Description
EXPO J.E. BLANCHE 1943 / 1°) Fernand GUEY (1877-1964, peintre élève de Gustave Moreau, Peintre Officiel de la Marine, directeur du Musée de Peintures de Rouen)/ Correspondance de mars-avril 1943, au sujet de l’exposition rétrospective de Jacques-Emile Blanche à l’Orangerie à Parispar l’Entraide des Artistes, il s’adresse à Félicien CACAN (1880-1979, dessinateur, membre de l’Entraide des Artistes): 1 lettre autographe signée (2 p in-4), 1 carte autographe signée (2 p in-12) et 2 lettres dactylographiées signées (1 p et 2 p in-4), au sujet du choix des œuvres, des autorisations, du transport (Guey a mis à l’abri les toiles de Blanche au Château de Carouges dans l’Orne) / Joint: 2 lettres autographes signées - 2°) Louis HAUTECOEUR (1884-1973, Directeur Général des Beaux-Arts de 1940 à 1944) / 2 lettres autographes signées d’avril 1943 au sujet de cette exposition J.E. Blanche, 1 et 2 p in-8, à Félicien Cacan, il fait le point sur les tableaux en provenance de Carouges, Reims et Belfort, et s’inquiète pour le portrait de PROUST
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EXPO J.E. BLANCHE 1943 / 1°) Fernand GUEY (1877-1964, peintre élève de Gustave Moreau, Peintre Officiel de la Marine, directeur du Musée de Peintures de Rouen)/ Correspondance de mars-avril 1943, au sujet de l’exposition rétrospective de Jacques-Emile Blanche à l’Orangerie à Parispar l’Entraide des Artistes, il s’adresse à Félicien CACAN (1880-1979, dessinateur, membre de l’Entraide des Artistes): 1 lettre autographe signée (2 p in-4), 1 carte autographe signée (2 p in-12) et 2 lettres dactylographiées signées (1 p et 2 p in-4), au sujet du choix des œuvres, des autorisations, du transport (Guey a mis à l’abri les toiles de Blanche au Château de Carouges dans l’Orne) / Joint: 2 lettres autographes signées - 2°) Louis HAUTECOEUR (1884-1973, Directeur Général des Beaux-Arts de 1940 à 1944) / 2 lettres autographes signées d’avril 1943 au sujet de cette exposition J.E. Blanche, 1 et 2 p in-8, à Félicien Cacan, il fait le point sur les tableaux en provenance de Carouges, Reims et Belfort, et s’inquiète pour le portrait de PROUST
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