Description
PISSARRO Camille (1830-1903) L.A.S. à sa femme Julie, Paris, (s.d. « samedi »). 1 p ½. In-8, sur papier à carreaux. Il l'informe « nous comptons partir mardi à Eragny, j'écris à [Octave] Mirbeau que je pars ; je suis décidé à ne pas faire le voyage craignant de trop grands frais, n'ayant vendu qu'une toile à Laraud il faut marcher doucement. » il évoque ensuite la santé de Julie et de son fils Félix « Je suis allé chez Bellio [Georges de Bellio] je lui ai parlé de toi, il m'a approuvé de t'avoir donné coffea et il m'a dit que Cham aurait-fait-encore meilleur effet []. Pour Titi il lui faut pendant tout le temps de la maladie un repos complet c'est dit-il une condition essentielle de guérison [].
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PISSARRO Camille (1830-1903) L.A.S. à sa femme Julie, Paris, (s.d. « samedi »). 1 p ½. In-8, sur papier à carreaux. Il l'informe « nous comptons partir mardi à Eragny, j'écris à [Octave] Mirbeau que je pars ; je suis décidé à ne pas faire le voyage craignant de trop grands frais, n'ayant vendu qu'une toile à Laraud il faut marcher doucement. » il évoque ensuite la santé de Julie et de son fils Félix « Je suis allé chez Bellio [Georges de Bellio] je lui ai parlé de toi, il m'a approuvé de t'avoir donné coffea et il m'a dit que Cham aurait-fait-encore meilleur effet []. Pour Titi il lui faut pendant tout le temps de la maladie un repos complet c'est dit-il une condition essentielle de guérison [].
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