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"MAIOR LEGENDA" - L'original est conservé dans les archives du couvent franciscain Cardenal Cisneros de Madrid. M. : AyN Ediciones, 2001. 4e édition, plein cuir avec fermeture en métal. Contenu dans l'étui d'édition, avec le certificat notarial de tirage limité. Vol. d'études joint.

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"MAIOR LEGENDA" - L'original est conservé dans les archives du couvent franciscain Cardenal Cisneros de Madrid. M. : AyN Ediciones, 2001. 4e édition, plein cuir avec fermeture en métal. Contenu dans l'étui d'édition, avec le certificat notarial de tirage limité. Vol. d'études joint.

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PABLO GENOVÉS (Madrid, 1959). "Le danseur, 2001. Cibachrome entre méthacrylate et aluminium. Copie 3/3. Signé, daté, titré et justifié au dos. Dimensions : 187 x 121 cm. Les photomontages visionnaires de Pablo Genovés sont une métaphore de la disparition de la civilisation humaine sur la planète. Ses fascinantes images cauchemardesques, dans lesquelles la figure humaine n'est pas représentée, provoquent une sensation de peur et d'admiration chez le spectateur et transmettent l'idée de l'urgence d'établir une nouvelle relation entre l'être humain et la terre qui ne soit pas basée sur son pillage. Pablo Genovés est un photographe espagnol qui utilise des techniques photographiques, numériques et picturales. À ses débuts, il peignait directement sur les photographies, en y ajoutant des couleurs abondantes ; plus tard, il a changé ses critères pour le noir et blanc, avec des ajouts de couleurs très sporadiques. Son travail explore les concepts de mémoire, de passé et de réalité ; la combinaison de la photographie et de la peinture donne à ses images un caractère propre. Dans ce mélange de langages, il cherche à montrer les avantages et les inconvénients de l'existence humaine. Certaines de ses séries photographiques montrent des espaces architecturaux luxueux (palais, bibliothèques, théâtres) sous l'effet des forces de la nature.3 Ces photographies sont composées de photographies antérieures, anonymes, que l'artiste a trouvées dans des marchés de rue et qu'il a manipulées numériquement.

Phurba tibétain avec Hayagrivan en bronze, probablement au 19e siècle. Avec une triple divinité, une tête de cheval et un cobra. 37 cm de haut La phurba, ou dague rituelle, est un objet utilisé dans le bouddhisme vajrayāna ou tantrique pour marquer les espaces sacrés et éloigner les mauvais esprits. La partie supérieure comporte trois têtes représentant la joie, le dégoût et l'équanimité, la partie centrale est un vajra ou sceptre, et la partie inférieure est un couteau à trois lames qui symbolise le feu de la sagesse et les vertus de la charité, de la chasteté et de la patience, qui s'oppose aux vices de la haine, de la paresse et de l'avarice. Le couteau sort de la bouche d'un monstre aquatique, le makara, qui est un symbole de chance. L'utilisation de la phurba au Tibet remonte au 8e siècle, d'abord par les chamans avant l'avènement du bouddhisme. Les prêtres l'utilisent dans les cérémonies d'initiation, d'exorcisme et pour marquer le centre des mandalas. Lors de ces rituels, le poignard immobilise les démons et les forces négatives représentées par des effigies, à l'aide de mantras et de mudras. Les phurba de plus grande taille sont placés dans les temples comme symbole du pouvoir et du grand Lama, associé à Jupiter et au jeudi. Leur conception rappelle également les outils utilisés pour immobiliser les animaux dans les rituels védiques indiens et dans les tentes mongoles, soulignant leur fonction de transformation des forces négatives en forces positives. Seuls les prêtres initiés sont autorisés à les manipuler en raison des risques de mauvaise utilisation. En bon état.