Cercle de John Cox Dillman Engleheart,
Britannique 1782/84-1862

Portrait d'un f…
Description

Cercle de John Cox Dillman Engleheart, Britannique 1782/84-1862 Portrait d'un franc-maçon, en buste, tourné vers la gauche, vêtu d'un manteau marine et d'une cotte blanche, et d'une cravate foncée ornée d'une épingle maçonnique ; aquarelle sur ivoire, ovale, 6,2 x 5,1 cm. Référence de présentation de l'ivoire : JNR836G8. Provenance : Collection privée, Royaume-Uni.

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Cercle de John Cox Dillman Engleheart, Britannique 1782/84-1862 Portrait d'un franc-maçon, en buste, tourné vers la gauche, vêtu d'un manteau marine et d'une cotte blanche, et d'une cravate foncée ornée d'une épingle maçonnique ; aquarelle sur ivoire, ovale, 6,2 x 5,1 cm. Référence de présentation de l'ivoire : JNR836G8. Provenance : Collection privée, Royaume-Uni.

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INGENHOUSZ (Jan). Nouvelles expériences et observations sur divers objets de physique. Paris, Théophile Barrois, 1785. In-8, basane brune, dos à nerfs orné, tranches rouges (reliure de l'époque). Nombreuses restaurations à la reliure (coiffes, coupes et coins). 4 planches dépliantes in fine. Bon état intérieur. Médecin et botaniste britannique d'origine néerlandaise, Jan Ingenhousz (ou Ingen-Housz, 1730-1799) est initié aux sciences par le médecin Sir John Pringle (1707–1782, président de la Royal Society et médecin du roi) qu'il suit à Londres où il rencontre Joseph Priestley (1733–1804) et Benjamin Franklin (1706–1790). Il devient un des premiers défenseurs de la variolisation (vaccination contre la variole). En 1768, il se rend à Vienne pour vacciner la famille de l'impératrice Marie-Thérèse d’Autriche (1717–1780) ; il y demeurera plus de dix ans. En 1779, après que Priestley a découvert l'oxygène, Ingenhousz s'intéresse aux végétaux et découvre le rôle de la lumière dans la photosynthèse. Il publie en 1780 ses Expériences sur les Végétaux. En 1778, le 9 juillet, il lit devant l'Assemblée de la Société Royale de Londres, sa nouvelle méthode de se procurer de la lumière sur le champ par le moyen d'une très petite bouteille chargée d'électricité, description qui correspond à la future ampoule électrique. En 1785 et 1788 Jan Ingenhousz prend part au débat sur l'électroculture. Il est aussi l'auteur d'une expérience célèbre sur la conductivité thermique des métaux (1789). C'est à lui que l'on doit l'emploi des plateaux de verre dans les machines électrostatiques.

Attribué à THOMAS LAWRENCE (Bristol, 1769 - Londres, 1830). Portrait. Huile sur toile. Dimensions : 73,5 x 63 cm ; 96 x 84 cm (cadre). L'auteur nous offre un portrait d'une grande sobriété, dominé par une palette de tons froids, qui ne sont nuancés que par l'utilisation de formes arrondies qui apportent de la délicatesse à l'œuvre, comme on peut l'observer dans le traitement du mouchoir dans le cou. Tant la composition que l'exécution picturale de cet excellent portrait correspondent aux caractéristiques de la meilleure peinture de portrait anglaise du premier quart du XIXe siècle, et en particulier à l'œuvre de Sir Thomas Lawrence et de son cercle le plus proche. Sir Thomas Lawrence fut, après la mort de Joshua Reynolds en 1792, le principal portraitiste britannique. Sa formation initiale s'est déroulée à Bath, où il a appris de William Hoare la technique du pastel et de Thomas Barker le maniement correct de la peinture à l'huile. En 1787, il s'installe à Londres, où il expose ses premières œuvres à la Royal Academy. Il commence à triompher grâce à ses portraits féminins, comme celui d'Elizabeth Farren, où l'on devine déjà certains traits de sensibilité qu'il développera dans sa production plus mûre. En 1791, il est admis à la Royal Academy et l'année suivante, après la mort de Joshua Reynolds, il devient peintre du roi. En 1815, il est anobli et, la même année, la famille royale lui commande une série de portraits pour la chambre de Waterloo au château de Windsor. En 1820, il succède à Benjamin West à la présidence de la Royal Academy. Les portraits de Lawrence s'inspirent du "grand style" de Reynolds, mais le peintre de Bristol ouvre la voie à une nouvelle conception du portrait en ce qui concerne le modèle, son comportement personnel et sa représentation émotionnelle. Il a su sauver une vision très personnelle de ses clients, typique du portrait romantique et de l'époque victorienne. Ses modèles sont présentés dans des attitudes détendues et naturelles, le coup de pinceau est délicat, imperceptible dans les visages et plus léger et esquissé dans les vêtements et le paysage, qui a presque toujours un rôle important.