Null Cercle de Charles Henri Joseph Leickert,
Belge 1816-1907-

Scène d'hiver, a…
Description

Cercle de Charles Henri Joseph Leickert, Belge 1816-1907- Scène d'hiver, avec des personnages debout et patinant sur un lac gelé, et des tours au-delà ; Huile sur carton, indistinctement signée et datée 'pi Fani Baumruck / 1870' au verso, 24,1 x 28,6 cm. Provenance : Propriété d'une collection privée européenne. Note : Leickert a étudié avec Andreas Schelfhout (1787-1870) et Bartholomeus van Hove (1790-1880), des artistes dont les influences sont immédiatement évidentes dans la production de Leickert. Leickert s'est spécialisé dans la représentation de paysages hivernaux, montrant des personnages marchant, patinant et jouant sur des cours d'eau gelés, parmi les moulins à vent et les tours des villes hollandaises, un peu comme dans la présente œuvre.

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Cercle de Charles Henri Joseph Leickert, Belge 1816-1907- Scène d'hiver, avec des personnages debout et patinant sur un lac gelé, et des tours au-delà ; Huile sur carton, indistinctement signée et datée 'pi Fani Baumruck / 1870' au verso, 24,1 x 28,6 cm. Provenance : Propriété d'une collection privée européenne. Note : Leickert a étudié avec Andreas Schelfhout (1787-1870) et Bartholomeus van Hove (1790-1880), des artistes dont les influences sont immédiatement évidentes dans la production de Leickert. Leickert s'est spécialisé dans la représentation de paysages hivernaux, montrant des personnages marchant, patinant et jouant sur des cours d'eau gelés, parmi les moulins à vent et les tours des villes hollandaises, un peu comme dans la présente œuvre.

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Cercle de PEDRO MACHUCA (Tolède, vers 1490-Granada, 1550) ; XVIe siècle. "L'Assomption de la Vierge. Huile sur panneau. Le cadre d'origine est conservé. Il présente des défauts et des pertes sur la surface picturale. Il présente des dommages causés par des xylophages. Dimensions : 187 x 104 cm ; 204 x 119 cm (cadre). Il s'agit d'une composition pleine de mouvement et de dynamisme, où chacun des personnages est étudié individuellement et dans son ensemble, montrant des postures et des plans différents. Cette maîtrise dans la profusion des figures et la maîtrise d'une composition complexe. Ce panneau majestueux représente l'Assomption de la Vierge, portée corps et âme au Ciel, de manière triomphale et scénographique. Derrière elle se trouve la Gloire, représentée par une faible lumière divine, une rupture élaborée dans les marges de laquelle nous voyons des anges dans différentes positions, certains regardant vers la terre et d'autres vers la Vierge. Sur le plan terrestre, clairement différencié du plan céleste par la ligne des nuages, les personnages se rassemblent autour du tombeau ouvert de la Vierge. Ce sont les apôtres qui, après avoir assisté à la mort de Marie, s'émerveillent de son Assomption. Certains d'entre eux sont représentés dos au tombeau, fermant une composition circulaire définie autour du tombeau, classique et ordonnée malgré l'apparente promiscuité des personnages au profit de la théâtralité et, surtout, du dynamisme de la scène. La plupart des personnages regardent vers le ciel, les mains levées en signe de surprise et de vénération, ce qui est un aspect habile de la narration. Nous voyons que Marie ne monte pas au ciel par ses propres moyens, comme le Christ, mais qu'elle est élevée au Paradis par les anges. Comme il est d'usage dans l'art occidental, l'artiste représente son assomption corporelle à l'extérieur du tombeau où les apôtres l'ont enterrée. D'un point de vue formel, l'œuvre s'inscrit dans le cercle de Pedro Machuca, dont on se souvient surtout comme de l'architecte espagnol responsable de la conception du palais de Charles Quint (commencé en 1528) adjacent à l'Alcazar de Grenade. Les détails de sa vie sont peu connus. Né à Tolède, il aurait été l'élève ou l'ami de Michel-Ange et de Pontormo. Sa présence est attestée en Italie dès 1517, lorsqu'il signe La Vierge et les âmes du purgatoire (Prado), dont le style l'a fait associer à l'atelier de Raphaël. De retour en Espagne en 1520, il travaille comme peintre à la chapelle royale de Grenade, ainsi qu'à Jaén, Tolède et Uclés.

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