Null Théodore BLANC (1891-1985) & Antoine DEMILLY (1892-1964).
Gondoles à Venise…
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Théodore BLANC (1891-1985) & Antoine DEMILLY (1892-1964). Gondoles à Venise. Tirage argentique d'époque contrecollé sur papier fort. Signé en bas à droite dans la marge. 29 x 35 cm.

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Théodore BLANC (1891-1985) & Antoine DEMILLY (1892-1964). Gondoles à Venise. Tirage argentique d'époque contrecollé sur papier fort. Signé en bas à droite dans la marge. 29 x 35 cm.

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Réunion de 2 ouvrages d'inspiration physiocratique: 1. [POLIER DE SAINT-GERMAIN (Antoine)]: Du gouvernement des moeurs. Lausanne, Jules Henri Pott & Comp., 1784. Un volume. 12 par 20,5 cm. VI-337-(1) pages. Demi-basane de l'époque, à coins, dos 5 nerfs orné. Papier des plats usés, sinon bon état de la reliure et du texte. Edition originale, peu fréquente. Conlon 84 : 1656 ; I.N.E.D. 3617. "Favorable à la physiocratie […], Antoine Polier de Saint-Germain propose tout particulièrement de donner des terres aux pères de famille qui contribuent à l'accroissement de la population et aux laboureurs dont la société tire sa subsistance. […] Il entend substituer à un ordre social fondé sur les privilèges de la naissance un autre dont la base serait les bonnes moeurs." 2. LE CLERC (Nicolas-Gabriel): Abrégé des études de l'homme fait, en faveur de l'homme à former, dédié aux représentans de la nation. Paris, Maradan, 1789. 2 volumes. 14 par 22 cm. XCVI-427; (4)-XXXIV-1 f. blanc-398 pages. Cartonnage bradel moderne, ex. non rogné. -Petit travail de vers sans atteinte du texte dans la marge int. de 3 cahiers du second volume (sans gravité), mouillures claires sur qq. cahiers du second volume, ex-libris collés au verso des titres. Edition originale. Quérard I-p. 316 ; Conlon 89 : 9457 ; I.N.E.D. 2723. Vaste projet de réformes progressistes sur l'éducation, la liberté du commerce, le droit naturel. "Nicolas-Gabriel Clerc, dit Leclerc (1726-1798), savant français envoyé par Louis XV en mission à l'étranger, s'installe à Pétersbourg et y dirige les établissements de Catherine II avant de se charger de la traduction française des projets éducatifs de la tsarine. De retour en France, Leclerc propose de ressusciter les idées novatrices du pédagogue allemand Johann Bernhard Basedow (1724-1790) et présente un plan d'éducation nationale [d'inspiration rousseauiste] à l'Assemblée constituante française." Les réformes économiques proposées sont d'inspiration physiocratique : elles s'inspirent de Dupont de Nemours.

Lot de 17 études sur Balzac : Jean Ygaugnin, Paris à l'époque de Balzac et dans la «Comédie humaine». La ville et la société. Nizet, 1992, broché. George B Raser, Guide to Balzac's Paris. Imprimerie de France, 1964, broché, plan dépliant. George B Raser, The heart of Balzac's, Paris. Imprimerie de France, 1970, broché, planches. G Gougenheim Balzac et JF Oberlin. In mélanges, 1945, I. Etudes Alsatiques, les belles lettres, 1946. Michel Butor, Improvisations sur Balzac. Tome III «scènes de la vie féminine». La Différence, 1998, broché. [Collectif], Balzac. Paris-Match «LEs Géants», 1970, reliure éditeur. Maurice Bardèche, Une interprétation de Balzac. Martel, 1951, supplément à l'édition de la Comédie humaine, avec une suite en noir. Philippe Murray, Balzac, le 19e siècle, l'occulte. Tel quel n°39, Automne 1981, p.5 à 40. J Maurice, Histoire de la Vallée du Lys. Imprimerie centrale de Touraine, 1973, broché. Maurice Allem, Balzac. Hachette, 1950, broché. Michel Thibon Cornillot, Balzac-Marx et l'argent. In «Connexions» n°25, 1978. p.62 à 103. René-Alexandre Courteix, Balzac et la Révolution française. Aspects idéologiques et politiques. Puf, 1997, roché. Robert Brasillach, Le Paris de Balzac. Préface de Maurice Bardèche. L'inédit, 1984. N°227 sur vergé blanc, en feuilles. Marcel Girard, Tours dans l'œuvre de Balzac. Promenade littéraire. Ville de Tours, 