Null François GALL (1912-1987)

Les deux bouquets au compotier, 1957

Huile sur …
Description

François GALL (1912-1987) Les deux bouquets au compotier, 1957 Huile sur toile Signé en bas à gauche 61 x 46 cm ; avec cadre 82 x 67 cm Bibliographie : - François Gall, par André Flament, Editions Vision sur les Arts, Paris, p 29 Parmi les fraîches explosions des bouquets champêtres, souvent conjugués aux journaux, pipe et boîte à tabac, jeux d’échecs, le même verre cannelé, et les fruits du jardin de grand père Ferdinand, charron-carrossier à Martel-en-Quercy. « Des morceaux de peinture savoureux et pulpeux à souhait […] où les couleurs semblent s’harmoniser d’elles - mêmes » comme extraites des tapisseries en arrière-plan. François Gall (1912-1987) Après les sujets sociaux et sombres des années de guerre, Gàll Ferencz découvre lumière et liberté dans la France qu’il avait choisie, un rêve d’adolescent assidu à l’Ecole Nagybànya, la Barbizon hongroise de Transylvanie. Suite à sa rencontre en 1946 avec la jeune poétesse Quercynoise Eugénie, style et sujets évoluent. Le galeriste des impressionnistes Charles Durand-Ruel dont il réalise le portrait, l’expose dès 1949. « … des intimités aux paysages, Gall étend son champ visuel avec un brio qui fait songer aux maîtres du début du XXe siècle. Son œuvre est claire et joyeuse, pleine d’optimisme comme l’homme lui-même. Il nous fait assister à une fête perpétuelle de la couleur et de la lumière ». (Jean Bouret, extrait du catalogue de l’exposition). Naturalisé François Gall, il peint avec amour l’animation parisienne, faisant poser Eugénie, leurs trois enfants, collectionneurs et amis.

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François GALL (1912-1987) Les deux bouquets au compotier, 1957 Huile sur toile Signé en bas à gauche 61 x 46 cm ; avec cadre 82 x 67 cm Bibliographie : - François Gall, par André Flament, Editions Vision sur les Arts, Paris, p 29 Parmi les fraîches explosions des bouquets champêtres, souvent conjugués aux journaux, pipe et boîte à tabac, jeux d’échecs, le même verre cannelé, et les fruits du jardin de grand père Ferdinand, charron-carrossier à Martel-en-Quercy. « Des morceaux de peinture savoureux et pulpeux à souhait […] où les couleurs semblent s’harmoniser d’elles - mêmes » comme extraites des tapisseries en arrière-plan. François Gall (1912-1987) Après les sujets sociaux et sombres des années de guerre, Gàll Ferencz découvre lumière et liberté dans la France qu’il avait choisie, un rêve d’adolescent assidu à l’Ecole Nagybànya, la Barbizon hongroise de Transylvanie. Suite à sa rencontre en 1946 avec la jeune poétesse Quercynoise Eugénie, style et sujets évoluent. Le galeriste des impressionnistes Charles Durand-Ruel dont il réalise le portrait, l’expose dès 1949. « … des intimités aux paysages, Gall étend son champ visuel avec un brio qui fait songer aux maîtres du début du XXe siècle. Son œuvre est claire et joyeuse, pleine d’optimisme comme l’homme lui-même. Il nous fait assister à une fête perpétuelle de la couleur et de la lumière ». (Jean Bouret, extrait du catalogue de l’exposition). Naturalisé François Gall, il peint avec amour l’animation parisienne, faisant poser Eugénie, leurs trois enfants, collectionneurs et amis.

Estimation 2 500 - 3 000 EUR

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Frais de vente : 26 %

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