Null Bodoni - Le Cantique des Cantiques.

Parme, co' Tipi Bodoniani, 1800. In 4°…
Description

Bodoni - Le Cantique des Cantiques. Parme, co' Tipi Bodoniani, 1800. In 4°. Reliure cartonnée, défauts au dos et aux plats. § Aurelio Bernieri - Versets. Parme, co' Tipi Bodoniani, 1811. In 8°. Trois volumes reliés en un seul tome. Petite tache d'humidité sur le dernier feuillet. Reliure du XIXe siècle en maroquin brun, dos à 4 compartiments, nom de l'auteur en or, charnières usées. Exemplaire en bel état.

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Bodoni - Le Cantique des Cantiques. Parme, co' Tipi Bodoniani, 1800. In 4°. Reliure cartonnée, défauts au dos et aux plats. § Aurelio Bernieri - Versets. Parme, co' Tipi Bodoniani, 1811. In 8°. Trois volumes reliés en un seul tome. Petite tache d'humidité sur le dernier feuillet. Reliure du XIXe siècle en maroquin brun, dos à 4 compartiments, nom de l'auteur en or, charnières usées. Exemplaire en bel état.

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École andalouse ; XVIIIe siècle. "Immaculée Conception". Huile sur toile. Présente des restaurations. Elle porte une étiquette informative au dos de la "Caja General de Restauraciones". Provenance : Duques de la Conquista. Dimensions : 120,5 x 85,5 cm ; 129 x 95 cm (cadre). Cette œuvre représente l'Immaculée selon les modèles esthétiques du baroque espagnol, avec Marie vêtue de blanc et de bleu (symboles de la pureté et des concepts de vérité et d'éternité, respectivement), entourée d'enfants anges, debout sur le croissant et au-dessus d'elle, la représentation du Saint-Esprit. Certains anges portent des symboles des litanies, comme les lys ou la palme. Bien que suivant les modèles mentionnés, l'œuvre abandonne la splendeur théâtrale du baroque en faveur d'une scénographie beaucoup plus sobre, mesurée et équilibrée qui peut être appréciée dans les tons de couleur utilisés par l'artiste et dans la composition elle-même. Le dogme de l'Immaculée défend que la Vierge a été conçue sans péché originel, et a été défini et accepté par le Vatican dans la bulle Ineffabilis Deus, le 8 décembre 1854. Cependant, l'Espagne et tous les royaumes sous sa domination politique défendaient cette croyance auparavant. Sur le plan iconographique, la représentation reprend à la fois des textes de l'Apocalypse (12 : "Un grand signe apparut dans le ciel : une femme enveloppée de soleil, la lune sous ses pieds, et sur sa tête une couronne de douze étoiles") et de la litanie lauretaine priée après le rosaire et contenant des épithètes de Marie tirées du Cantique des Cantiques du roi David. En joignant les deux textes et après une évolution qui commence déjà à la fin de la période gothique, nous arrivons à une typologie très simple et reconnaissable qui présente la Vierge sur le quartier lunaire, avec les étoiles sur la tête et vêtue de lumière (avec une auréole sur la tête seulement ou sur tout le corps), normalement vêtue de blanc et de bleu en allusion à la pureté et à l'éternité (bien qu'elle puisse aussi apparaître en rouge et en bleu, en relation alors avec la Passion), les mains sur la poitrine presque toujours et représentée jeune en règle générale. Elle porte une étiquette informative au dos de la "Caja General de Restauraciones".

Italie - GOETHE (Johann Wolfgang von). Das Roemische Carneval 1788. Montagnola, Officina Bodoni, 1924. In-4 (30 x 20,8 cm) de 74 pp. non rognées, maroquin citron, double encadrement de filets dorés sur les plats, dos à 6 nerfs orné de caissons de doubles filets dorés, auteur, titre et date dorés, coupes et chasses filetées, tête dorée, étui bordé (Officina Bodoni fec.). Tirage à 230 exemplaires, celui-ci est l'un des 224 sur vélin Fabriano et, parmi ceux-ci, l'un des 12 exemplaires de luxe reliés en maroquin par l'atelier de l'éditeur. Le texte en allemand est imprimé avec les caractères de Bodoni, en Cancelleresco corps 20. C'est l'une des premières publications de l'Officina Bodoni, créée en 1922 par Hans Mardersteig (1892-1977), sur le modèle des presses privées. Chaque livre était composé manuellement par l'éditeur et tiré sur une ancienne presse à bras. Le carnaval de Rome était l'un des plus beaux, des plus spectaculaires et des plus célèbres du monde. Disparu à la fin du XIXe siècle, on le connaît grâce à de multiples tableaux et descriptions, la plus fameuse étant celle faite par Goethe, qui y assista en 1787. Sa chambre, située via del Corso, se trouvait au coeur du carnaval. Les clous du spectacle étaient la promenade de masques avec bataille de confetti et de bouquets, la course des chevaux, appelée course de Barberi, et la bataille de bougies Dans sa description, Goethe livre d'intéressants détails, notamment sur la confection des confetti, faits de petites boulettes de plâtre coloré fabriquées à l'aide d'un entonnoir. Ex-libris en maroquin brun au contreplat supérieur, notices de vente contrecollées sur le premier f. blanc du relieur. Qqs pâles rousseurs sur les gardes blanches et très rares dans le texte sinon très bel exemplaire de luxe en maroquin citron de l'éditeur.