1999. Plaquette. Romain Guignard, Balzac et Issoudun. Issoudun, Gaignault, 1949, broché. Unesco (collectif), Hommage à Balzac. Mercure de France, 1950, broché. Alain, En lisant Balzac. Laboratoires Martinet, 1935, broché. Lot de 17 études sur Balzac : Stefan Sweig, Trois maîtres : Balzac, Dickens, Dostoïevski. Belfond, 1951, broché. René-Alexandre Courteix, L'Humanitarisme, hypocrisie de la société moderne? -La vision prémonitoire de Balzac. L'Écritoire du Publieur, 2006, broché. [Collectif] Textes réunis par Andrea Del Lungo et Alexandre Péraud, Envers balzaciens. La Licorne, 2001, broché. Philippe Bertault, Balzac. Hatier, 1962, broché. Eugène Poitou, M. de Balzac, étude morale et littéraire. Extrait de la Revue des Deux Mondes, vol. 6 N° 4 (15 décembre 1856) pp. 713-767. [Collectif] Avec Balzac - Pour le centenaire de sa mort. Librairie Armand Colin, Sté d'Histoire Littéraire de la France, 1950, broché. [Collectif] Analyses & réflexions sur Balzac Le Chef-d'œuvre inconnu, Gambara, Massimilla Doni. Ellipses, 1993, broché. Gérard Farasse Envois & Dédicaces. Presses Universitaires du Septentrion, 2010, broché. Pal Ronai Jegyzetek Honoré de Balzac Fiatalkori Regényeihez. Budapest, 1930, broché, envoi au libraire balzacien Georges Courville. Dr Max Ridard, Louis Lambert et la métapsychologie balzacienne. Imprimerie R. Foulon, 1960, broché, envoi. Alain Henry et Hilde Olrik, Le Texte alternatif - Les antagonismes du récit dans l'Histoire des Treize de Balzac. Copenhague, Romansk Institut, janvier 1978. Broché. Maurice Serval, Autour de Balzac «César Birotteau». Armand Colin, 1931. Broché. Avec une lettre adressée à Serval. Madeleine Berry, Balzac. Edition universitaires, 1972, broché. Hubert Gillot, Le Médecin de campagne -Deuxième étude balzacienne. Georges Courville, 1938. Plaquette brochée. Georges Ascoli, Balzac romancier - Le Père Goriot. Centre de Documentation Universitaire, 1939. «Les Cours de la Sorbonne» Fascicule IV. Tapuscrit paginé de 77 à 96. Philippe M. Denizot, Catalogue de la Comédie humaine de Balzac. Art et Poésie de Touraine, 1969. Ouvrage ronéotypé à compte d'auteur, tirage limité à 300 exemplaires. Pierre-Georges Castex, Nouvelles et Contes de Balzac (Études philosophiques). Centre de Documentation Universitaire, 1961. «Les Cours de la Sorbonne». Ronéotype de 92 p. Envoi manuscrit signé de l'auteur au Dr. Fernand Lotte. Lot de 18 études sur Balzac : Pierre-Antoine Perrod, En marge de La Comédie Humaine. Lyon, Henneuse, 1962. Broché. Judith Meyer-Petit, Les Mots de Balzac. Éditions Paris Musées / Actes Sud. 1999. broché. Jacques Borel, Proust et Balzac. José Corti, 1975, broché. Safei-El-Dine Awad et Dr. Mohamed Ambar, Balzac - Eugénie Grandet - Etudes littéraires. Le Caire, Dar El Nahda, 1982. Broché. [Collectif] Un Roman au Musée: Le Colonel Chabert. Paris Musées, 1997. Broché. Hermann Sattler, Honoré de Balzacs Roman La Peau de chagrin. Halle, Druck von Ehrhardt Karras, 1912. broché. Louis Bourreau, Un Roman provinois de Balzac: Pierrette. Montereau, Imprimerie Claverie, 1934. Plaquette. [Collectif] Numéro consacré à Balzac. Revue des Sciences Humaines, N° 57-58 janvier-juin 1950. broché. Claude Bremond et Thomas Pavel, De Barthes à Balzac - Fictions d'un critique , critiques d'une fiction. Albin Michel, 1998. Broché. Wolfgang Eitel, Balzac in Deutschland - Untersuchungen zur Rezeption des französicschen Romans in Deutschland 1830-1930. Lang, 1979. broch

