Null Attribué à Harry Fidler, ROI RBA,
Britannique 1856-1935-

Scène de chasse, …
Description

Attribué à Harry Fidler, ROI RBA, Britannique 1856-1935- Scène de chasse, avec des personnages à cheval et des chiens sur un sentier boisé ; Huile sur toile, inscription au verso, 32 x 26,2 cm. Provenance : Collection privée, Royaume-Uni. Note : Cette œuvre rappelle fortement le style de Fidler : Cette œuvre rappelle fortement le style de Fidler, qui se définit par des empâtements épais appliqués par des coups de pinceau lâches et impressionnistes, tandis que le sujet rural est typique de l'artiste, dont les œuvres représentaient fréquemment des chevaux et des chiens. Fidler a étudié à l'école d'art d'Hubert von Herkomer (1849-1914) à Bushey, aux côtés de William Nicholson (1872-1949) et de Lucy Kemp-Welch (1869-1958).

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Attribué à Harry Fidler, ROI RBA, Britannique 1856-1935- Scène de chasse, avec des personnages à cheval et des chiens sur un sentier boisé ; Huile sur toile, inscription au verso, 32 x 26,2 cm. Provenance : Collection privée, Royaume-Uni. Note : Cette œuvre rappelle fortement le style de Fidler : Cette œuvre rappelle fortement le style de Fidler, qui se définit par des empâtements épais appliqués par des coups de pinceau lâches et impressionnistes, tandis que le sujet rural est typique de l'artiste, dont les œuvres représentaient fréquemment des chevaux et des chiens. Fidler a étudié à l'école d'art d'Hubert von Herkomer (1849-1914) à Bushey, aux côtés de William Nicholson (1872-1949) et de Lucy Kemp-Welch (1869-1958).

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Henry MORET (1856-1913) L'Averse, côte de Bretagne, 1902 Huile sur toile, signée en bas à gauche Étiquettes d'exposition au revers 65 x 92 cm PROVENANCE : Collection particulière du Finistère (Succession) EXPOSITIONS : 1966, Parie, Galerie Durand-Ruel, 5 – 29 janvier 1966, Henry Moret, n° 28. 1994, Paris, Galerie l’Ergastère, 6 mai – 13 juillet 1994, Henry Moret, page 26, reproduction page 27. 2021, Quimper, musée des beaux-arts, 24 juin – 4 octobre 2021, Henry Moret 1856-1913, De Pont-Aven à l’impressionnisme en Bretagne, n° 65 reproduction page 133. BIBLIOGRAPHIE : Jean-Yves Rolland et Marie-Bénédicte Baranger, Henry Moret, Plomelin, Éditions Palantines, 2002, reproduction page 96. "L’œuvre d’Henry Moret (1850-1913), peintre majeur de l’Ecole de Pont-Aven, est aujourd’hui bien connue. Mais sa vie d’artiste conserve une part de mystère. C’était un solitaire maître de son temps. Ainsi quand Wladislaw Slewinski organise un dîner pour célébrer le retour de Paul Gauguin au Pouldu en 1894, Moret décline l’invitation et préfère aller travailler à Groix. On demeure toujours étonné de sa vie de paysagiste, sans cesse sur le motif de Houat à Ouessant. En 1894, il a choisi comme port d’attache Doëlan, plus vivant que Le Pouldu et il y revient après ses longues pérégrinations pour reprendre à la peinture dans son atelier les dessins et gouaches pris sur le vif. Cela lui apporte une certaine stabilité et cela correspond à un moment où la célèbre galerie Durand-Ruel, celle des temps héroïques de l’impressionnisme, a décidé de lui acheter ses toiles et de valoriser son travail dans des expositions. Moret, alors âgé de 44 ans, peut mener une vie qui lui convient : Doëlan c’est aussi, et peut-être avant tout, la chasse, la pêche et les parties de cartes au bistrot avec ses amis du coin. On ignore presque tout de sa vie itinérante et de ses choix qui font qu’on le retrouve au fil des