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Alexandre Grigorievitch STOLETOV (1839-1896), physicien. L.A.S. AStoletov adressée au botaniste Andreï Sergueïevitch Famintsyne (1835-1918), datée du 15 mars 1893 à Moscou. Format in-8°, 3 pages. ,, . . , , . . .,; .

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Alexandre Grigorievitch STOLETOV (1839-1896), physicien. L.A.S. AStoletov adressée au botaniste Andreï Sergueïevitch Famintsyne (1835-1918), datée du 15 mars 1893 à Moscou. Format in-8°, 3 pages. ,, . . , , . . .,; .

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Généraux et Maréchaux. Ensemble de 5 lettres de généraux et maréchaux du Second Empire : - AMBERT (Joachim, général, 1804-1890), L.A.S., Tours, 17 juin 1835, 3 pp. in-8, adressée à son oncle, directeur de l'enregistrement des domaines à Melun, à propos de l'affaire La Roncière (accusé, à tort, de viol par la fille du commandant de l'École de cavalerie de Saumur, le général de Morell, proche parent du Maréchal Soult, Émile de la Roncière (lui-même fils du célèbre général d'Empire, ennemi du maréchal Soult) est condamné le 10 juillet 1835 à 10 ans de prison. Il est finalement libéré et réhabilité au bout de quatorze ans et entame une brillante carrière coloniale.) : ""[…] cette affaire a un prodigieux retentissement et je ne doute pas que son importance ne m'appelle à Paris comme témoin. […] Je vous avoue que je suis tout attristé de cette pensée de paraître devant un tribunal, et d'occuper de moi des journalistes & un public. Je sais que je suis là dans l'Intérêt de la société et j'ai besoin de me rappeller cette devise que les Ambert de la première souche ont toujours mis en pratique : 'fais ce que dois advienne que pourra'.[…]"" Il continue en se disant épuisé du surcroît de travail donné par le nombre important de recrues. Il est découragé et pense parfois abandonner ""un métier si ingrat et si pénible, et de m'aller occuper à la Guadeloupe auprès de mon père des intérêts pécuniaires de toute la famille. ""[…] Mais je chasse ces idées et je reprends courage. Car les injustices m'ont rendu énergique. J'avance en âge et mon avenir ne se dessine pas, et tous mes rêves de bonheur disparaissent un à un ; tout cela est triste. […]"" - BONNAL (Henri, général, 1844-1917), L.A.S., slnd (mardi matin 9 heures), vers 1910 (selon une note manuscrite postérieure au crayon), lettre d'amour à sa ""Germaine adorée"". - GALLIFET (Gaston Alexandre Auguste, marquis de, général, 1830-1909), B.A.S., sl, 11 février 1896, 1 p. in-8 (""Monsieur, il n'a jamais été 'sérieusement' question de faire paraître mes mémoires […]"") + B.A.S., slnd (jeudi soir tard), à un ami à qui il donne rendez-vous (""[…] vous pourrez prendre, sur l'original, copie de 'L'Incident est clos'."") - TROCHU (Louis Jules, général, 1815-1896), L.A.S., Versailles, 28 février 1872, 1 p. in-8 à un collègue (demande 2 cartes d'entrée pour la séance de vendredi).

Dominique Dufour de PRADT. L.A.S. et MANUSCRIT autographe, Paris 13 février 1819 ; 1 et 6 pages in-4. Révélations au sujet de son ambassade à Varsovie. Il envoie à une dame des « suplemens à l’ambassade de Varsovie », comptant sur sa discrétion… [Pradt a publié en 1815 son Histoire de l’ambassade dans le grand-duché de Varsovie, où Napoléon l’avait nommé en 1812.] « Les égards dus aux personnes, ou commandés par les circonstances peuvent forcer un écrivain au sacrifice de quelques parties de ces récits, toutes les fois que la vérité historique n’est pas altérée par ces restrictions. […] L’auteur de l’ambassade de Varsovie a éprouvé cette espèce de remords par lequel la prudence se venge en quelque sorte de la précipitation, et rappelle sur ses pas l’écrivain qui s’est abandonné à un premier mouvement […] Par exemple comment faire paraître avec convenance, sous les yeux de l’empereur de Russie, arrivé à Paris pour la seconde fois l’épée à la main, et s’y trouvant lorsque l’ambassade parut, la phrase que l’on lira plus bas […] De même pour M. de TALLEYRAND. Le mot de Napoléon sur lui étoit sanglant, et d’autant plus fâcheux qu’il retraçait une chose vraie »… Pradt a donc retranché de son manuscrit certaines phrases qu’il retranscrit ici, notamment des propos de NAPOLEON qu’il restitue ici. Ainsi : « L’Empereur Alexandre fait le petit mutin, mais je l’écraserai » ; ou sur Talleyrand, qu’il voulait nommer à Varsovie : « mais il a été le bavarder à un tas de vieilles femmes, c’est un homme fini » ; ainsi qu’un propos cruel sur l’impératrice d’Autriche. Pradt donne également ici un développement sur le général SEBASTIANI et la défense de Paris contre les alliés… On joint un manuscrit : « Lettres de M. de Pradt à M. de Bassano depuis le 9 mai » (6 p. petit in-4, sous chemise titrée), analyse de cette correspondance du 9 mai au 13 juillet 1812.