Description

Chuck RENSLOW alias Kris Studio (1929-2017) George O'Mara au miroir, c.1960 Tirage argentique d'époque 17,7 x 12,5 cm

Ce lot n’est accessible que si vous êtes connecté, et que votre âge est vérifié d’après votre pièce d’identité.

Traduit automatiquement par DeepL. Seule la version originale fait foi.
Pour voir la version originale, cliquez-ici.

46 
Online
en cours
Aller au lot
<
>

Chuck RENSLOW alias Kris Studio (1929-2017) George O'Mara au miroir, c.1960 Tirage argentique d'époque 17,7 x 12,5 cm

Ce lot n’est accessible que si vous êtes connecté, et que votre âge est vérifié d’après votre pièce d’identité.

Temps restant
Estimation 200 - 300 EUR
Mise à prix  150 EUR

* Hors frais de vente.
Reportez vous aux conditions de vente pour calculer le montant des frais.

Frais de vente : 29 %
Enchérir

Clôture de la vente à partir du
mercredi 26 juin - 19:31 (CEST)
paris, France
Barbarossa maison de ventes
+33675915413
Voir le catalogue Consulter les CGV Infos vente

Livraison à
Modifier votre adresse de livraison
La livraison est optionnelle.
Vous pouvez recourir au transporteur de votre choix.
Le prix indiqué n’inclut ni le prix du lot, ni les frais de la maison de vente.

Vous aimerez peut-être

Chuck RENSLOW alias Kris Studio (1929-2017) George O'Mara, c.1960 Tirage argentique d'époque annoté au verso 17,7 x 12,5 cm Collection Pierre Borhan La collection « masculine » de Pierre Borhan Pierre Borhan s’est passionné pour la photographie à la fin des années 1970. Dès lors, magazines, livres, expositions, entretiens avec des photographes et des spécialistes qualifiés nourrirent son engouement. Son premier livre, Voyons Voir, fut publié par Créatis en 1980. Le masculin devint naturellement l’un de ses thèmes de prédilection. Il lui permit de s’insinuer dans ses recherches et dans ses choix iconographiques quand il prépara certaines expositions, certains ouvrages, comme Jan Saudek (Paris Musées, 1987), Splendeurs et misères du corps (Benteli, 1988, prix Nadar 1989), Raymond Voinquel : les acteurs du rêve (AFDPP, 1998), Toni Catany, l’artiste en son paradis (Lunwerg, 2000), Les vérités du sexe (Marval, 2003), Mario Testino : Sir (Taschen, 2015). Dans cette veine, il est l’auteur d’un livre qui fait date : Hommes pour Hommes / homoérotisme et homosexualité masculine dans l’histoire de la photographie depuis 1840 (éditions des Deux Terres, 2007). The Vendome Press publia l’édition américaine : Man to Man : A History of Gay Photography. Rizzoli se chargea de l’édition italienne : Uomini per Uomini. Jonathan Cape Ltd fit sienne l’édition anglaise : Men for Men. Christian Brandstätter Verlag, l’édition en langue allemande. Depuis 2007, ces éditions (23 000 exemplaires) font référence pour les professionnels et les amateurs avertis. Achetées à des galeries ou directement à des photographes pour lesquels il écrivit un texte ou fit une sélection emblématique de leurs créations, les épreuves proposées dans cette vente sont les coups de coeur constitutifs d’une collection créée au fil de rencontres et de missions institutionnelles. Peu importe que les modèles soient des sportifs, des mannequins, des complices aguicheurs ou des amis assumés : ils s’offrent, grâce aux artistes qui les ont mis en lumière, à l’imagination de tout un chacun. Beauté, charme, sex-appeal, admiration, attraction, fantasme. Parmi les « vedettes » de la vente, figurent aussi bien des Européens hors du commun (Walter Pfeiffer, Jan Saudek, Paul Blanca) que des Américains : David Vance, Tom Bianchi, l’un et l’autre auteur de plus de dix livres ; David Morgan qui trouva son bonheur avec Beach (2001) et suscita bien des désirs ; Jim French, maître d’un male fine art débridé, de Man (1972) à Opus Deorum (1992) ; Arthur Tress dont une rétrospective fut présentée en Californie au Getty Center en 2023. Auxquels se joint un Egyptien : Youssef Nabil qui est représenté par la galerie Nathalie Obadia à Paris et dont la notoriété défie les frontières. Pierre Borhan se confie : « Mon être est imprégné par l’attrait (sensoriel, sexuel, affectif) des hommes. J’ai toujours senti que cet attrait était indélébile en moi. » Sa collection en témoigne.