WWII Poster. Vous aurez de l’huile pour votre famille.
Affiche colorée, 120 x 80…
Description

WWII Poster. Vous aurez de l’huile pour votre famille. Affiche colorée, 120 x 80 cm. Texte en rouge et jaune. Petits manques. Affiche patriotique aux couleurs vives éditée par le Secrétariat d'État à l'Agriculture et au Ravitaillement sous la République de Vichy. L'affiche incite les Français à signer des contrats de culture et à contribuer à la production de matières grasses absolument indispensables à tous les Français.

334 

WWII Poster. Vous aurez de l’huile pour votre famille. Affiche colorée, 120 x 80 cm. Texte en rouge et jaune. Petits manques. Affiche patriotique aux couleurs vives éditée par le Secrétariat d'État à l'Agriculture et au Ravitaillement sous la République de Vichy. L'affiche incite les Français à signer des contrats de culture et à contribuer à la production de matières grasses absolument indispensables à tous les Français.

Les enchères sont terminées pour ce lot. Voir les résultats

Vous aimerez peut-être

Lettre autographe signée adressée à Messieurs Bourcard & Cie, Nantes. Louis, 10 janvier 1826 Bifolium in 4to. 250x198 mm. Lettre sur quatre pages, texte en français, écriture cursive, encre noire. Bon état de conservation. Lettre commerciale contenant des nouvelles intéressantes sur le commerce et la navigation entre l'Afrique et la France. Avec une curieuse référence à l'esclavage : le commandant d'un navire, "noir libre, bon pilote", est mentionné. " ... le sieur lombard se propose d'y répondre de vive voix par le prochain voyage de LA GAZELLE & vous consulter pour une opération du bas de la Côte. Je vous confirme que les affaires de notre Colonie ne peuvent reprendre la faveur. Mr Lamotte a reçu en consignations les Guinées qui partirent de chez vous pour Marseille " Il vend ses Gommes... " les lettres que nos recevons de la rivière ne sont pas satisfaisantes pour le prix ; ce qui écraserait d'avantage, ce serait l'abondance de gomme & le bas prix de nos marchandises. On échange aujourd'hui en rivière 40 # de gomme à la pièce. Il faut espérer que les détenteurs de Guinée s'arrêteront s'ils envisagent leur ruine totale, en continuant d'en avilir le prix. Mr Baudin a en ce moment 6 milliers de Cire clarifié que La Gazelle emportera. Votre Goélette L'Elise, arrive de Gorée, elle jauge 45 tonneaux, équipée de 11 hommes, commandée par Tamba Daba, noir libre, bon pilote pour le bas de la côte. Nous vous prions de la faire assurer à l'année, depuis le Sénégal, jusqu'à Casamance & les Isles du Cap Vert pour tous risques de mer, rivières, barres et autres les arrivages de L'aimable Blonde de Bordeaux & L'africaine Du Havre, ne contribuèrent pas moins au vil prix de la Guinée... La Traite en rivière, ne s'améliore point, la Gomme paraitrait abonder & le prix du tissu fléchir... L'aimable Blonde vient d'appareiller pour les Antilles..." Bifolium in 4to. 250x198 mm. Lettre sur quatre pages, texte en français, écriture cursive, encre noire. Bon état. Lettre d'affaires avec des nouvelles intéressantes sur le commerce et la navigation entre l'Afrique et la France. Avec une curieuse référence à l'esclavage : le commandant d'un navire est mentionné, un "noir libre, bon pilote". " ... le sieur lombard se propose d'y répondre de vive voix par le prochain voyage de LA GAZELLE & vous consulter pour une opération du bas de la Côte. Je vous confirme que les affaires de notre Colonie ne peuvent reprendre la faveur. Mr Lamotte a reçu en consignations les Guinées qui partirent de chez vous pour Marseille " Il vend ses Gommes... " les lettres que nos recevons de la rivière ne sont pas satisfaisantes pour le prix ; ce qui écraserait d'avantage, ce serait l'abondance de gomme & le bas prix de nos marchandises. On échange aujourd'hui en rivière 40 # de gomme à la pièce. Il faut espérer que les détenteurs de Guinée s'arrêteront s'ils envisagent leur ruine totale, en continuant d'en avilir le prix. Mr Baudin a en ce moment 6 milliers de Cire clarifié que La Gazelle emportera. Votre Goélette L'Elise, arrive de Gorée, elle jauge 45 tonneaux, équipée de 11 hommes, commandée par Tamba Daba, noir libre, bon pilote pour le bas de la côte. Nous vous prions de la faire assurer à l'année, depuis le Sénégal, jusqu'à Casamance & les Isles du Cap Vert pour tous risques de mer, rivières, barres et autres les arrivages de L'aimable Blonde de Bordeaux & L'africaine Du Havre, ne contribuèrent pas moins au vil prix de la Guinée... La Traite en rivière, ne s'améliore point, la Gomme paraitrait abonder & le prix du tissu fléchir... L'aimable Blonde vient d'appareiller pour les Antilles..."

