Null Klervi KEROUEDAN, née en 2000
La coiffe de Mémé Kerongard, 2021
Impression …
Description

Klervi KEROUEDAN, née en 2000 La coiffe de Mémé Kerongard, 2021 Impression jet d’encre sur papier satiné 200g. Tirage unique signé sur un cartel au dos du cadre. 59,4 x 42 cm --- Klervi KEROUEDAN, née en 2000 Diplômée de l’école Boulle depuis l’année dernière, Klervi Kerouedan prépare une thèse en design sur la thématique des ruines traumatiques. Pour son diplôme, elle aborde la question d’une mémoire apaisée, celle de la Bretagne qu’elle a quitté quatre ans plus tôt. Dans ses recherches elle analyse l’œuvre des Seiz Breur pour ensuite se l’approprier tout en questionnant la possibilité de moderniser les vestiges du passé. Sa recherche s’établit autour de deux axes dichotomiques : la sauvegarde et la disparition en nourrissant une forme d’ambiguïté et de confrontation dans son travail. Par exemple, elle provoque des analogies en créant des « palimpsestes » contemporains, ainsi les histoires individuelles s’additionnent pour créer celle qui est commune. Sa démarche est caractérisée par l’utilisation de moyens très simples (empreinte, collage, image, motif, forme) et l’image est accompagnée de l’écrit, de la pensée, des mots et de la poésie. La rédaction de son mémoire, Ker, a été le déclencheur d’une recherche plus grande sur la modernisation des arts traditionnels bretons. Elle a étudié la possibilité d’une rencontre entre nos « vestiges du passé » et nos « épaves du futur » en proposant une exposition pour les 100 ans des Seiz Breur au radôme de Pleumeur-Bodou, dans les côtes d’Armor. Par la suite, Klervi Kerouedan a mené le projet mutations silencieuses qui interrogeait la possibilité, par le design, d’une renaissance du mouvement des Seiz Breur. C’est dans ce cadre, qu’elle a développé une production de volumes et d’images inspirés du travail du collectif.

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Klervi KEROUEDAN, née en 2000 La coiffe de Mémé Kerongard, 2021 Impression jet d’encre sur papier satiné 200g. Tirage unique signé sur un cartel au dos du cadre. 59,4 x 42 cm --- Klervi KEROUEDAN, née en 2000 Diplômée de l’école Boulle depuis l’année dernière, Klervi Kerouedan prépare une thèse en design sur la thématique des ruines traumatiques. Pour son diplôme, elle aborde la question d’une mémoire apaisée, celle de la Bretagne qu’elle a quitté quatre ans plus tôt. Dans ses recherches elle analyse l’œuvre des Seiz Breur pour ensuite se l’approprier tout en questionnant la possibilité de moderniser les vestiges du passé. Sa recherche s’établit autour de deux axes dichotomiques : la sauvegarde et la disparition en nourrissant une forme d’ambiguïté et de confrontation dans son travail. Par exemple, elle provoque des analogies en créant des « palimpsestes » contemporains, ainsi les histoires individuelles s’additionnent pour créer celle qui est commune. Sa démarche est caractérisée par l’utilisation de moyens très simples (empreinte, collage, image, motif, forme) et l’image est accompagnée de l’écrit, de la pensée, des mots et de la poésie. La rédaction de son mémoire, Ker, a été le déclencheur d’une recherche plus grande sur la modernisation des arts traditionnels bretons. Elle a étudié la possibilité d’une rencontre entre nos « vestiges du passé » et nos « épaves du futur » en proposant une exposition pour les 100 ans des Seiz Breur au radôme de Pleumeur-Bodou, dans les côtes d’Armor. Par la suite, Klervi Kerouedan a mené le projet mutations silencieuses qui interrogeait la possibilité, par le design, d’une renaissance du mouvement des Seiz Breur. C’est dans ce cadre, qu’elle a développé une production de volumes et d’images inspirés du travail du collectif.

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