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Description

GRASSET. ROUGET DE LISLE. La Marseillaise. Chant national... Illustrations par Eugène Grasset... Nice, Cumin, [vers 1930]. In-folio, en feuilles sous chemise éditeur portant le titre sur étiquette et fermée par un ruban tricolore (chemise passée). Chef-d'œuvre du tissage lyonnais, cette édition limitée à 300 exemplaires a été réalisée sur métier à bras par la maison Chatel et Tassinari, la mise en carte et le lisage opérés par MM. Travard et Billiet. L'ouvrage se compose de 4 compositions tissée montées sur carton fort et d'un feuillet de titre sur carton. Exemplaire numéroté 134 et réservé au maréchal Juin.

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GRASSET. ROUGET DE LISLE. La Marseillaise. Chant national... Illustrations par Eugène Grasset... Nice, Cumin, [vers 1930]. In-folio, en feuilles sous chemise éditeur portant le titre sur étiquette et fermée par un ruban tricolore (chemise passée). Chef-d'œuvre du tissage lyonnais, cette édition limitée à 300 exemplaires a été réalisée sur métier à bras par la maison Chatel et Tassinari, la mise en carte et le lisage opérés par MM. Travard et Billiet. L'ouvrage se compose de 4 compositions tissée montées sur carton fort et d'un feuillet de titre sur carton. Exemplaire numéroté 134 et réservé au maréchal Juin.

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En vente le vendredi 28 juin : 14:00 (CEST)
amboise, France
Daguerre
+33145630260

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mercredi 26 juin - 10:00/18:00, DAGUERRE Val de Loire
jeudi 27 juin - 10:00/18:00, DAGUERRE Val de Loire
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BARTHOLDI (Auguste). Lettre autographe signée à un « cher Monsieur ». Paris, 28 octobre 1881. 2 pp. 1/2 in-8, en-tête imprimé à son monogramme. « Si j’ai tardé à répondre à votre aimable lettre, c’est parce que J’AI ETE ASSEZ OCCUPE DEPUIS CES JOURS DERNIERS, PAR LES AFFAIRES DE MA STATUE D’AMERIQUE. J’ai été très heureux d’apprendre que ma proposition vous agréait car j’étais bien en peine pour arriver à exécuter la statue de Rouget de Lisle et les exigences des fondeurs me mettaient dans l’impossibilité d’arriver. Je serai prêt à l’époque que vous indiquez, et cela me permet d’étudier et travailler mon œuvre cet hiver avec tout le soin et le plaisir que je suis heureux d’y apporter. Je vous remercie bien de vos pensées gracieuses pour moi, je me suis vu déjà plusieurs fois écarté dans les récompenses officielles par des candidats plus agissants que moi ; mais j’ai toujours préféré attendre ces choses de la spontanéité des événements ou de l’influence des personnes qui m’estiment. Je suis très touché... des sentiments que vous m’exprimez à cette occasion. J’ai pris bonne note de vos observations pour la couronne comtale et sur les inscriptions. Il faudra me faire un dessin que l’on pourrait soumettre à l’approbation du Conseil. Quant aux inscriptions proposées par M. de Ronchaud [l’historien et directeur des musées nationaux Louis de Ronchaud], j’en suis fort aise ; car j’ai déjà cherché si je ne trouverais pas quelque chose dans Victor Hugo ; je ferai un tracé pour la disposition dans les panneaux de côté... » LA STATUE DE LA LIBERTE fut conçue par le sculpteur Auguste Bartholdi, avec une structure métallique par l’architecte Eugène Viollet-le-Duc puis par l’ingénieur Gustave Eiffel. La réalisation demanda près de dix ans, des premiers travaux en 1875 jusqu’à son installation et son inauguration à New York en 1886. — Quand à sa statue de Claude-Joseph ROUGET DE LISLE, elle fit l’objet d’une souscription nationale sous la présidence d’honneur de Victor Hugo, et fut inaugurée à Lons-le-Saunier, ville natale de l’auteur de La Marseillaise, en août 1882. « NOUS SOMMES ENTOURES DE MERVEILLES, IL ‘AGIT DE LES VOIR ET FAIRE VOIR... »