Lettre autographe signée, adressée à "Monsieurs A. Cabrol J[eu]ne à Bordeaux". Cayenne, 4 novembre 1856 Bifolium in 4to. 265x212 mm. Papier bleu avec timbre gaufré sur la première page, lettre sur 3 pages, adresse sur la page 4. Texte en français, écriture cursive, encre brune. Pré-philatélique avec plusieurs timbres dans l'adresse. Légères traces d'usage, petit manque sur le deuxième feuillet avec perte de quelques lettres. Intéressante lettre autographe écrite à Cayenne avec une attention particulière pour la dernière partie où il est question des mines d'or : "Je ne rien a vous dire de particulier relativament ausx affaires del mines d'or ; les explorations & exploitations continentals de M. Couy obient specialement d'assez serieux resultatats." Il est fait référence à Félix Couy : l'aventure de l'or a commencé en août 1855, lorsqu'une équipe dirigée par Félix Couy (commissaire-commandant d'Approuague) a ramené de l'or lors d'une exploration dans le Haut-Approuague.La lettre mentionne plusieurs marchandises arrivant de France, avec des nouvelles de la Martinique et de la Guadeloupe : "... quant à la Guadeloupe, il n'y avait absolument rien à charger. "... j'attends l'arrivée du bateau L'union... Votre lettre est accompagnée de la facture et du connaissement à diverses marchandises que vous avez chargées pour mon compte... Je vous remercie des soins que vous avez apportés à l'acquisition de la petite voiture pour ma boulangerie. Votre seconde lettre du 25 Sept. Ayant trait à vos affaires des Navires La Nathalie et L'union... erreur de compte dans sa commission... je vous remercie d'avoir communiqué à M. Tournay, Courtier, les observations que je vous ai faites au sujet du manifeste et des pièces des douanes pour l'expédition de La Nathalie. J'ai fait faire la copie de son manifeste d'entrée à Cayenne & je vous l'adresserai par L'union, parce que c'est trop volumineux pour l'envoyer par la Poste... A l'arrivée de ce navire, je soignerai la réception & la vente de ces marchandises au mieux des intérêt des armements. Comptez que je ferai tout ce qui dépendra de moi pour la réexpédition de L'UNION aux Antilles..." "D'ici 15 jours nous attendons 4 ou 5 navires de France qui vont encore augmenter nos approvisionnements & ralentir encore davantage les ventes des marchandises à écouler présentement..." Au-dessus de l'adresse, l'annotation "Voie des Packets anglais"]. Bifolium, in 4to. 265x212 mm. Papier bleu clair avec timbre gaufré sur la première page, lettre sur 3 pages, adresse sur la page 4. Texte en français, écriture cursive, encre brune. Pré-philatélique avec plusieurs timbres dans l'adresse. Légères traces d'usure, petit manque sur le deuxième feuillet avec perte de quelques lettres. Intéressante lettre autographe écrite à Cayenne avec une attention particulière pour la dernière partie qui parle des mines d'or : "Je ne rien a vous dire de particulier relativament ausx affaires del mines d'or ; les esplorations & exploitations continentals de M. Couy obient specialement d'assez serieux resultatats. Il est fait référence à Félix Couy : L'aventure de l'or a commencé en août 1855, lorsqu'une équipe dirigée par Félix Couy (commissaire-commandant de l'Approuague) a signalé de l'or lors d'une exploration dans le Haut-Approuague.La lettre parle de diverses marchandises arrivant de France, avec des nouvelles de la Martinique et de la Guadeloupe : "... quant à la Guadeloupe, il n'y avait absolument rien à charger". "... j'attends l'arrivée du bateau L'union... Votre lettre est accompagnée de la facture et du connaissement à diverses marchandises que vous avez chargées pour mon compte... Je vous remercie des soins que vous avez apportés à l'acquisition de la petite voiture pour ma boulangerie. Votre seconde lettre du 25 Sept. Ayant trait à vos affaires des Navires La Nathalie et L'union... erreur de compte dans sa commission... je vous remercie d'avoir communiqué à M. Tournay, Courtier, les observations que je vous ai faites au sujet du manifeste et des pièces des douanes pour l'expédition de La Nathalie. J'ai fait faire la copie de son manifeste d'entrée à Cayenne & je vous l'adresserai par L'union, parce que c'est trop volumineux pour l'envoyer par la Poste... A l'arrivée de ce navire, je soignerai la réception & la vente de ces marchandises au mieux des intérêt des armements. Comptez que je ferai tout ce qui dépendra de moi pour la réexpédition de L'UNION aux Antilles..." "D'ici 15 jours nous attendons 4 ou 5 navires de France qui vont encore augmenter nos approvisionnements & ralentir encore davantage les ventes des marchandises à écouler présentement..." Au-dessus de l'adresse, l'annotation "Voie des Packets anglais"].

