Description
THOMAS (Auguste-Henri) - BARRÈS (Maurice). En Italie. Paris : Auguste Blaizot, René Kieffer, 1911. — Grand in-8, 276 x 207 : frontispice, 136 pp., (2 ff.), 11 planches, couverture illustrée. Maroquin havane, plats ornés d’un riche décor identique et symétrique signé de P. Soudée, comprenant bandes courbes de maroquins havane, vert, noir et bleu, soulignées par des roulettes de points ou de filets dorés, bordées dans l’angle inférieur d’une plaque à froid, et incorporant au centre un paysage italien mosaïqué de maroquins noir, orange, havane et vieux rose, et sur la partie supérieure le dessin d’un buste féminin réalisé à l’aide de petits filets verticaux à froid sur fond doré, dos lisse orné, doublures de soie imprimée, ornée d’une illustration de Thomas, gardes de soie brochée noire et or, doubles gardes, tête dorée, non rogné, couverture et dos conservés (René Kieffer et P. Soudée). Édition tirée à 250 exemplaires sur vélin de Rives dans la « Collection éclectique », illustrée de 23 eaux-fortes originales en couleurs du peintre et graveur belge Auguste-Henri THOMAS (1878-1924), dont 12 hors texte et 11 en tête de chapitre, et de nombreuses vignettes et ornements par le même artiste. UN DES 20 PREMIERS EXEMPLAIRES contenant 3 états des eaux-fortes, la suite des vignettes en tirage à part et UNE AQUARELLE ORIGINALE signée de l’illustrateur. Cette dernière représente une vue extérieure de la villa Doria Pamphilj à Rome. Superbe exemplaire en reliure de René Kieffer, arborant sur les plats un décor mosaïqué signé de Pierre Soudée. Les reliures signées de ce dernier sont très rares. Il participa notamment à l’exposition des arts du livre au musée Galliéra en février-mars 1925, au côté de grands relieurs comme René Kieffer, Blanchetière, Canape, Frany, Paul Bonet, Louise-Denise Germain ou encore Marius Michel. Il exposa alors dans la catégorie « Reliures » pour la partie consacrée à la publicité. Ses reliures étaient qualifiées de « curieuses et originales » et il signait généralement « artisan relieur, doreur, décorateur ». Exemplaire très bien conservé malgré une griffure sur la partie dorée sur le haut du premier plat. Rousseurs éparses.
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THOMAS (Auguste-Henri) - BARRÈS (Maurice). En Italie. Paris : Auguste Blaizot, René Kieffer, 1911. — Grand in-8, 276 x 207 : frontispice, 136 pp., (2 ff.), 11 planches, couverture illustrée. Maroquin havane, plats ornés d’un riche décor identique et symétrique signé de P. Soudée, comprenant bandes courbes de maroquins havane, vert, noir et bleu, soulignées par des roulettes de points ou de filets dorés, bordées dans l’angle inférieur d’une plaque à froid, et incorporant au centre un paysage italien mosaïqué de maroquins noir, orange, havane et vieux rose, et sur la partie supérieure le dessin d’un buste féminin réalisé à l’aide de petits filets verticaux à froid sur fond doré, dos lisse orné, doublures de soie imprimée, ornée d’une illustration de Thomas, gardes de soie brochée noire et or, doubles gardes, tête dorée, non rogné, couverture et dos conservés (René Kieffer et P. Soudée). Édition tirée à 250 exemplaires sur vélin de Rives dans la « Collection éclectique », illustrée de 23 eaux-fortes originales en couleurs du peintre et graveur belge Auguste-Henri THOMAS (1878-1924), dont 12 hors texte et 11 en tête de chapitre, et de nombreuses vignettes et ornements par le même artiste. UN DES 20 PREMIERS EXEMPLAIRES contenant 3 états des eaux-fortes, la suite des vignettes en tirage à part et UNE AQUARELLE ORIGINALE signée de l’illustrateur. Cette dernière représente une vue extérieure de la villa Doria Pamphilj à Rome. Superbe exemplaire en reliure de René Kieffer, arborant sur les plats un décor mosaïqué signé de Pierre Soudée. Les reliures signées de ce dernier sont très rares. Il participa notamment à l’exposition des arts du livre au musée Galliéra en février-mars 1925, au côté de grands relieurs comme René Kieffer, Blanchetière, Canape, Frany, Paul Bonet, Louise-Denise Germain ou encore Marius Michel. Il exposa alors dans la catégorie « Reliures » pour la partie consacrée à la publicité. Ses reliures étaient qualifiées de « curieuses et originales » et il signait généralement « artisan relieur, doreur, décorateur ». Exemplaire très bien conservé malgré une griffure sur la partie dorée sur le haut du premier plat. Rousseurs éparses.
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