NON VENU /// CONSTITUTION (1791-1792). Ecu de 6 livres François. Limoges. 1792. …
Description

NON VENU /// CONSTITUTION (1791-1792). Ecu de 6 livres François. Limoges. 1792. (G.55). Presque Très Beau.

20 

NON VENU /// CONSTITUTION (1791-1792). Ecu de 6 livres Franç

Les enchères sont terminées pour ce lot. Voir les résultats

Vous aimerez peut-être

Deux documents très rares sur la Constitution française. 1. Loi Qui declare infame, traitre a la Patrie & couplable deu crime de leze-nation, tout Francois qui pourroit prendre part a aucune mediation tendant a modifier la Constitution Francoise. Donnee a Paris, le 14 Janvier 1792. Paris, Imprimerie Royale, 1792 4to. 257x197 mm. Pages 3, 1 blanche. Coiffe figurée avec couronne et fleurs de lys de France. Légères traces d'usage. Cette loi défend la charte constitutionnelle approuvée le 4 septembre 1791. La France étant désormais en guerre contre les puissances européennes, l'Assemblée nationale déclara traître à son pays tout Français qui tenterait de modifier de quelque manière que ce soit les prescriptions de la Constitution, qui consacrait pour la première fois la séparation des trois pouvoirs de l'État (législatif, exécutif, judiciaire). Combiné avec : 2. Le Conseil exécutif provisoire. Proclamation ... à la République. Paris, Imprimerie Nationale Executive du Louvre, 1793 4to. 257x200 mm. Pages 3, 1 blanche. Légères traces d'usage. La fête du 10 août est instituée en l'honneur de la nouvelle constitution, approuvée le 24 juin 1793. Cette proclamation à la nation est signée par les six ministres du Conseil exécutif provisoire : Gohier, Bouchotte, Deforgues, Dalbarade, Destournelles et Garat. Le texte, intitulé "Le Conseil exécutif provisoire, Sur la Fête du 10 aout 1793", a été inséré dans le tome 8 de la "Gazette des tribunaux, et mémorial des corps administratifs et municipaux", Paris, veuve Desaint, 1793, p. 23. Poste entre les deux documents datés du 22 mai et du 26 juillet 1793. Loi Qui declare infame, traitre a la Patrie & couplable deu crime de leze-nation, tout Francois qui pourroit prendre part a aucune mediation tendant a modifier la Constitution Francoise. Donnee a Paris, le 14 Janvier 1792. Paris, Imprimerie Royale, 1792 4to. 257x197 mm. Pp. 3, 1 blanche. Tête d'ouvrage illustrée de la couronne et des lys de France. Légères traces d'usure. Cette loi défend la charte constitutionnelle approuvée le 4 septembre 1791. La France étant désormais en guerre contre les puissances européennes, l'Assemblée nationale déclare traître à la patrie tout Français qui tenterait de modifier de quelque manière que ce soit les dispositions de la Constitution qui consacre pour la première fois la séparation des trois pouvoirs de l'Etat (législatif, exécutif, judiciaire). Relié avec : 2. Le Conseil exécutif provisoire. Proclamation ... à la République. Paris, Imprimerie Nationale Executive du Louvre, 1793 4to. 257x200 mm. Pp. 3, 1 blanche. Légères traces d'usure. La fête du 10 août est instituée en l'honneur de la nouvelle Constitution, approuvée le 24 juin 1793. Cette proclamation à la nation est signée par les six ministres du Conseil exécutif provisoire : Gohier, Bouchotte, Deforgues, Dalbarade, Destournelles et Garat. Le texte, intitulé "Le Conseil exécutif provisoire, Sur la Fête du 10 aout 1793" a été inséré dans le tome 8 de la "Gazette des tribunaux, et mémorial des corps administratifs et municipaux", Paris, veuve Desaint, 1793, p. 23. Placé entre les deux documents datés du 22 mai et du 26 juillet 1793.