ans un temps à Ouessant puis le mois suivant à Douarnenez ou à Groix. Il connait parfaitement les côtes bretonnes et choisit peut-être en fonction des saisons et des activités, comme le brûlage le goémon. Cela dépend sans doute aussi des possibilités d’hébergement et des relations sur place. Il y a ainsi des lieux « privilégiés » où il vient et revient travailler. Raguénez en Névez en fait partie, au moins depuis 1896. Le site, proche de Port-Manech, est aisément accessible en bateau depuis Doëlan pour éviter le long détour par Pont-Aven. Peindre depuis l’île de Raguénez est intéressant pour le peintre car il y a l’île au premier plan, puis la mer et enfin en arrière-plan la côte proche. L’averse, côte de Bretagne fait partie d’une série de quatre peintures montrant la maison de la famille Marrec, les fermiers de l’île. Peut-être Moret a logé dans cette ferme car, dans ses toiles, il représente sous différents angles cette maison qui devient l’élément majeur de la composition. Et il semble familier des gens comme en témoignent les sujets de deux peintures. Dans L’averse côte de Bretagne, on voit un homme et deux femmes, l’une à la coiffe rouge, l’autre blanche, observant l’état de la mer et une grosse averse dans le ciel. Le pêcheur attend que le temps s’apaise et a provisoirement abandonné ses deux casiers, ses rames et son gréement dans l’attente de rejoindre son canot à l’abri en contrebas pour partir en pêche. On retrouve ces trois personnes, l’homme et les deux femmes aux coiffes de couleurs différentes dans une autre peinture Gros temps à Raguénez (vente Sotheby’s, Londres, 29 juin 1994, lot 148) où ils observent au plus près les vagues qui déferlent, sans doute dans l’attente de l’arrivée du goémon d’épave. Contrairement à la peinture L’Île de Raguénez, Bretagne (Washington, National Gallery of Art) où la maison est présentée sous un grand soleil avec une mer apaisée dans un cadre presque idyllique, Moret exprime dans L’averse côte de Bretagne une grande tension qui contribue symboliquement à traduire l’attente de ces gens devant la violence des éléments. Le premier plan de la toile est construit à partir d’une relation entre un vert assez soutenu et un rose. Cela caractérise l’art de Moret depuis qu’il s’est approprié les principes du synthétisme pontavénien au contact de Gauguin. Les lignes affirmées du sol au milieu à gauche et de la maison fixent le regard du spectateur. Toute la partie haute et vers la droite sont peintes différemment pour traduire les effets atmosphériques éphémères. Peindre la pluie ou une averse est sans doute l’une des choses les plus difficiles pour un paysagiste. Une telle scène et un tel paysage paraissent simples au premier regard, mais au fil de l’observation on s’aperçoit comment Moret joue habilement sur quelques éléments pour guider le regard comme les tas de goémon au mili

HELMUT NEWTON (Allemagne, 1920- Californie, 2004). "Chaussure, Monte Carlo, 1983. Gélatine argentique. Tirage ultérieur. Signé, titré, daté au crayon et cachet de copyright au verso. Pas de numéro d'édition. Provenance : Collection McCord, New York. Dimensions : 36 x 24,6 cm (image) ; 40 x 31 cm (cadre). Une cheville subtilement dressée et chaussée d'un talon haut occupe tout le plan photographique de cette image emblématique d'Helmut Newton. Lieu associé au glamour et au luxe, Monte-Carlo constitue une toile de fond idéale pour l'exploration de la mode et de l'érotisme par Newton. Le fétichisme des talons hauts et des chevilles féminines est exploré par l'artiste dans différents