BRUNO CECCOBELLI
CECCOBELLI BRUNO
Monte Castello di Vibio (Pg) 1952

Bon....


T…
Description

BRUNO CECCOBELLI CECCOBELLI BRUNO Monte Castello di Vibio (Pg) 1952 Bon.... Technique mixte et collage 57.00x42.00x7.00 Certificat d'authenticité Signature et titre au dos. Coll. privée Prov. Canesi (Mi).

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BRUNO CECCOBELLI CECCOBELLI BRUNO Monte Castello di Vibio (Pg) 1952 Bon.... Technique mixte et collage 57.00x42.00x7.00 Certificat d'authenticité Signature et titre au dos. Coll. privée Prov. Canesi (Mi).

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Prof. Ernst Hassebrauk, Pendule française Représentation de grand format d'une pendule décorée sur fond bleu, technique mixte (encre de Chine, aquarelle et gouache) sur carton à la cuve, vers 1970, signé en bas à droite "Hassebrauk", aquarelle inachevée au dos et titrée ici "Französ. Pendule um 1770" et signée à nouveau, couleurs fraîches, dimensions de la feuille environ 67 x 48,5 cm. Informations sur l'artiste : peintre, dessinateur et graphiste allemand (1905 Dresde à 1974 Dresde), d'abord 1925-27 élève de la Dresdner Kunstgewerbeschule et de la Technische Hochschule Dresden avec Jörg Klemm et Carl Rade, 1927-29 études de philosophie et d'histoire de l'art à l'Université de Leipzig, parallèlement 1927-32 études à la Staatliche Akademie für graphische Künste und Buchgewerbe (HBK) avec Alois Kolb, H. Stolzmann, Bruno Heroux et plus tard maître-élève de Willi Geiger, travaille ensuite comme professeur de dessin à Leipzig, honoré en 1932 par le prix de l'État de Saxe et la bourse du Holstein, limite son travail à partir de 1933 et "émigration intérieure", entreprend des voyages d'étude en Allemagne, en Suisse, en Hollande et en Alsace, déménage en 1938 à Dresde-Loschwitz et succède à Woldemar Winkler en tant que professeur et directeur de son école privée de peinture et de dessin, est nommé professeur à la HBK de Leipzig après 1945, est nommé professeur en 1947, enseigne entre autres à Tübingen. entre autres de Werner Tübke, licencié en 1949 suite au "débat sur le formalisme", travaille dès lors en indépendant à Dresde, 1964 voyage en Bavière, en Italie du Nord et à Venise, 1968 voyage en Hongrie, membre du VBK de la RDA, source : Vollmer, Eisold "Künstler in der DDR" et Internet.

Ecole provençale de la fin XVIIIe siècle représentant un décor de ruines à l’antique s’inscrivant dans un paysage néoclassique en lavis de brun dans lequel se présente le château d’Escouloubre (sous un soleil levant. Le sujet est ceint d’une bordure de faisceaux liés et se surplombe d’armoiries sous couronne de marquis tenues par deux lions et cerclées d’étendards et d’un phylactère Portant la devise : « Fortitudo mea et spes mea deus » Huile sur toile (Restaurations, chassis moderne) 159, 5 x 200 cm. Les armes sont celles de Louis de Monstron de Sauton (1755-1834), maire de Toulouse en 1814, et député aux Etats généraux de 1789 pour la noblesse du Languedoc. Il fut colonel d'infanterie ce qui explique la présence des étendards et de la décoration de l'Ordre de Saint-Louis (rajoutées à l’époque de la Restauration), accordée par défaut aux officiers de plus de 20 ans de services (24 après 1792). Partisan monarchiste au retour de Louis XVIII, il développe la province de Toulouse et notamment les terres d’Escouloubre, y modernisant le château, installant une tuilerie ainsi que des plantations censées résoudre les famines gérées par sept métairies. Il fut également le mainteneur de l’Académie des jeux floraux et grand mécène à Toulouse. Cette scène fut probablement composée pour le château d’Escouloubre puis enchâssée et déplacée dans le salon de l'hôtel du marquis d'Escouloubre à Agen, par le marquis Emmanuel de Monstron de Sauton, mort en 1930 sans postérité.