Painting "VISITATION OF MARY TO SAINT ELIZABETH"
Huile sur toile représentant la…
Description

Painting "VISITATION OF MARY TO SAINT ELIZABETH" Huile sur toile représentant la "VISITATION DE MARIE A SAINT ELISABET". XVIIe siècle. Dans un cadre en bois sculpté, laqué et doré. Déjà patiné et redoré. Restauration. 65,5x112 cm env.

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Painting "VISITATION OF MARY TO SAINT ELIZABETH"

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DAVID, Jacques-Louis. Decret de la Convention Nationale, Du 29 mars 1793... relatif au don fait par David, d'un tableau representant Michel Lepelletier sur son lit de mort.Saint-Jean-d'Angély, J.B. Josserand, 1793 4to. 244x198 mm. Pages 4. Bon état de conservation. Plaque rare, une source importante pour l'histoire de l'art. Les Derniers Moments de Michel Lepeletier est l'hommage du peintre au révolutionnaire assassiné pour avoir voté la mort du roi Louis XVI. Le tableau forme avec La Mort de Marat un diptyque qui était installé dans la salle des séances de la Convention nationale. Enlevé en 1795 et confié à l'artiste qui le conserva jusqu'à sa mort à Bruxelles, le tableau fut vendu par sa famille à la fille du révolutionnaire, Louise Suzanne de Mortefontaine. L'hypothèse la plus probable est qu'il a été détruit par la fille qui voulait faire disparaître le passé révolutionnaire de son père en détruisant le tableau et les gravures qui en avaient été tirées. Les seules traces du tableau sont un dessin d'Anatole Desvosge et une gravure de Tardieu qui ont partiellement échappé à la destruction. La plaque contient également le discours prononcé par David à la Convention nationale le 29 mars 1793, dans lequel il explique l'importance du tableau. 4to. 244x198 mm. Pp. 4. Bon état. Brochure rare, une source importante pour l'histoire de l'art. Les Derniers Moments de Michel Lepeletier est un hommage du peintre au révolutionnaire assassiné pour avoir voté la mort du roi Louis XVI. Le tableau forme un diptyque avec La Mort de Marat qui était installé dans la salle des séances de la Conférence nationale. Enlevé en 1795 et confié à l'artiste qui le conserva jusqu'à sa mort à Bruxelles, le tableau fut vendu par sa famille à la fille du révolutionnaire, Louise Suzanne de Mortefontaine. Après cette vente, le tableau a disparu, l'hypothèse la plus probable étant qu'il a été détruit par sa fille qui voulait faire disparaître le passé révolutionnaire de son père en détruisant le tableau et les gravures qui en avaient été tirées. Le livret contient également le discours de David à la Convention nationale, le 29 mars 1793, dans lequel il explique la signification du tableau.