Null ROUX Constant (1865-1929): BUSTE d'Ephèbe ou "La colère d'Achille" en bronz…
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ROUX Constant (1865-1929): BUSTE d'Ephèbe ou "La colère d'Achille" en bronze à patine claire et patine dorée reposant sur un socle en marbre, signé avec cachet des Neveux de J. LEHMAN PARIS (quelques éclats au socle en marbre vert de mer, une oxydation et une tache sur l'épaule). Haut. du bronze 29 cm. Haut. totale 35 cm.

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ROUX Constant (1865-1929): BUSTE d'Ephèbe ou "La colère d'Achille" en bronze à patine claire et patine dorée reposant sur un socle en marbre, signé avec cachet des Neveux de J. LEHMAN PARIS (quelques éclats au socle en marbre vert de mer, une oxydation et une tache sur l'épaule). Haut. du bronze 29 cm. Haut. totale 35 cm.

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FERDINAND BARBEDIENNE (France, 1810-1892). "Bacchus (Antinoüs) et Ariane", vers 1850. Bronze ciselé, patiné et partiellement doré, sur un socle en marbre noir belge. Signé. Présente quelques piqûres sur la base. Avec le cachet de la réduction mécanique. Dimensions : 27 x 12 x 11 cm ; 27,5 x 12 x 11 cm. Paire de bustes en bronze représentant Bacchus et Ariane. La fonderie F. Barbedienne a été fondée à Paris en 1838 par Ferdinand Barbedienne et Achille Collas, ce dernier étant l'inventeur d'une machine permettant de réduire mécaniquement le format des sculptures. Elle se consacre d'abord à la production de reproductions en bronze de sculptures de l'Antiquité romaine et grecque, comme celle présentée ici. Le premier contrat de publication d'œuvres créées par un artiste vivant est signé en 1843 avec le sculpteur François Rude. Au cours des années suivantes, après avoir survécu à l'effondrement économique de 1848, la maison Barbedienne a signé des contrats avec de nombreux sculpteurs actifs à Paris à l'époque, dont David d'Angers, Jean-Baptiste Clesinger, Antoine Louis Barye et d'autres. Achille Collas meurt en 1859, laissant Ferdinand Barbedienne seul à la tête d'une entreprise qui compte alors environ trois cents ouvriers. En 1865, il est nommé président de l'Association des Broncistes, poste qu'il occupe jusqu'en 1885. Cependant, le déclenchement de la guerre franco-prussienne en 1870 et la pénurie de métaux bruts qui s'ensuit obligent Barbedienne à interrompre sa production artistique, bien qu'il signe un contrat avec le gouvernement français pour la fabrication de canons, ce qui lui permet de maintenir la fonderie ouverte. Après la guerre, il reprend sa production sculpturale et redouble d'efforts pour signer des contrats avec différents sculpteurs. À sa mort en 1891, il est salué comme le meilleur fondeur de France, et Albert Susse le qualifie de "fierté nationale". La direction de la fonderie est alors confiée au neveu de Barbedienne, Gustave Leblanc, qui maintient la qualité de la production et ouvre des succursales en Allemagne, en Angleterre et aux Etats-Unis. Elle présente quelques piqûres à la base.