contextes. Dans tous les cas, grâce à des compositions audacieuses et soigneusement élaborées, il redéfinit les paramètres de la photographie de mode et de l'érotisme, le rôle des femmes et les relations de pouvoir. La provocation, l'anti-voyeurisme et l'autonomisation des femmes sont souvent les attributs de ses photos. Newton est né à Berlin, a fréquenté le Heinrich-von-Treitschke-Realgymnasium et l'American School in Berlin. Intéressé par la photographie dès l'âge de 12 ans, lorsqu'il achète son premier appareil, il travaille pour la photographe allemande Yva (Elsie Neuländer Simon) à partir de 1936. Les restrictions de plus en plus oppressives imposées aux Juifs par les lois de Nuremberg font perdre à son père le contrôle de l'usine ; il est brièvement interné dans un camp de concentration lors de la Nuit de Cristal, ce qui contraint finalement la famille à quitter l'Allemagne. Les parents de Newton s'enfuient en Argentine. Enfin, arrivé à Singapour, il découvre qu'il peut y rester, d'abord brièvement en tant que photographe pour le Straits Times, puis en tant que photographe portraitiste. Newton a été interné par les autorités britanniques alors qu'il se trouvait à Singapour et a été envoyé en Australie à bord du Queen Mary, arrivant à Sydney le 27 septembre 1940. Il est libéré en 1942 et travaille brièvement comme cueilleur de fruits dans le nord de l'État de Victoria. En avril 1942, il s'est engagé dans l'armée australienne et a travaillé comme chauffeur de camion. Après la guerre, en 1945, il est devenu sujet britannique et a changé son nom en Newton en 1946. La même année, Newton installe un studio sur Flinders Lane à Melbourne et travaille dans la photographie de mode, de théâtre et industrielle pendant la période d'après-guerre. Il partage sa première exposition commune avec Wolfgang Sievers en mai 1953. L'exposition "New Visions in Photography" est présentée au Federal Hotel dans Collins Street et constitue probablement le premier aperçu de la photographie de la Nouvelle Objectivité en Australie. Newton s'associe à Henry Talbot, un juif allemand qui avait également été interné à Tatura, et son association avec le studio se poursuit même après 1957, lorsqu'il quitte l'Australie pour Londres. Le studio est alors rebaptisé "Helmut Newton and Henry Talbot". La réputation grandissante de Newton en tant que photographe de mode est récompensée lorsqu'il obtient une commande pour illustrer la mode dans un supplément australien spécial pour le magazine Vogue, publié en janvier 1956. Il décroche un contrat de 12 mois avec British Vogue et part pour Londres en février 1957, laissant Talbot gérer l'entreprise. Newton quitte le magazine avant la fin de son contrat et se rend à Paris, où il travaille pour des magazines français et allemands. Il revient à Melbourne en mars 1959 pour travailler avec Australian Vogue. Newton et sa femme s'installent finalement à Paris en 1961. Ses images apparaissent dans des magazines tels que l'édition française de Vogue et Harper's Bazaar. Il établit un style particulier marqué par des scènes érotiques et stylisées, souvent à connotation fétichiste. En 1980, il crée la série des "Big Nudes". Vient ensuite le portfolio "Nude and Clothed" et, en 1992, "Domestic Nudes", qui marque l'apogée de son style érotico-urbain, toutes ces séries témoignent de la dextérité de ses compétences techniques. Newton a également travaillé sur des portraits et des études plus fantastiques. Il a réalisé une série d'illustrations pour Playboy, notamment de Nastassja Kinski et de Kristine DeBell.

