Null (EURE LOIR) – Odysse BAROT (1830-1907, journaliste, communard et romancier)…
Description

(EURE LOIR) – Odysse BAROT (1830-1907, journaliste, communard et romancier) / Correspondance de 15 lettres autographes signées totalisant 26 p in-8 et 2 p in-12, Années 1880-90, à Edmond Magnier, rédacteur-en-chef de «l’Evénement», au sujet de ses publications de feuilletons et nouvelles, plusieurs lettres sont envoyées d’Eure Loir (Lèves et la Forte-Maison à Saint-Prest)

402 
Online

(EURE LOIR) – Odysse BAROT (1830-1907, journaliste, communard et romancier) / Correspondance de 15 lettres autographes signées totalisant 26 p in-8 et 2 p in-12, Années 1880-90, à Edmond Magnier, rédacteur-en-chef de «l’Evénement», au sujet de ses publications de feuilletons et nouvelles, plusieurs lettres sont envoyées d’Eure Loir (Lèves et la Forte-Maison à Saint-Prest)

Les enchères sont terminées pour ce lot. Voir les résultats

Vous aimerez peut-être

Réunion de 7 ouvrages 19ème importants sur la Restauration: 1. MONTLOSIER (François-Dominique Reynaud, Comte de). Mémoire à consulter sur un système religieux et politique, tendant à renverser la religion, la société et le trône. Quatrième édition. Paris, Ambroise Dupont et Roret, 1826. Un volume. 12 par 20 cm. (4)-339 pages. Demi-basane vert sombre de l'époque, dos orné de motifs à froid. Rousseurs. 4e édition, parue la même année que l'originale. Fameux réquisitoire contre les Jésuites. 2. CAUCHOIS-LEMAIRE (L.-Aug.-Fr.) et GUYET: Appel à l'opinion publique et aux états-généraux du royaume des Pays-Bas, en faveur des proscrits français, contre leurs proscripteurs ; par MM. Cauchois-Lemaire et Guyet, domiciliés pendant dix-sept mois, à Bruxelles, sous la garantie de l'article IV de la Loi fondamentale ; exilés, le 24 mai 1817, en vertu d'une lettre de cachet lancée par M. le Comte de Thiennes, Ministre d'État. La Haye, Imprimerie Belgique, 1817. Un volume. 12 par 19,5 cm. 287 pages. Cartonnage bradel moderne. Papier légèrement roussi, sinon bon exemplaire. Edition originale. "Journaliste et pamphlétaire, [Cauchois-Lemaire] fut célèbre par la lutte qu'il soutint contre le gouvernement de la Restauration dans le Nain jaune, supprimé dès 1815 et remplacé par les Fantaisies et le Journal des arts et de la politique, qui eurent le même sort, puis le Nain jaune réfugié et le Vrai libéral publié à Bruxelles." (Vapereau, Dict. des littérateurs p. 307). Après un jugement du tribunal correctionnel de Bruxelles, il fut expulsé par le gouvernement belge. Réfugié à La Haye, il fit paraître, avec un autre proscrit, Guyet, ce manifeste qui lui valut une nouvelle expulsion. 3. Procès de la souscription nationale, jugé par la cour d'assises de Paris, le 1er juillet 1820 ; avec les réquisitoires officiels du ministère public, les plaidoiries entières de Messieurs les avocats, la réplique de Me Dupin, et tous les autres documens historiques et authentiques sur cette affaire ; recueillis par deux membres du barreau de Paris. Paris, Baudouin Frères et Delaunay, 1820. Un volume. 12 par 20 cm. (4)-III-(1)-387 pages. Cartonnage bradel moderne. Quelques rousseurs. Edition originale. "Le 26 mars 1820 fut portée une loi qui, dans certains cas, permettait de détenir les citoyens sans jugement : c'était une de ces lois qu'on a nommées lois d'exception. Plusieurs citoyens frappés des malheurs individuels que cette loi leur paraissait devoir entraîner, proposèrent d'ouvrir une Souscription nationale en faveur des citoyens qui seraient victimes de la mesure d'exception sur la liberté individuelle. Tel était le titre du prospectus qu'ils firent imprimer. Il portait les signatures de MM. Laffitte, Lafayette, d'Argenson, Kératry, Manuel, Casimir Périer, Benjamin Constant, le général Pajol, Gévaudan, Etienne, Odilon Barrot, Mérilhou, Joly (de Saint-Quentin), Dupont (de l'Eure) et Chauvelin […]." Le ministère, qui redoutait pour sa loi l'effet de la souscription, en fit poursuivre les auteurs. " 4. [CHATELAIN (René-Théophile)]: Voyage d'un étranger en France, pendant les mois de novembre et décembre 1816. Troisième édition. Paris, L'Huillier et Delaunay, 1817. Un volume. 12,5 par 20 cm. Pages [3] à 175. Demi-basane brune de l'époque. Reliure frottée. Rousseurs éparses. Le faux-titre manque. 3e édition, parue la même année que l'originale. Quérard II-p. 157. "L'auteur met en scène les prétentions gothiques des gentilshommes encroûtés de féodalité qui dominaient alors." 5. TIREL (Louis): La république dans les carrosses du roi. Triomphe sans combat. Curée de la liste civile et du domaine privé. Scènes de la révolution de 1848. Paris, Garnier Frères, septembre 1850. Un volume. 13,5 par 21,5 cm. 239-(1) pages. Cartonnage bradel moderne, couverture conservée. Rousseurs. Edition originale. "L'auteur était, au moment de la Révolution, contrôleur des équipages du Roi. Son livre a le ton d'un pamphlet violent, et cependant, il est utile à consulter pour l'histoire des combats qui se livrèrent, dans la matinée du 24, autour des Tuileries." (Crémieux). 6. MARTIGNAC (Jean-Baptiste-Sylvère de Gaye, Vicomte de): Défense et réplique pour M. le Prince Jules de Polignac, prononcées devant la Cour des Pairs. Deuxième édition. Paris, Imprimerie et Fonderie de J. Pinard, 1831. Un volume. 14 par 23 cm. (4)-220 pp. + 3 ff. dépl. h.t. de fac-similés. Demi-basane de l'époque, pièce de titre rouge. Rousseurs sur le cahier 8. 2e édition (E.O. : 1830) Défense du dernier chef de gouvernement de Charles X , promoteur des ordonnances du 26 juillet 1830, qui déclenchèrent la Révolution de 1830. 7. MARCELLUS (Marie Louis Jean André Charles Demartin du Tyrac, Comte de): Politique de la Restauration en 1822 et 1823. Paris, Jacques Lecoffre et Cie, 1853. Un volume. 14 par 22,5 cm. (4)-363-(1) pages. Broché, sous couve

