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Description

PORSCHE

PORSCHE Porsche 356 Continental 1955 Numéro de châssis 54110 Moteur n° 35614 - Rare version Continental, produite seulement pendant un an pour le marché américain à la suggestion de Max Hoffman, l'importateur américain de Porsche. - Importante restauration détaillée de l'ensemble de la voiture, réalisée en Italie par Autocarrozzeria 2000. - La production est d'environ 1500 coupés et cabriolets et sera la dernière version de la 356 Pre A. - Intérieur en velours restauré par Ferraresi - Origine américaine, puis européenne et enfin italienne - Moteur entièrement restauré - On pense qu'il y a encore le moteur d'origine Documents et certificats : Immatriculation italienne

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1959 PORSCHE 356 BT5 Cabriolet 1600S SUPER 90 Châssis :152 703 Moteur : P800870 Carte Grise Française de Collection Matching Colors Rare Cabriolet Moteur Super 90 La première Porsche, celle qui, en 1948, portait le numéro 356-001, n’avait pas de toit, c’était un roadster biplace dont le dessin d’Erwin Komenda n’allait que très peu changer tout au long de la vie de la 356, si ce n’est pour tous les modèles de la marque jusqu’à nos jours. Porsche y aura toujours été fidèle, tout comme Erwin le fut durant sa carrière avec Ferdinand. Ainsi, les 356 coupés et cabriolets naquirent de ce dessin initial dès l’année 1949. La recette était simple : une base Volkswagen de grande série, un moteur légèrement préparé et un dessin suffisamment modifié pour lui conférer le statut de voiture de sport. Très vite le succès fut au rendez-vous, les ressources de production ne suffisaient plus et les 356 furent produites chez Reutter et Heuer, avant de réintégrer l’usine de Zuffenhausen. En 1959, la 356 A est remplacée par la B, destinée à faire perdurer la 356 sur le marché des voitures de sport. Au programme, plus de confort et plus de performances avec l’adoption d’un nouveau moteur 1600 cm3 de 90 chevaux destiné aux 356 B 1600 Super. Enfin en 1964, alors que la 911 entamait sa vie, la 356 s’offrait un ultime baroud d’honneur avec la 356 C qui adopta pour l’occasion, les quatre freins à disques de la 356 B Carrera 2, laissant disparaître la version 60 chevaux du 1600, remplacée par la version 75 chevaux. Cette Porsche 356 Cabriolet 1600 Super BT5 fut mise en circulation le 7/11/1959. Grâce à sa fiche d’époque nous savons qu’elle fut livrée neuve à Stuttgart à un certain Karl U Mayer, résident à Stuttgart. Elle était alors Meissenblau, teinte qu’elle porte toujours. Niveau équipement, elle disposait de deux hautparleurs, d’une antenne, de miroirs dans les pare-soleil et enfin du ressort de compensation. Nous avons pu retracer son historique depuis la livraison jusqu’en décembre 1964. Née avec un 1600 S, le moteur fut remplacé par un 1600 Super 90 en aout 1964, n° 800 270. En 1993, la voiture réapparait restaurée en Italie, elle appartient alors à un certain Sandro Caviglia. Celui-ci fera établir une attestation FIVA. En décembre 2014, la voiture est importée en France par Franco Lembo. Celui-ci immatriculera la voiture avant de la céder au Docteur D. passionné de rallyes. Grand Amateur de Rallye, le Dr D. a été copilote à plusieurs reprises de Ludovic Caron à bord d’une AC Cobra. Ensemble, ils ont remporté le Tour Auto 2011. Entretenue par les spécialistes du Club 356, la mécanique est bien réglée. Dernièrement, l’embrayage a été remplacé. La carrosserie, comme la sellerie, sont en très bon état, témoignant de la qualité de la restauration. Un réglage des freins avant sera à prévoir, une contre-visite signale un déséquilibre des freins avant. Cette Porsche 356 est une belle opportunité d’acquérir un élégant cabriolet 1600 Super 90, entretenue et restaurée, dans la teinte culte qu’est le Meissen Blau. 1959 PORSCHE 356 BT5 Cabriolet 1600S SUPER 90 Chassis :152 703 Engine: P800870 French collector's registration document Matching Colors Rare Cabriolet Super 90 engine The first Porsche, the one that in 1948 bore the number 356-001, had no roof. It was a two-seater roadster whose design by Erwin Komenda was to change very little throughout the life of the 356, if not for all the brand's models up to the present day. Porsche has always been loyal to it, just as Erwin was during his career with Ferdinand. The 356 coupé and cabriolet were born from this initial design in 1949. The recipe was simple: a mass-produced Volkswagen base, a slightly modified engine and a design that was sufficiently modified to give it sports car status. The 356s were produced by Reutter and Heuer, before being returned to the Zuffenhausen factory. In 1959, the 356 A was replaced by the B, designed to keep the 356 alive in the hard-fought sports car market. The programme included greater comfort and more performance, with the adoption of a new 1600cc, 90bhp engine for the 356 B 1600 Super. Finally, in 1964, just as the 911 was beginning its life, the 356 made a last stand with the 356 C, which for the occasion adopted the four disc brakes of the 356 B Carrera 2, doing away with the 60 hp version of the 1600 and replacing it with the 75 hp version. This Porsche 356 Cabriolet 1600 Super BT5 was launched on 7/11/1959. We know from its registration card that it was delivered new in Stuttgart to a certain Karl U Mayer, a resident of Stuttgart. At the time, it was painted Meissenblau, the colour it still wears today. In terms of equipment, it had two speakers, an aerial, mirrors in the sun visors and, last but not least, a compensating spring. We were able to retrace its history from delivery to December 1964. Born with a 160