AMBROSIUS BENSON et son atelier ; vers 1600 (Lombardie, actif à Bruges à partir de 1518 - Bruges, 1550). "Vierge à l'enfant. Huile sur panneau de chêne. Engatillada. Le tableau présente quelques éclaboussures, repeints et restaurations. Le cadre est en ébène et suit les modèles du XVIIe siècle. Dimensions : 94 x 73 cm ; 135 x 115 cm (cadre). Cette œuvre suit les modèles du tableau attribué à Ambrosius Benson qui appartient à la collection du Musée des Beaux-Arts de Séville. La Vierge est assise, de trois quarts, et l'Enfant, qui l'embrasse, se tient sur ses genoux. Les cheveux soyeux de Marie tombent en vagues de tons dorés sur le manteau rouge, qui se détache sur le fond sombre. L'œuvre montre une forte influence stylistique de Roger van der Weyden et est répétée avec de légères variations à de nombreuses reprises dans l'école brugeoise du XVIe siècle. Elle présente également des similitudes avec une peinture du monastère de Veruela, conservée au musée de Saragosse. Ambroisus Benson était l'un des soi-disant maîtres de la tradition, un successeur de Van der Goes, et a été influencé par Van Eyck, Van der Weyden et les Primitifs flamands en général. Cependant, son œuvre présente des caractéristiques italiennes du XVIe siècle, comme la composition triangulaire que l'on peut voir dans la présente œuvre. En fait, il était originaire de Lombardie, ce qui explique que sa peinture présente parfois des caractéristiques plus italiennes. L'utilisation personnelle de la couleur est particulièrement importante, avec une prédominance des tons bordeaux en contraste avec les blancs et les tons clairs des carnations, qui sont ainsi très mis en valeur dans la composition. La qualité veloutée des manteaux est également typique de son travail. Peintre de sujets religieux et de portraits, Benson s'est formé auprès de Gérard David à Bruges à partir de 1518, l'année où il est devenu citoyen. Il eut cependant des problèmes avec son maître, ce qui entraîna des poursuites judiciaires. En 1519, il fut inscrit à la Guilde des peintres en tant que maître indépendant. À partir de l'année suivante, son activité s'accroît nettement et, entre 1522 et 1530, il loue entre un et trois stands au marché annuel pour vendre ses peintures. Benson occupe des positions élevées au sein de la guilde des peintres, ses œuvres atteignent des prix très élevés et il a plusieurs apprentis, dont deux de ses fils, Willem et Jan. Bien que l'on ne connaisse que deux œuvres signées de Benson ("Triptyque de Saint Antoine de Padoue" aux Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique et "La Sainte Famille" dans une collection privée) et sept œuvres datées, plus de 150 tableaux lui ont été attribués sur la base de critères stylistiques. L'atelier de Benson a eu une production importante et, comme celui d'Adriaen Isenbrandt, ses œuvres étaient généralement destinées au marché ibérique. Sa peinture était très appréciée en Espagne, bien que Benson n'ait jamais visité ce pays. En ce qui concerne son langage, malgré son adhésion à la tradition, il forme, avec Isenbrandt et Jan Provost, la dernière génération de peintres brugeois caractérisée par une rupture avec la tradition gothique et l'introduction dans leur style des innovations de la Renaissance italienne. Cette influence est perceptible dans leur style artistique et dans des effets tels que la monumentalité, car leurs thèmes et leurs compositions s'inscrivent généralement dans la tradition flamande. D'autre part, la variété des thèmes et des formats qui caractérise sa production peut être due au fait qu'il travaillait dans un atelier avec de nombreux collaborateurs. Dans toutes ses œuvres, qu'il s'agisse de thèmes religieux, de portraits ou d'œuvres profanes, Benson est un excellent exemple du croisement entre le nord et le sud, entre la tradition et l'innovation. Ses œuvres sont aujourd'hui conservées dans les plus grandes galeries d'art du monde, dont le Museo del Prado, le Metropolitan Museum de New York, la National Gallery de Londres, le Kunsthistorisches Museum de Vienne, le Thyssen-Bornemisza, l'Ashmolean Museum d'Oxford et le Bilbao Fine Arts Museum.Au cours du XVe siècle, le style réaliste hollandais a exercé une forte influence à l'étranger, notamment en Italie, mais au XVIe siècle, la situation s'est inversée. La Renaissance italienne se répand dans toute l'Europe et Anvers devient le centre de l'école flamande, supplantant Bruges et servant de centre de pénétration des influences italiennes. C'est ainsi que les influences maniéristes arrivent aux Pays-Bas, se superposant au style du XVe siècle.