Null Moïse KISLING (1891-1953)
Les anémones, 1948.
Huile sur toile
Signée en bas…
Description

Moïse KISLING (1891-1953) Les anémones, 1948. Huile sur toile Signée en bas à gauche 41 x 33 cm Sur sa toile d’origine Porte l’étiquette de la galerie Romanet au verso Provenance : Collection Romanet (avec son certificat de 1964) Collection de Madame Servelle et par descendance à l’actuel propriétaire. Bibliographie : Joseph Kessel, Kisling 1891 – 1953, catalogue raisonné vol. 1, édité par Jean Kisling, 1971, p. 243 n. 102 (illustré) « Je ne suis attentif qu’à l’expression de ma sensibilité. Je sais que l’on ne peut rien apporter de nouveau dans la peinture car la matière est toujours la même, que les moyens sont stables, qu’un peintre n’a qu’une ressource, celle d’exalter les mêmes objets avec sa propre sensibilité picturale… » Très tôt, Moïse Kisling suit des études à l’école des Beaux-arts de sa ville natale, Cracovie. C’est grâce à son professeur Józef Pankiewicz, admirateur de Renoir et de Cézanne, et ami de Bonnard, qui possède un atelier à Paris, rue Bonaparte que Kisling vient en France, en 1910. Il est âgé de 19 ans, et à Paris, il découvre la vie de bohème artistique de Montmartre et de Montparnasse. Il se lie alors d’amitié avec Amedeo Modigliani, Georges Braque et Max Jacob. Son amour des fleurs jalonne toute sa carrière, et l’anémone, qui signifierait en grec « fille du vent », lui donne plus encore que toute autres fleurs, la possibilité de traduire la légèreté et de remonter au plus sensible, au plus intime des choses.

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Moïse KISLING (1891-1953) Les anémones, 1948. Huile sur toile Signée en bas à gauche 41 x 33 cm Sur sa toile d’origine Porte l’étiquette de la galerie Romanet au verso Provenance : Collection Romanet (avec son certificat de 1964) Collection de Madame Servelle et par descendance à l’actuel propriétaire. Bibliographie : Joseph Kessel, Kisling 1891 – 1953, catalogue raisonné vol. 1, édité par Jean Kisling, 1971, p. 243 n. 102 (illustré) « Je ne suis attentif qu’à l’expression de ma sensibilité. Je sais que l’on ne peut rien apporter de nouveau dans la peinture car la matière est toujours la même, que les moyens sont stables, qu’un peintre n’a qu’une ressource, celle d’exalter les mêmes objets avec sa propre sensibilité picturale… » Très tôt, Moïse Kisling suit des études à l’école des Beaux-arts de sa ville natale, Cracovie. C’est grâce à son professeur Józef Pankiewicz, admirateur de Renoir et de Cézanne, et ami de Bonnard, qui possède un atelier à Paris, rue Bonaparte que Kisling vient en France, en 1910. Il est âgé de 19 ans, et à Paris, il découvre la vie de bohème artistique de Montmartre et de Montparnasse. Il se lie alors d’amitié avec Amedeo Modigliani, Georges Braque et Max Jacob. Son amour des fleurs jalonne toute sa carrière, et l’anémone, qui signifierait en grec « fille du vent », lui donne plus encore que toute autres fleurs, la possibilité de traduire la légèreté et de remonter au plus sensible, au plus intime des choses.

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