GALLIÉNI, Joseph. Lettre autographe signée, adressée à "Monsieur Octave Diamanti", Paris. Tananarive, 3 mars 1901 Bifolium in 8vo. 210x138 mm. Lettre sur 4 pages, texte en français, écriture cursive, encre brune. Bon état de conservation. Joint à:- Partie d'enveloppe avec adresse du destinataire, mm.114x140. Carte postale "General Gallieni Gouverneur de Paris", 140x90 mm, avec portrait et notice biographique en français. Document important concernant les mines d'or de Madagascar. Le destinataire, l'ingénieur Octave Diamanti, était le directeur de la Compagnie coloniale et des mines d'or de Suberbieville. Le général Joseph Galliéni, 1849-1916, fut gouverneur de Madagascar de 1896 à 1905. Il pacifie l'île et gouverne la colonie avec des méthodes autoritaires : il dépose la reine Ranavalona, envoie le Premier ministre en exil et exécute deux ministres ; il applique le Code de l'indigénat de 1877, qui consacre la séparation et la subalternité de la population indigène par rapport aux colons français en empêchant les mariages et en obligeant les Malgaches à apprendre la langue française. " ... mes meilleurs souhaits pour vous et votre société... nous serons très heureux de tous les efforts que vous ferez dans la région du nord-est de l'ile, puisque ces efforts contribueront naturellement à la prospérité de la Colonie. Je vous remercie pour le témoignage de sympathie que vous avez tenu à m'adresser, à propos de la dernière interpellation contre l'administration de Madagascar. Je vous prie de croire que toutes ces attaques m'ont laissé complètement froid et ne m'empêcherons pas de continuer ma tâche, suivant le programme que je me suis fixé tant que le Ministre me conservera sa confiance. Cependant je ne vous cacherai pas que je serai heureux si une occasion se présentait qui me permit d'abandonner mes fonctions pour aller prendre le repos qui m'est bien nécessaire, après tant d'années passées aux colonies. J'ai écrit au Ministre au sujet des médailles coloniales de votre personnel qui a montré tant de dévouement lors de l'expédition de 1895..." Bifolium, in 8vo. 210x138 mm. Lettre sur 4 pages, texte en français, écriture cursive, encre brune. Bon état de conservation. Relié avec:- Partie de l'enveloppe avec l'adresse du destinataire, 114x140 mm. Carte postale "General Gallieni Gouverneur de Paris", 140x90 mm, avec portrait et notice biographique en français. Document important relatif aux mines d'or de Madagascar. Le destinataire, l'ingénieur Octave Diamanti, était le directeur de la "Compagnie coloniale et des mines d'or de Suberbieville". Le général Joseph Galliéni, 1849-1916, est gouverneur de Madagascar de 1896 à 1905. Il pacifie l'île et gouverne la colonie avec des méthodes autoritaires : il dépose la reine Ranavalona, envoie le Premier ministre en exil et exécute deux ministres ; il applique le code de l'indigénat de 1877, qui sanctionne la séparation et la subordination de la population indigène par rapport aux colons français en empêchant les mariages et en obligeant les Malgaches à apprendre la langue française. " ... mes meilleurs souhaits pour vous et votre société... nous serons très heureux de tous les efforts que vous ferez dans la région du nord-est de l'ile, puisque ces efforts contribueront naturellement à la prospérité de la Colonie. Je vous remercie pour le témoignage de sympathie que vous avez tenu à m'adresser, à propos de la dernière interpellation contre l'administration de Madagascar. Je vous prie de croire que toutes ces attaques m'ont laissé complètement froid et ne m'empêcherons pas de continuer ma tâche, suivant le programme que je me suis fixé tant que le Ministre me conservera sa confiance. Cependant je ne vous cacherai pas que je serai heureux si une occasion se présentait qui me permit d'abandonner mes fonctions pour aller prendre le repos qui m'est bien nécessaire, après tant d'années passées aux colonies. J'ai écrit au Ministre au sujet des médailles coloniales de votre personnel qui a montré tant de dévouement lors de l'expédition de 1895..."