Null Marie-Antoinette Lemanceau (XXe)
Miroir sorcière En talosel, tiges métalliq…
Description

Marie-Antoinette Lemanceau (XXe) Miroir sorcière En talosel, tiges métalliques, métal doré formant fleurs et feuilles, résine, mercerie et inclusions de morceaux de verre coloré Portant une étiquette au dos “Marie-Antoinette Lemanceau, artisan - créateur, pièce unique” D. 37 cm Nous savons très peu de choses sur Marie-Antoinette Lemanceau, si ce n’est qu’elle a été l’une des assistante de Line Vautrin. Réutilisant la matière inventée par cette dernière dans les années 60, Marie-Antoinette développe une production artistique de bijoux, miroirs et boîtes qui lui est propre. Avec un style plus excentrique, elle mêle talosel, morceaux de verre et objets de récupération : mercerie, coquillages, feuilles de cuivre... elle se démarque par sa fantaisie, le choix de ses matériaux et les dimensions extravagantes de ses bijoux, dans la lignée d’un Robert Goossens, ou de René Lalique qui à la fin du XIXe siècle prit tout le monde de court en choisissant des matières moins nobles (émail, cristal, pierres semi-précieuses comme l’améthyste ou l’aigue-marine). À l’image du travail de Mithé Espelt récemment redécouvert par le marché, l’œuvre résolument moderne de Marie-Antoinette Lemanceau mérite le détour !

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Marie-Antoinette Lemanceau (XXe) Miroir sorcière En talosel, tiges métalliques, métal doré formant fleurs et feuilles, résine, mercerie et inclusions de morceaux de verre coloré Portant une étiquette au dos “Marie-Antoinette Lemanceau, artisan - créateur, pièce unique” D. 37 cm Nous savons très peu de choses sur Marie-Antoinette Lemanceau, si ce n’est qu’elle a été l’une des assistante de Line Vautrin. Réutilisant la matière inventée par cette dernière dans les années 60, Marie-Antoinette développe une production artistique de bijoux, miroirs et boîtes qui lui est propre. Avec un style plus excentrique, elle mêle talosel, morceaux de verre et objets de récupération : mercerie, coquillages, feuilles de cuivre... elle se démarque par sa fantaisie, le choix de ses matériaux et les dimensions extravagantes de ses bijoux, dans la lignée d’un Robert Goossens, ou de René Lalique qui à la fin du XIXe siècle prit tout le monde de court en choisissant des matières moins nobles (émail, cristal, pierres semi-précieuses comme l’améthyste ou l’aigue-marine). À l’image du travail de Mithé Espelt récemment redécouvert par le marché, l’œuvre résolument moderne de Marie-Antoinette Lemanceau mérite le détour !

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