Null Météorite Ghubara de type chondrite black xenolitique, présentant une face …
Description

Météorite Ghubara de type chondrite black xenolitique, présentant une face coupée et polie. Poids : 1950 g. Long : 180 mm. Larg : 130 mm. Haut : 60 mm. Lieu de découverte : sultanat d'Oman (il y a plusieurs centaines années). Commentaire : La matrice noire est constellée de chordes et de métal, fer et nickel. Ce spécimen constitue l'un des plus beaux exemples de chondrite. Prov : Vente Brunel-Dejean de La Bâtie - Histoire naturelle 9 avril 2018. Lot 21. Veuillez demander les rapports de condition avant la vente : ils ne sont pas intégrés dans les fiches.

Météorite Ghubara de type chondrite black xenolitique, présentant une face coupée et polie. Poids : 1950 g. Long : 180 mm. Larg : 130 mm. Haut : 60 mm. Lieu de découverte : sultanat d'Oman (il y a plusieurs centaines années). Commentaire : La matrice noire est constellée de chordes et de métal, fer et nickel. Ce spécimen constitue l'un des plus beaux exemples de chondrite. Prov : Vente Brunel-Dejean de La Bâtie - Histoire naturelle 9 avril 2018. Lot 21. Veuillez demander les rapports de condition avant la vente : ils ne sont pas intégrés dans les fiches.

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Paper money CARTAMONET. Tickets de la Cassa di Sconto de Florence 1817 Série complète de 5 tickets en impression fleur jamais apparue jusqu'en 2004 ; Le lot est composé de : 1 ticket de 100 Lires, 1 de 200 Lires, 1 de 300 Lires, 1 de 500 Lires et 1 de 1.000 Lires comme valeur maximale. Les pièces sont imprimées d'un seul côté, sur le pochoir le filigrane montre l'inscription "Cassa di sconto" en minuscules ; sur le billet un bord ondulé continu est mis en évidence dans le filigrane et dans la partie supérieure. Au centre de la carte, un ovale surmonté des armoiries du lys, avec à l'intérieur l'inscription "cassa di sconto biglietto di lire 100 (ou valeur du billet)". Sur les bords, en haut à gauche, se détachent les lettres ACDS (amministrazione cassa di sconto), en bas à droite CDS cassa di sconto . En bas à gauche est gravé le lion avec le lys, en haut à droite le caducée avec la corne d'abondance. Référence : Gavello volume no. 1 ancient paper money, p. 190. Le grand-duc Ferdinand III a jeté les bases de l'émission avec le MOTUPROPRIO du 31 décembre 1816, avec un capital de 120 000 scudi florentins. La banque a émis la première série de billets en 1817, puis a retiré et détruit tous les billets au bout de quelques mois en raison de la qualité du papier (très épais et falsifiable). Un autre type de papier présentant des caractéristiques de sécurité et un filigrane plus élevés a été utilisé, tout en conservant les mêmes dimensions, le même graphisme et les mêmes nominaux. Extrêmement rare, aucune apparition sur le marché de la série complète de 5 billets - FDS

Croix de procession en argent et argent doré. France ou Espagne Fin XVe - début XVIe siècle. La croix est ornée de plaques d'argent et argent doré ciselées, gravées et rivetées sur une âme de bois. Le montant et la traverse forment aux extrémités une fleur de lys découpée. Les fleurs de lys et les branches du montant sont ornées d'enroulements feuillagés terminées de fleurs épanouies, l'ensemble traité au repoussé sur fond amati. Les fleurs de lys et les branches de la traverse, sont ornées d'enroulements feuillagées terminés de fleurons traités en aplat sur fond amati. Chaque fleur de lys est précédée d'un quadrilobe, riveté, gravé pour trois des symboles des Evangélistes Saint Marc, Saint Jean, et Saint Matthieu, leurs noms repris sur des phylactères. Le quadrilobe situé sur la base de la croix, représente le Christ, nu et sans cheveu sortant du tombeau faisant un signe d'imploration. a la croisée, est fixée une plaque carrée gravée de la Cène . La scène présente, sur une même ligne, le Christ entouré de onze apôtres. Accoudée à la table, est-ce une représentation de la pécheresse ou de Saint Jean, souvent représenté au Moyen-Age appuyé contre le Christ. Devant la table nappée, dont le modelé est parfaitement reproduit grâce aux plissés du textile, se tient agenouillé un dernier personnage. La plaque est ornée aux écoinçons de quatre fleurons d'aristoloche. L'ensemble des ornements est souligné d'une fine frise de perles. Au revers, la croix présente de simples plaques d'argent lisse fixées par de nombreux clous à tête arrondie. Seul ornement, la plaque de la croisée, reprend le même traitement d'un pavé carré, fleuri aux écoinçons, gravé du Christ bénissant nimbé d'un disque crucifère. Le Christ, entouré de deux anges musiciens, assis sur un large siège décoré de branchage, bénit de sa main droite et tient de sa main gauche le globe. Le positionnement de sa main laissant apparaître sur le traitement du globe, une partie ondée, illustrant la mer, une partie gravée d'une étoile, illustrant le ciel. L'artiste représente ainsi le positionnement universel du Christ. Les tranches de la croix sont rivetées de plaques de cuivre et d'argent uni. La base est gainée d'une tige de cuivre soulignée de trois anneaux plats d'argent. (Rapportée) Orfèvre non identifié. Sans poinçon. Dim. : 54,5 x 44 cm Poids brut : 1123 g. Le traitement décoratif et le montage de notre croix est à rapprocher de différents exemples conservés en France. Citons ainsi une croix de procession datée du début du XIVe siècle, d'un orfèvre anonyme de Montpellier conservée à Oreilla dans l'église Sainte-Marie, à rapprocher de notre croix pour la présence de la frise de perles ourlant chaque élément décoratif et pour la plaque de la croisée. "Mémoires d'orfèvres" Hélène Palouzié. Editions Somogy. réf. 29 p.158. Une croix d'autel attribuée à Lille, datée du XIIIe siècle, à rapprocher pour le traitement décoratif des montants et les extrémités à découpe de fleurs de lys. "Les Orfèvres de Lille". Nicole Cartier. Editions Peeters. tome 2. p. 457. En Bretagne, citons une croix datée du XVIe siècle d'un orfèvre inconnu, sans poinçon, conservée à Lanleff dans les Côtes d'Armor. On y retrouve la découpe des extrémités précédée des quadrilobes ornés des symboles des Evangélistes, le traitement naturaliste gravés sur les montants, le fond amati, ainsi que la croisée ornée d'un motif carré. Sur cet exemple, vient se positionner le Christ crucifié en ronde bosse. La présence du Christ semble se généraliser sur ce type de croix à partir du XVIe siècle. Ce dernier élément, nous a permis d'avancer une datation du XVe siècle pour l'exemple présentée dans cette vente. Il est intéressant également de rapprocher les représentations de la Cène sur d'autres supports à l'époque qui nous concerne. Ainsi nous rapprochons le traitement de la Cène présentant des hosties sur la table, l'un en partie découpé, le second marqué des découpes à venir, manière de montrer l’équivalence entre Dernier Repas et Eucharistie. La représentation linéaire des Apôtres parallèles à la table dressée est à rapprocher du traitement de la frise sculptée de Notre Dame des Pommiers à Beaucaire dans le Gard. L’artiste nous offre une composition pleine de vie où la gestuelle des apôtres est différenciée et dynamique. Enfin il est intéressant d'observer sur les deux faces de la croisée, les visages paisibles et confiants du Christ, des apôtres et des anges.