Null Panneau publicitaire en émail Distributeur de couleurs Viynleix et Centrali…
Description

Panneau publicitaire en émail Distributeur de couleurs Viynleix et Centraline/Peinturesa Vinyleix et Centraline Distributeur, France vers 1930, très bon état de conservation, traces d'ancienneté minimes, motif sur les deux faces, marqué Emaillerie Alsaciene Strasbourg en bas à droite, 57,5 x 39 cm, poids 2,6 kg. 4335-002

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Panneau publicitaire en émail Distributeur de couleurs Viynleix et Centraline/Peinturesa Vinyleix et Centraline Distributeur, France vers 1930, très bon état de conservation, traces d'ancienneté minimes, motif sur les deux faces, marqué Emaillerie Alsaciene Strasbourg en bas à droite, 57,5 x 39 cm, poids 2,6 kg. 4335-002

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D'après EUGÉNE CORNU (1827- 1875) ; France, vers 1890. Centre de table. Onyx d'Algérie, agate et bronze. Un des anges n'a pas de support stable. Dimensions : 32,5 x 29 x 29 cm. Centre de table en agate, onyx d'Algérie et bronze doré. Le pied rond en agate et délimité par une chaîne en bronze dans la zone inférieure et supérieure, cède la place à la base en onyx d'Algérie, zone qui soutient la tige de la coupe où sont disposés deux petits anges de forme ronde et massive réalisés en bronze. La pièce comporte des appliques de bronze sur la tige en guise de feuilles et se termine par la coupe en agate sculptée de godrons. La pièce suit les modèles de Louis-François-Eugène Cornu, dessinateur et fabricant de bronze. En 1858, après avoir travaillé comme dessinateur et dirigé des travaux pour la Maison Tahan, il devient créateur et directeur de la Compagnie des Marbres et Onyx d'Algérie d'A. Pallu & Co puis de son successeur G. Viot. Cette société est spécialisée dans la fabrication d'objets de luxe alliant le bronze, l'onyx-marbre d'Algérie et l'émail champlevé. Les créations de Cornu sont présentées aux expositions universelles de Londres en 1862, 1871 et 1872, et à Paris en 1867, où il reçoit une médaille d'or pour une grande paire de vases en onyx, bronze et émail. La Compagnie des Marbres et Onyx d'Algérie produit également des objets d'après des dessins d'Albert Carrier-Belleuse, Charles Cordier et Louis-Alfred Barrias. En 1878, ses magasins sont situés au 24 boulevard des Italiens à Paris. L'un des anges n'a pas de prise stable.

Paire de vases Satsuma. Japon, XIXe siècle. Céramique émaillée et bases en bois d'ébène. Légère usure due au temps. Dimensions : 78 x 32 x 32 cm, 164 x 39 x 39 x 39 cm (avec pied). Vase japonais de type Satsuma, richement décoré de reliefs, d'émaux épais et de dorures. Ils ont une panse ovoïde et un col étroit qui s'élargit vers l'embouchure et se termine à plat. Ils sont décorés de moulures convexes en relief sous le col. Pour le reste, le décor est entièrement émaillé, dans une large gamme de couleurs où l'or prédomine, comme c'est souvent le cas pour les Satsuma. Les principaux motifs, végétaux, sont encadrés sur la panse, sur un fond doré, très typique de la porcelaine japonaise, que l'on retrouve également sur le pied et le col. Ces scènes sont caractérisées par divers personnages tirés de la mythologie et de la religion japonaise : dieux, guerriers et moines. La porcelaine de Satsuma est fabriquée depuis le début du XVIIIe siècle sur l'île de Kyushu. Il s'agit d'un type de porcelaine fortement influencé par la Corée, puisqu'il a même été apporté aux potiers coréens. Dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, il est devenu si populaire au Japon que le centre de production a été déplacé à Awata, près de Kyoto. Il existe donc une production locale au XVIIIe siècle, même si les pièces destinées à l'exportation au XIXe siècle, déjà produites à Awata, auront une plus grande importance. La pâte n'est pas de la porcelaine, mais une terre cuite légère et poreuse. La glaçure est feldspathique, mélangée à de la cendre de bois. Le trait le plus caractéristique de la poterie de Satsuma est sa richesse décorative, parfois même exagérée. En général, les motifs sont brossés dans une glaçure dorée, comme on le voit ici, ce qui est une nouveauté par rapport aux styles précédents. En outre, l'ornementation est complétée par des émaux polychromes très variés : vert, rouge, blanc, turquoise, rose et, surtout, bleu "gosu", le plus recherché de tous, d'une tonalité très sombre et typique des meilleures Satsuma du XIXe siècle. Il s'agit en outre de glaçures très épaisses, qui présentent même des reliefs, comme on peut le voir sur ces pièces. Quant aux motifs décoratifs, ils étaient très variés, allant des motifs floraux qui dominent la production nationale aux motifs figuratifs, les plus courants dans les pièces destinées à l'exportation.

Christ roman de l'atelier de Limoges, 12e-13e siècle. Cuivre doré. Il présente des cassures et des pertes dans la dorure. Dimensions : 7 x 12 cm. Sculpture de dévotion en cuivre qui représente le corps du Christ sur la croix, bien qu'elle ne soit pas conservée. La pièce présente une figure du Christ triomphant, alors qu'il se réveille et qu'il est couronné roi du ciel. L'atelier de Limoges apparaît dans le dernier quart du XIIe siècle et poursuit son activité jusqu'au XIVe siècle. Il connaît un nouvel essor au XVe siècle avec la nouvelle technique de l'émail peint. Il devient le plus important atelier d'émail, devant ceux de Rhénanie et de Meuse, disparus au XIIe siècle, qui se consacrent à la production de plaques individuelles sur commande, qui sont ensuite montées sur un objet ou réunies pour former des devants d'autel. À Limoges, en revanche, on commence à produire des objets, et non plus seulement des plaques, décorés d'émaux, surtout pour un usage religieux, mais aussi pour un usage profane. Il s'agissait de pièces moins chères, à base de cuivre, et très attrayantes grâce à la décoration émaillée, ce qui leur valut un succès énorme et immédiat dans toute l'Europe. Limoges est également mentionnée dans des documents, ce qui indique qu'il s'agissait d'un centre important connu dans toute l'Europe occidentale. L'une des caractéristiques de Limoges est la très faible profondeur du fond, qui ne dépasse pas deux ou trois millimètres. Pour représenter les détails, on utilise un cloisonnement si fin qu'il ne peut être distingué de celui des fouilles que par une observation minutieuse à la loupe. À Limoges, les émaux étaient appliqués selon le goût du client, ne remplissant que le fond, que les figures ou les deux. Quant à la gamme des couleurs, il reprend celle des ateliers de la Meuse, très variée, mais y ajoute de nouvelles couleurs, comme le vert olive, le bleu gris clair ou le blanc pour les carnations.