NOUVELLE-ORLEANS (Amérique) – Louis VARNEY (Nouvelle Orléans 1844-1908, composit…
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NOUVELLE-ORLEANS (Amérique) – Louis VARNEY (Nouvelle Orléans 1844-1908, compositeur d’opérettes, on connait toujours de lui «les Mousquetaires au Couvent») / Ensemble de 2 lettres autographes signées et un contrat autographe (projet) avec l’éditeur de musique HEUGEL, totalisant 8 p in-8

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NOUVELLE-ORLEANS (Amérique) – Louis VARNEY (Nouvelle Orléans 1844-1908, compositeur d’opérettes, on connait toujours de lui «les Mousquetaires au Couvent») / Ensemble de 2 lettres autographes signées et un contrat autographe (projet) avec l’éditeur de musique HEUGEL, totalisant 8 p in-8

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BEAULIEU, Claude-François. Nouvelles de Paris faisant suite à celle de Versailles, du 16 Octobre 1789, publiees le 17. Paris, Imprimerie de Seguy-Thiboust, 1789 8vo. 210x138 mm. Pages 8. Légères rousseurs marginales, bon état. Des nouvelles importantes sur les développements de la révolution sont données. En particulier les articles des lois criminelles provisoires votées le 9 octobre, et les "rumeurs" sur une mission secrète du duc d'Orléans à l'invitation du roi. A la page 5 : "Toutes les conservations du Palais Royal roulent maintenant sur le départ de Mgr le Duc d'Orléans. Les uns prétendent que c'est une mission relative aux subsistances ; d'autres que c'est pour ce concerter avec l'Angleterre sur une révolte des Nègres dans les Colonies des deux royaumes, & plusieurs enfin, que c'est pour prévenir une guerre étrangère qui nous menace, & ce dernier fait est plus vraisemblable.". Le périodique révolutionnaire "Nouvelles de Paris faisant suite à celles de Versailles" est fondé le 23 juin 1789. Le rédacteur en chef est Claude-François Beaulieu, 1754-1827, dont le nom figure à la page 8. Des nouvelles importantes sur les développements de la révolution y sont rapportées. En particulier les articles des lois pénales provisoires approuvées le 9 octobre, et les "rumeurs" autour d'une mission secrète du duc d'Orléans à l'invitation du roi. A la page 5 : "Toutes les conservations du Palais Royal roulent maintenant sur le départ de Mgr le Duc d'Orléans. Nous prétendons qu'il y a une mission relative aux substances ; d'autres qui sont là pour se concerter avec l'Angleterre sur une révolte des Noirs dans les Colonies des deux Royaumes, & plus enfin, qui sont là pour prévenir une guerre étrangère qui nous menace ici, & qui plus tard la rend plus probable"... Le périodique révolutionnaire "Nouvelles de Paris faisant suite aux cellas de Versailles" fut fondé le 23 juin 1789. Le rédacteur en chef était Claude-François Beaulieu, 1754-1827, dont le nom apparaît à la page 8.

Decret de la Convention Nationale, Du 16 Avril 1793 ... Qui ordonne l'interrogatoire des indivus de la famille des Bourbons, & Le sequestre des biens de celle des Bourbons-Orleans. Paris, Imprimerie Nationale Executive du Louvre, 1793 4to. 255x195 mm. Pages 3, 1 blanche. Légères traces d'usage. Première édition. La Terreur sévit en France. Toute la famille des Bourbons-Orléans est arrêtée. Le 4 avril, le duc de Chartres (futur Louis-Philippe Ier), fils aîné du duc Louis-Philippe d'Orléans, alors lieutenant général de l'armée du Nord, passe à l'ennemi autrichien avec son commandant, le général Dumouriez, auteur d'un coup d'État manqué. Le duc d'Orléans, connu depuis 1792 sous le nom d'Egalite, qui avait également voté l'exécution de Louis XVI, devient alors suspect aux yeux des Montagnards. Tous les membres de la famille Bourbon sont arrêtés le 7 avril 1793. La mesure concerne le duc d'Orléans, ses deux autres fils, le duc de Montpensier et Louis-Charles d'Orléans, comte de Beaujolais, et sa sœur Louise-Bathilde. La Convention décide d'éloigner toute la famille de Paris et ordonne son transfert immédiat au fort Saint-Jean à Marseille. Egalite fut guillotiné le 6 novembre 1793. 4to. 255x195 mm. Pp. 3, 1 blanche. Légères traces d'usure. Première édition. La terreur règne en France. Toute la famille des Bourbons-Orléans est arrêtée. Le 4 avril, le duc de Chartres (futur Louis-Philippe Ier), fils aîné du duc Louis-Philippe d'Orléans, alors lieutenant général de l'armée du Nord, passe à l'ennemi autrichien avec son chef, le général Dumouriez, auteur d'un coup d'État manqué. Le duc d'Orléans, dit Egalite depuis 1792, qui avait également voté l'exécution de Louis XVI, devient alors suspect aux yeux des Montagnards. Tous les membres de la famille Bourbon sont arrêtés le 7 avril 1793. La mesure concerne le duc d'Orléans, ses deux autres enfants, le duc de Montpensier et Louis-Charles d'Orléans, comte de Beaujolais, et sa sœur Louise-Bathilde. La Convention décide d'éloigner toute la famille de Paris et la transfère immédiatement au Fort Saint-Jean à Marseille. Egalite sera guillotiné le 6 novembre 1793.