Généraux et Maréchaux. Ensemble de 5 lettres de généraux et maréchaux du Second Empire : - AMBERT (Joachim, général, 1804-1890), L.A.S., Tours, 17 juin 1835, 3 pp. in-8, adressée à son oncle, directeur de l'enregistrement des domaines à Melun, à propos de l'affaire La Roncière (accusé, à tort, de viol par la fille du commandant de l'École de cavalerie de Saumur, le général de Morell, proche parent du Maréchal Soult, Émile de la Roncière (lui-même fils du célèbre général d'Empire, ennemi du maréchal Soult) est condamné le 10 juillet 1835 à 10 ans de prison. Il est finalement libéré et réhabilité au bout de quatorze ans et entame une brillante carrière coloniale.) : ""[…] cette affaire a un prodigieux retentissement et je ne doute pas que son importance ne m'appelle à Paris comme témoin. […] Je vous avoue que je suis tout attristé de cette pensée de paraître devant un tribunal, et d'occuper de moi des journalistes & un public. Je sais que je suis là dans l'Intérêt de la société et j'ai besoin de me rappeller cette devise que les Ambert de la première souche ont toujours mis en pratique : 'fais ce que dois advienne que pourra'.[…]"" Il continue en se disant épuisé du surcroît de travail donné par le nombre important de recrues. Il est découragé et pense parfois abandonner ""un métier si ingrat et si pénible, et de m'aller occuper à la Guadeloupe auprès de mon père des intérêts pécuniaires de toute la famille. ""[…] Mais je chasse ces idées et je reprends courage. Car les injustices m'ont rendu énergique. J'avance en âge et mon avenir ne se dessine pas, et tous mes rêves de bonheur disparaissent un à un ; tout cela est triste. […]"" - BONNAL (Henri, général, 1844-1917), L.A.S., slnd (mardi matin 9 heures), vers 1910 (selon une note manuscrite postérieure au crayon), lettre d'amour à sa ""Germaine adorée"". - GALLIFET (Gaston Alexandre Auguste, marquis de, général, 1830-1909), B.A.S., sl, 11 février 1896, 1 p. in-8 (""Monsieur, il n'a jamais été 'sérieusement' question de faire paraître mes mémoires […]"") + B.A.S., slnd (jeudi soir tard), à un ami à qui il donne rendez-vous (""[…] vous pourrez prendre, sur l'original, copie de 'L'Incident est clos'."") - TROCHU (Louis Jules, général, 1815-1896), L.A.S., Versailles, 28 février 1872, 1 p. in-8 à un collègue (demande 2 cartes d'entrée pour la séance de vendredi).