ÉCOLE SÉVILLIENNE 18e siècle 
 
 Saint Raphaël l'Archange 
 Huile sur toile 
 Di…
Description

ÉCOLE SÉVILLIENNE 18e siècle Saint Raphaël l'Archange Huile sur toile Dimensions 55 x 44,5 cm

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ÉCOLE SÉVILLIENNE 18e siècle Saint Raphaël l'Archange Huile sur toile Dimensions 55 x 44,5 cm

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École italienne de la première moitié du XIXe siècle. D'après RAFAEL SANZIO (Italie, 1483 - 1520). "La Sainte Famille de François Ier/La Grande Sainte Famille". Huile sur toile. Dimensions : 104 x 137 cm ; 122 x 150 cm (cadre). Cette œuvre est la suite fidèle de celle peinte par Raphaël Sanzio en 1518, une huile sur panneau transférée sur toile aujourd'hui conservée au musée du Louvre à Paris. Raphaël a représenté sur cette toile la Sainte Famille accompagnée de saint Jean-Baptiste enfant et de sa mère, sainte Élisabeth. La disposition des différentes figures reflète la hiérarchie des personnages dans cette iconographie. Ainsi, on voit saint Joseph derrière, presque caché dans l'ombre, tandis que les deux femmes et les deux enfants restent au premier plan, directement éclairés. Ces quatre figures forment un schéma pyramidal typiquement raphaëlesque, très imité par ses suiveurs, clairement classique, qui ancre la composition et l'équilibre. En outre, ce schéma permet de focaliser l'attention sur les deux personnages principaux : Jésus et Marie. En ce qui concerne le sujet, l'iconographie qui introduit la figure de saint Jean-Baptiste dans les scènes de la Sainte Famille ou de Marie avec l'enfant n'est pas seulement due à la condition du saint en tant que parent de Jésus, mais a également une signification théologique. Ces images présentent saint Jean-Baptiste comme un prophète qui annonce la mission rédemptrice du Christ, et c'est pourquoi, bien qu'il soit représenté comme un enfant, avant sa retraite au désert, il apparaît avec une peau d'agneau ou de chameau et, en général, accompagné des attributs iconographiques habituels dans ses images, qui font allusion à la Passion du Christ. Cependant, contrairement à ce qui se passe dans d'autres tableaux, aussi bien de Raphaël que d'autres auteurs, ici les enfants semblent insensibles au destin dramatique de Jésus. Seules les deux femmes montrent une certaine douleur contenue dans leurs expressions qui laisse deviner le chagrin avec lequel elles contemplent les jeux des enfants.

HIGGS, Henry. Les physiocrates : six conférences sur les économistes français du XVIIIe siècle. Londres, Macmillan and Co, 1897 8vo. 192x125 mm. Reliure éditoriale en toile rouge, titre et filets dorés au dos. Pages X, 158. Quelques pages légèrement rognées dans les marges, sinon bon exemplaire. Première édition de l'exposé de Higgs sur l'école physiocratique, présenté à l'origine sous la forme d'une série de conférences à la London School of Economics en 1896. L'historien anglais de la pensée économique traite, dans une série de conférences données à la London School of Economics en 1896, de l'école physiocratique du marché libre du XVIIIe siècle, de ses origines, de ses idées et de son influence politique et intellectuelle. Ce livre, en plus de son édition de l'Essai de Richard Cantillon (1931), reste son travail le plus complet sur le sujet. 8vo. 192x125 mm. Reliure de l'éditeur en toile rouge, titre et règles dorés au dos. Pages X, 158. Quelques pages rognées en marge, bon exemplaire dans l'ensemble. Première édition de l'exposé de Higgs sur l'école physiocratique, présenté à l'origine sous la forme d'une série de conférences à la London School of Economics en 1896. L'historien anglais de la pensée économique traite, dans une série de conférences données à la London School of Economics en 1896, de l'école physiocratique de libre marché du XVIIIe siècle, de ses origines, de ses idées et de son influence politique et intellectuelle. Ce livre, en plus de son édition de l'Essai de Richard Cantillon (1931), reste son ouvrage le plus complet sur le sujet.