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Description
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King George IV Document Signed for Negotiating a Treaty with the U.S. "for the more effectual suppression of the Slave Trade" Manuscrit DS, signé "George R", une page recto-verso, 7,75 x 12,25, 2 septembre 1824. Mandat par lequel le roi George IV accorde "un plein pouvoir à notre fidèle et bien-aimé Henry Unwin Addington, Esquire, l'autorisant et lui donnant le pouvoir de négocier et de conclure, avec le ou les ministres dûment investis d'un pouvoir et d'une autorité similaires de la part de nos bons amis les États-Unis d'Amérique, un traité pour la suppression plus efficace de la traite des esclaves". Signé en tête à l'encre par le roi George IV et contresigné à la fin par le ministre des Affaires étrangères George Canning. Le sceau en papier blanc apposé en haut à gauche est intact. Relié au document par un ruban bleu marine, un manuscrit contient le texte de l'instrument accordant à Addington le pouvoir de négocier ledit traité. En très bon état. Au milieu des années 1820, la pression en faveur de l'abolition de l'esclavage au sein de l'Empire britannique s'intensifie en Grande-Bretagne. Ces efforts, menés par William Wilberforce, Thomas Clarkson et d'autres, aboutiront en 1833 à l'adoption de la loi sur l'abolition de l'esclavage et à l'émancipation de 780 000 esclaves. Afin d'aider les opposants à la traite des esclaves africains, les États-Unis ont failli accepter, au début de l'année 1824, que la Grande-Bretagne fouille les navires des marchands d'esclaves américains. Les négociations relatives à la convention sur la suppression des esclaves étaient toujours en cours en décembre, lorsque le président James Monroe prononça son discours sur l'état de l'Union, dans lequel il commenta la question : Il est très regrettable qu'aucun arrangement n'ait encore été conclu entre les deux gouvernements pour assurer, par une coopération commune, la suppression de la traite des esclaves. Au début des négociations, le gouvernement britannique avait pour objectif d'adopter un plan de suppression qui inclurait la concession du droit mutuel de fouille par les navires de guerre de chaque partie sur les navires de l'autre partie à la recherche de contrevenants présumés. Le gouvernement britannique s'opposa à cette proposition en faisant valoir que le droit de fouille étant un droit de guerre d'un belligérant à l'égard d'une puissance neutre, il pourrait être néfaste de l'étendre par traité à un délit qui avait été rendu relativement bénin en temps de paix. En fin de compte, les perspectives de la convention anglo-américaine proposée se sont effondrées en raison des objections du Sénat des États-Unis, et aucun traité de ce type ne sera conclu avant le traité de Lyon-Seward de 1862 - une mesure agressive visant à mettre fin à la traite atlantique des esclaves négociée au milieu de la guerre de Sécession.

amherst, États-Unis