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TAUROMACHIE : Emilio PORSET Y MARTINEZ (XIX's-XX's) Corrida en la Plaza de Toros de Madrid en mai 1902. Impression en couleurs sur soie, 60 x 39 CM - ON JOINT : 2 fanions en soie Toros en Bilbao

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TAUROMACHIE : Emilio PORSET Y MARTINEZ (XIX's-XX's) Corrida en la Plaza de Toros de Madrid en mai 1902. Impression en couleurs sur soie, 60 x 39 CM - ON JOINT : 2 fanions en soie Toros en Bilbao

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PICASSO (Pablo) - DELGADO Y GÁLVEZ (José). La Tauromaquia o arte de torear. Obra utilisima para los toreros de profesion, para los aficionados y para toda clase de sujetos que gusten de toros por José Delgado alias Pepe Illo. Barcelone : Gustavo Gili, 1959. — In-folio oblong, 350 x 500 : (2 ff. blancs), 142 pp., (3 ff. dernier blanc), 26 planches, couverture illustrée. En feuilles, chemise cartonnée recouverte de parchemin et étui aux plats de toile jaune et aux bords de parchemin. Cramer, n° 100. Belle édition très recherchée du célèbre et monumental traité de tauromachie du torero espagnol du XVIIIe siècle José Delgado y Gálvez (1754-1801), dit Pepe Illo ou Hillo, illustrée d’une pointe-sèche sur la couverture et de 26 aquatintes au sucre originales hors texte, non signées, de Pablo PICASSO (1881-1973). « Ce livre avait été commandé par Gustavo Gili père en 1927 pour sa collection de bibliophile “Ediciones de la Cometa” (…) Picasso avait fait alors quelques gravures (…) ; Henry de Montherlant écrivit une préface ; puis les guerres, en Espagne et ailleurs, mirent fin au projet. Or, en 1956, Gustavo Gili fils le rappela à Picasso. Au printemps 1957, à Cannes, quelques jours après la corrida de Pâques à laquelle il avait assisté à Arles, Picasso dessina au pinceau, à même le cuivre, ce sténogramme d’ombre et de lumières d’une tauromachie, créant ainsi le pendant moderne de “La Tauromaquia” de Goya (1815). Les 26 aquatintes accompagnent le texte de ce qui fut, en 1796, le premier manuel pour toreros et “aficionados” ; son auteur, le célèbre torero Pepe Illo » (Cramer). Cette édition fut tirée à 263 exemplaires numérotés sur vélin de Guarro filigrané d’un motif de tête de taureau dessiné par Picasso. Celui-ci est l’un des 200 numérotés de 31 à 250. Il ne porte pas la signature de l’artiste mais comme le précise Cramer : « L’achever d’imprimer mentionne à tort que tous les exemplaires sont signés au crayon par l’artiste, or un certain nombre ne le sont pas. » Exemplaire complet des deux brochures annonçant la parution de l’ouvrage, l’une donnant la reproduction des 26 aquatintes, la seconde, intitulée La Cometa, comprenant un texte de présentation en espagnol. Exemplaire parfaitement conservé malgré quelques rares rousseurs comme presque toujours, notamment sur le faux titre. Rousseurs à la plaquette La Cometa.

MANUEL MARÍN (Cieza, Murcie, 1942 - Malaga, 2007). "Sculpture mobile au plafond. Acier polychrome. Certificat d'authenticité joint, délivré par Mme Mónika Rabassa, veuve de l'artiste. Signé sur la base. Dimensions : 167 x 225 x 0,5 cm. Sculpture mobile en métal, que l'artiste a polychromé dans différents tons d'une gamme chromatique primaire. L'artiste a utilisé différents tons d'une gamme chromatique primaire. Cela rapproche la conception d'une esthétique néoplasticiste dans laquelle l'utilisation de cette gamme de couleurs et l'expérimentation dans leur représentation étaient très courantes dans ce courant esthétique. Il convient de mentionner l'œuvre de Manuel Marín, qui démontre son lien évident avec les courants d'avant-garde, l'application et le développement de ceux-ci dans sa propre production à travers un langage unique et personnel. Manuel Marín a débuté dans le monde de la tauromachie à l'âge de dix ans et a fait sa première corrida à seize ans. Cependant, à l'âge de vingt ans, il se rend à Londres et commence à travailler dans une galerie d'art, entrant définitivement dans le monde de la sculpture. Il y rencontre l'artiste britannique Henry Moore, qui l'engage comme assistant dans la réalisation de ses sculptures en bronze. En 1964, il s'installe à New York, où il travaille comme restaurateur d'œuvres d'art jusqu'à ce qu'il ouvre sa propre galerie, The American Indian Art Gallery, qui compte parmi ses clients Warhol, Basquiat, De Kooning, Keith Haring et d'autres. Attiré par les sculptures mobiles, il a commencé à créer ses propres œuvres en 1969 et, l'année suivante, il a organisé sa première exposition à la Alan Brown Gallery à Scardele, dans l'État de New York. Depuis lors, il a exposé ses œuvres dans divers lieux de New York, ainsi qu'au Canada, en Italie, au Mexique, en Chine, à Porto Rico, au Japon et en Espagne. Il possède actuellement des monuments publics dans diverses régions des États-Unis et de l'Espagne, et est représenté dans des collections espagnoles et étrangères, ayant obtenu une reconnaissance critique et publique pour sa production artistique.