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Description

Victor HUGO (1802-1885) Lettre autographe signée datée du 14 février sur papier vergé à entête du Sénat situé à Versailles en 187[...] adressée à Hippolyte Charamaule, 1 feuillet in-4 "Je vous écris d'ici, de chez vous, de la maison qui est votre maison, je tiens à ce que cette lettre vous vienne d'où elle doit vous venir. Les Sénats de la République l'expliquent et le justifient par le banc des vétérans, et quel vétéran meilleur que vous, quel lutteur plus éprouvé que Charamaule ! À ce nom je n'ajoute plus que celui-ci. Victor Hugo" (Rousseurs et petites pliures) On y joint une carte sur papier cartonné "Madame Victor Hugo restera chez elle le dimanche soir pendant le mois d'Avril" Rapport de condition disponible sur demande : [email protected] PROVENANCE Par descendance BIOGRAPHIE Après les évènements de 1848, Victor Hugo se rallie à la République et intervient en faveur de la réforme des ateliers nationaux, de la liberté de la presse et de l’abolition de la peine de mort. Il est élu à l’Assemblée nationale unique mise en place par la Constitution de 1848 qui instaure la IIe République, en tant que représentant de la Seine jusqu'au coup d'État du 2 décembre 1851. Victor Hugo connaît un exil de dix-huit ans sous le Second Empire et revient en France en 1870. En janvier 1876, il retrouve le Palais du Luxembourg quand les délégués l’élisent sénateur de la Seine. Jusqu’en 1879, le Sénat siègera à Versailles. NOTICE Cette lettre autographe est adressée à Hippolyte Charamaule, avocat élu à l'Assemblée de 1848, il vote en faveur de l'abolition totale de la peine de mort et lutte activement pour assurer la liberté de la presse aux côtés de Victor Hugo. Il est cité dans Victor Hugo, Histoire d'un crime, Tome 1 : "Charamaule est un homme de haute taille à la figure énergique et à la parole convaincue; il votait avec la gauche mais siégeait parmi la droite." et " Charamaule montra dès les premiers moments un courage qui, dans les quatre journées de la lutte, ne s'est pas démenti un seul instant" à propos du coup d’État de 1851.

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Victor HUGO (1802-1885) Lettre autographe signée datée du 14 février sur papier vergé à entête du Sénat situé à Versailles en 187[...] adressée à Hippolyte Charamaule, 1 feuillet in-4 "Je vous écris d'ici, de chez vous, de la maison qui est votre maison, je tiens à ce que cette lettre vous vienne d'où elle doit vous venir. Les Sénats de la République l'expliquent et le justifient par le banc des vétérans, et quel vétéran meilleur que vous, quel lutteur plus éprouvé que Charamaule ! À ce nom je n'ajoute plus que celui-ci. Victor Hugo" (Rousseurs et petites pliures) On y joint une carte sur papier cartonné "Madame Victor Hugo restera chez elle le dimanche soir pendant le mois d'Avril" Rapport de condition disponible sur demande : [email protected] PROVENANCE Par descendance BIOGRAPHIE Après les évènements de 1848, Victor Hugo se rallie à la République et intervient en faveur de la réforme des ateliers nationaux, de la liberté de la presse et de l’abolition de la peine de mort. Il est élu à l’Assemblée nationale unique mise en place par la Constitution de 1848 qui instaure la IIe République, en tant que représentant de la Seine jusqu'au coup d'État du 2 décembre 1851. Victor Hugo connaît un exil de dix-huit ans sous le Second Empire et revient en France en 1870. En janvier 1876, il retrouve le Palais du Luxembourg quand les délégués l’élisent sénateur de la Seine. Jusqu’en 1879, le Sénat siègera à Versailles. NOTICE Cette lettre autographe est adressée à Hippolyte Charamaule, avocat élu à l'Assemblée de 1848, il vote en faveur de l'abolition totale de la peine de mort et lutte activement pour assurer la liberté de la presse aux côtés de Victor Hugo. Il est cité dans Victor Hugo, Histoire d'un crime, Tome 1 : "Charamaule est un homme de haute taille à la figure énergique et à la parole convaincue; il votait avec la gauche mais siégeait parmi la droite." et " Charamaule montra dès les premiers moments un courage qui, dans les quatre journées de la lutte, ne s'est pas démenti un seul instant" à propos du coup d’État de 1851.

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