1 / 4

Description

W. C. Fields Autograph Letter Signed to His Mistress

ALS signée "The Great Man", deux pages en peau d'oignon, 8,5 x 11, 23 mars 1939. Lettre manuscrite de Fields à sa maîtresse Carlotta Monti, qu'il appelle "Katrinck". En partie : "Votre lettre était plutôt vague. Votre virement de 300 dollars et vos dépenses semblaient très professionnels, c'est pourquoi je n'y ai pas prêté plus d'attention. J'avais l'impression que vous retourniez en Californie. Je ne savais pas que vous envisagiez de rester à New York tout l'été. Le mieux que vous puissiez obtenir (si vous obtenez quoi que ce soit) serait 900 $ et vous avez probablement raison, le jeu n'en vaut pas la chandelle. Il est admirable que vous travailliez si dur pour réussir. Réfléchissez bien. Assurez-vous d'être sur la bonne voie et ce sera du "travail d'amour perdu". Je ne peux pas vous donner de conseils. J'aurais l'impression d'être un imbécile si je le faisais. Accepteriez-vous de préférence les conseils d'un clochard ignorant ? Vous ne pouvez certainement pas vous attendre à ce que je m'intéresse à votre avenir si mes conseils restent lettre morte. Je laisserai partir le Rube Walter par défaut, il se sera encore échappé. Toutefois, j'ai demandé s'il était possible de prendre votre déposition à New York. Si c'est le cas, je vous enverrai les documents. Portez-vous bien et faites preuve de discernement. Accordez-vous une pause. En bon état, avec quelques petites rousseurs éparses. Accompagné de l'enveloppe postale originale, adressée de la main de Fields. Fields jouissait des honneurs qui lui avaient été accordés à la suite de la sortie récente de You Can't Cheat an Honest Man lorsqu'il écrivit à Monti, une actrice de films de série B qui a entretenu une idylle de 14 ans avec l'acteur. Tout aussi intrigante est sa réticence apparente à "ne pas donner... plus de considération" à une apparente demande de fonds, étant donné que Fields a été payé 100 000 dollars pour jouer dans le film, et 25 000 dollars de plus pour le scénario.

Traduit automatiquement par DeepL. Seule la version originale fait foi.
Pour voir la version originale, cliquez-ici.

982 
Aller au lot
<
>

W. C. Fields Autograph Letter Signed to His Mistress

Estimation 400 - 600 USD
Mise à prix 200 USD

* Hors frais de vente.
Reportez vous aux conditions de vente pour calculer le montant des frais.

Frais de vente : 25 %
Laisser un ordre

En vente le mercredi 10 juil. - 18:00 (EDT)
amherst, États-Unis
RR Auction
+16037324284
Voir le catalogue Consulter les CGV Infos vente

Vous aimerez peut-être

Ali Zayn al-Abidîn, al-Sahîfa al-Sajjâdiyya, Les Cantiques de Sajjâd, Iran safavide, daté 1694 Manuscrit sur papier de 9 lignes de texte par page en arabe naskhi, la traduction persane interlinéaire en nasta’liq à l‘encre rouge, les titres de section à l’encre rouge. Manuscrit introduit par un frontispice enluminé à l’or et en polychromie en double-page, le texte inscrit en réserve sur fond d’or sur la première page, chapeauté d’un sarlow à décor de lambrequins et d’un cartouche doré, et entouré d’une marge à décor floral hatayi incluant des inscriptions marginales. A la dernière page, colophon donnant la date de 1106 H / 1694 et le nom du copiste Darwish Mohammad. Un cachet en toute première page comportant le nom “Mohammadi”. Reliure qâjâr du XIXe siècle en papier-mâché à décor peint, doré et laqué d’une composition florale sur les plats, de narcisses sur fond rouge sur les contreplats. Dim. reliure : 18 x 12,3 cm Usures, taches, restaurations, mouillures, reliure remplacée au XIXe siècle, son dos restauré. Provenance : Collection de M. Mohajer Le Sahîfa Sajjâdiya (Les Cantiques de Sajjâd) également connu sous le nom de Zabour-e Ahl al-Bayt, est un recueil de prières et de supplications attribuées à l’Imam ‘Alî Zayn al-Abidîn (658-713) surnommé as-Sajjâd (le prosterné), quatrième imam de l’islam chiite. Composé de cinquante-sept prières, cet ouvrage est très populaire dans les milieux chiites. A Safavid al-Sahîfa al-Sajjâdiyya, Psalms of Islam, by ‘Alî Zayn al-Abidîn’s, Iran, dated