HELMUT NEWTON (Allemagne, 1920- Californie, 2004). "Sylvia examinant ses chaussures à talons hauts dans mon studio, Paris, 1981. Gélatine argentique. Signé, titré, daté et annoté au crayon. Provenance : Galerie Maurizio Siniscaldo, Naples, Italie. Dimensions : 54,6 x 40 cm (image). "Sylvia examinant ses talons hauts dans mon studio" est une photographie qui reflète de nombreux thèmes qui définissent la méthode de travail d'Helmut Newton : la composition soigneusement élaborée (la lumière d'un lampadaire filtrant dans l'obscurité de la nuit urbaine contraste avec la clarté du nu et du cadre de la fenêtre), l'élément fétichiste des chaussures à talons aiguilles que Sylvia tient sans maniérisme.... Newton explore souvent les thèmes du pouvoir, du contrôle et du fétichisme dans son travail. Dans cette image, le visage introspectif de la femme (inconsciente du regard du désir masculin) et le naturel de sa posture lui donnent du pouvoir, plutôt que de la réduire au stéréotype de la femme objet. Ce faisant, Newton redéfinit les paramètres de la photographie érotique et de mode : provocation, anti-voyeurisme et autonomisation de la femme sont ses attributs. Ses femmes n'apparaissent pas alanguies comme des odalisques, mais défiantes, sans complexe et sans admettre un voyeurisme facile. Dans des photographies comme celle-ci, elle explore les frontières entre l'intime et le public, tout en planifiant soigneusement ses compositions pour maximiser l'impact visuel. Newton est née à Berlin, a fréquenté le Heinrich-von-Treitschke-Realgymnasium et l'American School in Berlin. Intéressé par la photographie dès l'âge de 12 ans, lorsqu'il achète son premier appareil, il travaille pour la photographe allemande Yva (Elsie Neuländer Simon) à partir de 1936. Les restrictions de plus en plus oppressives imposées aux Juifs par les lois de Nuremberg font perdre à son père le contrôle de l'usine ; il est brièvement interné dans un camp de concentration lors de la Nuit de Cristal, ce qui contraint finalement la famille à quitter l'Allemagne. Les parents de Newton s'enfuient en Argentine. Enfin, arrivé à Singapour, il découvre qu'il peut y rester, d'abord brièvement en tant que photographe pour le Straits Times, puis en tant que photographe portraitiste. Newton a été interné par les autorités britanniques alors qu'il se trouvait à Singapour et a été envoyé en Australie à bord du Queen Mary, arrivant à Sydney le 27 septembre 1940. Il est libéré en 1942 et travaille brièvement comme cueilleur de fruits dans le nord de l'État de Victoria. En avril 1942, il s'est engagé dans l'armée australienne et a travaillé comme chauffeur de camion. Après la guerre, en 1945, il est devenu sujet britannique et a changé son nom en Newton en 1946. La même année, Newton installe un studio sur Flinders Lane à Melbourne et travaille dans la photographie de mode, de théâtre et industrielle pendant la période d'après-guerre. Il partage sa première exposition commune avec Wolfgang Sievers en mai 1953. L'exposition "New Visions in Photography" est présentée au Federal Hotel dans Collins Street et constitue probablement le premier aperçu de la photographie de la Nouvelle Objectivité en Australie. Newton s'associe à Henry Talbot, un juif allemand qui avait également été interné à Tatura, et son association avec le studio se poursuit même après 1957, lorsqu'il quitte l'Australie pour Londres. Le studio est alors rebaptisé "Helmut Newton and Henry Talbot". La réputation grandissante de Newton en tant que photographe de mode est récompensée lorsqu'il obtient une commande pour illustrer la mode dans un supplément australien spécial pour le magazine Vogue, publié en janvier 1956. Il décroche un contrat de 12 mois avec British Vogue et part pour Londres en février 1957, laissant Talbot gérer l'entreprise. Newton quitte le magazine avant la fin de son contrat et se rend à Paris, où il travaille pour des magazines français et allemands. Il revient à Melbourne en mars 1959 pour travailler avec Australian Vogue. Newton et sa femme s'installent finalement à Paris en 1961. Ses images apparaissent dans des magazines tels que l'édition française de Vogue et Harper's Bazaar. Il établit un style particulier marqué par des scènes érotiques et stylisées, souvent à connotation fétichiste. En 1980, il crée la série des "Big Nudes". Vient ensuite le portfolio "Nude and Clothed" et, en 1992, "Domestic Nudes", qui marque l'apogée de son style érotico-urbain, toutes ces séries témoignent de la dextérité de ses compétences techniques. Newton a également travaillé sur des portraits et des études plus fantastiques. Il a réalisé une série d'illustrations pour Playboy, notamment de Nastassja Kinski et de Kristine DeBell.