MIRABEAU. Considérations sur l'ordre de Cincinatus, ou imitation d'un pamphlet a…
Description

MIRABEAU. Considérations sur l'ordre de Cincinatus, ou imitation d'un pamphlet anglo-américain. Londres, J. Johnson, 1785. In-8, demi-veau brun, pièce fauve, tranches rouges (Reliure vers 1820). Édition parue un an après l'originale. Mirabeau s'élève contre la constitution de cet ordre qui, pour lui, ne peut que créer une nouvelle aristocratie. Petit défaut à la pièce de titre.

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MIRABEAU. Considérations sur l'ordre de Cincinatus, ou imita

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MIRABEAU, Honoré Gabriel Riqueti, Comte ; de. Lettre autographe signée à "Mon cher Robert". Nyons, 12 octobre 1783 Un feuillet in 4to. 235x180 mm. Lettre écrite sur une page, encre sépia, écriture soignée parfaitement lisible. En haut "Nyon 12 8bre 1782". A la fin la signature 'Mirabeau'. "Oui mon cher Robert, il faut reconquérir ma famille et ma femme (la même année elle demande la séparation et l'obtient en 1783), parce que c'est le moyen presque unique de m'acquitter envers vous que dis-je d'acquitter ? Les dettes pécuniaires se liquident, mais il est des dettes inacquittables ; ...et tout ce qui vous appartient a désormais des droits illimités sur mes services... Je ne vous écrirais plus que de Provence à moins d'évènements" Lettre inédite, adressée à un ami, "Mon che M. Robert", auquel Mirabeau s'adresse avec déférence "Mon cher Maitre". Mirabeau avait été libéré en août du château de Vincennes où il avait composé, pendant sa détention, son credo politique, l'important Des lettres de cachet et des prisons d'État, ouvrage qui allait lui donner une grande notoriété. Mirabeau évoque ses problèmes économiques et conjugaux et compte "reconquérir ma famille et ma femme" ; mais la même année, elle demande la séparation, qu'il obtient en 1783. Il évoque ensuite son retour en Provence, dernière tentative de réconciliation avec son père. La lettre se termine par une promesse de collaboration avec le "cher Maître" : "Mon cher Maître, vous voudrez bien m'y mander en détail en quoi et comment je pourrais être utile à vos vues et à vos découvertes". Un feuillet in 4to. 235x180 mm. Lettre écrite sur une page, encre sépia, écriture soignée parfaitement lisible. En haut "Nyon 12 8bre 1782". A la fin, la signature "Mirabeau". Lettre inédite, adressée à un ami, "Mon che M. Robert", auquel Mirabeau s'adresse avec déférence "Mon cher Maitre". Mirabeau avait été libéré en août du château de Vincennes où il avait composé, pendant sa détention, son credo politique, l'important Des lettres de cachet et des prisons d'État, ouvrage qui lui donnera une grande notoriété. Mirabeau évoque ses problèmes économiques et conjugaux et compte "reconquérir ma famille et ma femme" ; mais la même année, elle demandera la séparation qu'il obtiendra en 1783. Il évoque alors son retour en Provence, dernière tentative de réconciliation avec son père. Nous sommes au tournant de la vie du futur révolutionnaire : après la libération de Vincennes en août 1782, commence la seconde période de la vie de Mirabeau. La lettre se termine par la promesse d'une collaboration avec le " cher Maître " : " Mon cher Maître, vous voudrez bien m'y mander en détail en quoi et comment je pourrais être utile à vos vues et à vos découvertes ".