Amsterdam : Van Meurs, 1668. Exemplaire en excellent état, avec des planches clairement imprimées, de la première édition latine du récit des voyages de Nieuhof en Chine entre 1655 et 1657, au service de la VOC (Compagnie néerlandaise des Indes orientales), dans le but de convaincre l'empereur Qing d'ouvrir des relations commerciales. L'éditeur Van Meurs a commandé près de 150 gravures basées sur les croquis originaux de Nieuhof, illustrant l'œuvre avec des images du peuple chinois, de l'architecture et des infrastructures, des villes et des paysages, de la flore et de la faune. Cette importante iconographie de la Chine a influencé le goût européen pour la chinoiserie à la fin du XVIIe et au XVIIIe siècle. Folio, (306 x 200 mm). Frontispice gravé, page de titre avec vignette représentant Prudence, 1 grande carte dépliante 'Carte du Voyage', 35 planches gravées à double page, nombreuses illustrations dans le texte, en très bon état intérieur (manquent les portraits gravés de l'auteur et du dédicataire comme dans presque tous les exemplaires, qui n'ont probablement jamais été reliés). Reliure de l'époque en vélin rigide à la hollandaise, titre manuscrit au dos. (1)

229 

NIEUHOF, Johan (1618-1672). Legatio Batavica ad magnum Tartariae chamum Sungteium, modernum Sinae emperorm. Amsterdam : Van Meurs, 1668. Exemplaire en excellent état, avec des planches clairement imprimées, de la première édition latine du récit des voyages de Nieuhof en Chine entre 1655 et 1657, au service de la VOC (Compagnie néerlandaise des Indes orientales), dans le but de convaincre l'empereur Qing d'ouvrir des relations commerciales. L'éditeur Van Meurs a commandé près de 150 gravures basées sur les croquis originaux de Nieuhof, illustrant l'œuvre avec des images du peuple chinois, de l'architecture et des infrastructures, des villes et des paysages, de la flore et de la faune. Cette importante iconographie de la Chine a influencé le goût européen pour la chinoiserie à la fin du XVIIe et au XVIIIe siècle. Folio, (306 x 200 mm). Frontispice gravé, page de titre avec vignette représentant Prudence, 1 grande carte dépliante 'Carte du Voyage', 35 planches gravées à double page, nombreuses illustrations dans le texte, en très bon état intérieur (manquent les portraits gravés de l'auteur et du dédicataire comme dans presque tous les exemplaires, qui n'ont probablement jamais été reliés). Reliure de l'époque en vélin rigide à la hollandaise, titre manuscrit au dos. (1)

Les enchères sont terminées pour ce lot. Voir les résultats

Vous aimerez peut-être

C. HAMMER (1779-1864), L'Arcadie est partout, 1855, Christian Gottlob Hammer (1779 Dresde - 1864 ibid.) : L'Arcadie est partout, 1855, dessin à la plume Technique : Dessin à la plume sur papier, monté sur papier Date : 1855 1855 Description : Christian Gottlob Hammer est resté toute sa vie attaché à sa ville natale de Dresde : Christian Gottlob Hammer est resté toute sa vie attaché à sa ville natale de Dresde. Il a étudié à l'académie de Dresde à partir de 1794. Johann Philipp Veith, en particulier, lui a enseigné à partir de 1798 et l'a initié aux techniques de l'estampe. En 1816, il devint lui-même membre de l'académie et fut finalement nommé professeur associé en 1829. Ses œuvres étaient appréciées dans des cercles plus larges que celui, plus étroit, de l'enseignement. Johann Wolfgang Goethe, par exemple, l'apprécie comme "habile dessinateur de paysages", lui rend visite dans son atelier en 1810 et achète quelques-unes de ses gravures. La productivité de Hammer ne se limite pas à la réalisation de dessins. Il a également développé une importante activité de gravure, reproduisant non seulement ses propres dessins, mais aussi ceux d'autres artistes. Pour la "Bilderchronik" du Sächsischer Kunstverein, il réalise des gravures d'après des œuvres de Johan Christian Dahl, Caspar David Friedrich et Ernst Ferdinand Oehme, entre autres. Les gravures, basées sur ses propres dessins, représentent souvent des paysages, en particulier de Saxe, de Silésie et du nord de la Bohême. Pour son dessin de 1855 d'un paysage traversé par une rivière et fermé par des chaînes de montagnes à l'arrière-plan, Hammer s'est moins inspiré de l'environnement qu'il a vu que des concepts de paysages idéaux, comme ceux que l'on trouve chez les artistes de Dresde de la fin du XVIIIe siècle. À l'ère du réalisme et du plein air, il a de nouveau créé un mémorial obsédant de l'art du dessin d'autrefois. L'atmosphère calme et méridionale du dessin est rendue par l'architecture au centre de la scène et par le personnel. Le troupeau de bovins conduit sur le pont par un berger, par exemple, est une caractéristique commune des paysages idéaux de l'Arcadie. Ce qui frappe et confère à la feuille un charme tout à fait unique, c'est la manière dont les lignes sont tracées, que Hammer a fortement modelée sur le médium de l'art graphique. La présente feuille est dépourvue de traits spontanés et impulsifs ou de pentimenti qui suggéreraient la puissance créatrice immédiate de l'artiste. Les effets d'ombre et de surface s'inspirent également davantage des exigences du burin que de celles de la plume. C'est précisément pour cette raison que ce beau dessin révèle la clarté stricte d'une gravure sur cuivre et exprime ainsi le talent de Hammer à utiliser consciemment les effets du médium respectif d'une manière exceptionnelle. Mots clés : Paysage, pittoresque, Dresde, XIXe siècle, romantisme, paysage, Italie, Taille : Papier : 32,9 cm x 28,6 cm (13 x 11,3 in) Condition : Assez bon état. Légèrement taché dans la marge