MARIO ROSSELLO
ROSSELLO MARIO
Savona (Sv) 1927

Les chiffres
1970

Mistas sur to…
Description

MARIO ROSSELLO ROSSELLO MARIO Savona (Sv) 1927 Les chiffres 1970 Mistas sur toile 100,00x70,00 Certificat d'authenticité Provenance : Collection privée Fabiani (Mi).

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MARIO ROSSELLO

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"VILLASIERRA" MARIO VILLARROEL (Venezuela, 1970). "Lacérations", 2023. Technique mixte (résine, poussière de marbre et huile) sur toile. Encadré avec du verre de musée. Signé et daté dans le coin inférieur droit. Dimensions : 150 x 110 cm ; 175 x 135 cm (cadre). Villasierra est l'archétype de l'artiste autodidacte qui a exploré d'autres domaines avant de se consacrer à l'art à plein temps. Avocat de formation, il s'est également aventuré dans le monde des motos, en les fabriquant et en les personnalisant, ce qui a constitué un nouveau champ d'activité où il a exploré sa créativité et développé son intérêt pour les mécanismes au-delà de leur fonction première. Sa production artistique a débuté dans les années 1990 et, depuis lors, il a produit un ensemble considérable d'œuvres. Certaines d'entre elles témoignent de son intérêt pour le recyclage, pour donner une seconde chance et une nouvelle fonction à des objets mis au rebut. C'est avec cette idée en tête qu'elle part en excursion dans les marchés d'antiquités et accumule un trésor inimaginable. De cette approche et de son amour pour la musique, les instruments de musique ont trouvé une place dans son travail. Un bon exemple est l'une de ses séries les plus acclamées, The Second Life, qu'il a développée principalement entre 2016-2018. Parmi les instruments utilisés dans cette série, on trouve des violons. Villasierra explique que le premier a été inspiré par un acte de résistance politique dans son pays natal. En 2017, un jeune violoniste, Wuilly Arteaga, a affronté l'armée vénézuélienne, seul avec son violon, lors d'une révolte. Cet acte de bravoure a ému Villasierra, qui a pris un vieux violon et l'a peint aux couleurs du drapeau en hommage à la bravoure du musicien et en guise d'éveil à ce qui se passait dans son pays. Pour créer ces œuvres, il se rend dans les départements de musique des écoles d'art publiques et prend les violons mis au rebut en échange de violons neufs qu'il achète et donne aux écoles. Ainsi, les anciens violons font partie de son œuvre, tandis que les nouveaux sont remis entre les mains des enfants.