Luca Maria Patella Nascita: 1934
Perché il Sol ne riLuca, I de "Montefolle" volu…
Description

Luca Maria Patella Nascita: 1934 Perché il Sol ne riLuca, I de "Montefolle" volume 8 d'une édition de 14 signé, titré, numéroté au crayon au verso cachet de l'artiste dans la marge inférieure droite cachet de la galerie Tomasetig au verso Cm 40X50 cibachrome

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Luca Maria Patella Nascita: 1934 Perché il Sol ne riLuca, I de "Montefolle" volume 8 d'une édition de 14 signé, titré, numéroté au crayon au verso cachet de l'artiste dans la marge inférieure droite cachet de la galerie Tomasetig au verso Cm 40X50 cibachrome

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Cercle de MICHEL COXCIE (Malines, Belgique, 1499 - 1592). "Le Christ de Nazareth, XVIe siècle. Huile sur panneau. Engatillada. Dimensions : 104 x 110 cm. Dans cette œuvre à caractère dévotionnel, l'auteur suit de près le modèle du Nazaréen établi par Michel Coxcie (voir l'huile "Christ avec la croix sur le dos" de 1555 conservée au Musée du Prado). Il s'agit d'un peintre de la même époque que le maître flamand. Les similitudes sont évidentes dans la composition et le cadrage, ainsi que dans le style italianisant, bien que l'œuvre présente également un soldat. L'imposante croix semble dépasser du premier plan, ses bras de bois formant des volumes arrondis. Malgré cela, le Christ l'embrasse au lieu de la porter. Cette étreinte symbolise l'acceptation du martyre en vue de la rédemption. Les mains, avec leurs longs doigts, occupent donc le devant de la scène, tout comme le visage. Le visage râblé, aux paupières closes, communique une souffrance contenue. Le sang perle sur le front, percé d'épines. Les gammes de couleurs sont douces, ce qui permet d'adoucir les traits. Nous sommes encore loin du dramatisme baroque. Les modèles de la Renaissance florentine en sont beaucoup plus proches. Michel Coxcie était un peintre flamand, surnommé le Raphaël des Pays-Bas en raison de son grand succès dans le style romaniste. Il commence sa formation artistique auprès de Bernard van Orley à Bruxelles, puis se rend à Haarlem et à Rome, où il séjourne vers 1530-39 et où il développe la technique de la fresque murale, qu'il est le premier maître nordique à pratiquer. En 1532, il décore la chapelle du cardinal Enckenvoirt dans l'église romaine de Santa Maria dell'Anima, ce qui lui vaut une certaine réputation en Italie, et Giorgio Vasari reconnaît que Coxcie a réussi à adopter le style italien. De retour dans les Pays-Bas, Coxcie entre dans la guilde de Saint-Luc à Malines en 1539. Peu après, il s'installe à Bruxelles et, en 1546, il travaille comme peintre de chambre de Marie de Hongrie, la tante de Philippe II, remplissant ainsi la fonction laissée vacante par Van Orley, aujourd'hui décédé. Il fut un artiste prolifique car, outre des peintures, des retables, des fresques et des portraits, il réalisa des dessins pour des estampes, des vitraux et des tapisseries. Son œuvre, comme le décrit le musée du Prado, se caractérise par l'attention particulière qu'il porte à la représentation des figures féminines, toujours élégantes et bien proportionnées, tandis que les figures masculines sont plus stylisées et rigides.

École espagnole du XVIIe siècle. "Jésus enfant dans le temple devant les docteurs". Huile sur toile. Dimensions : 71 x 90,5 cm ; 80 x 100 cm (cadre). Dans cette œuvre, nous assistons à l'épisode de la discussion de Jésus avec les médecins, selon une composition en zigzag et en mouvement typique du XVIIe siècle, qui annonce les structures dynamiques et scénographiques qui seront typiques de l'époque. Les personnages suivent un rythme ascendant, partant du coin inférieur gauche et tournant jusqu'à la figure de Jésus, qui se trouve dans une position élevée par rapport au reste des personnages de la scène. La figure du Christ est encore renforcée par son emplacement, puisqu'il se trouve presque au centre de la scène, assis devant un parapet. Joseph et Marie, situés dans une position plus basse, ainsi que les médecins, se trouvent à droite de la composition. Joseph regarde directement son fils avec une grande admiration, tandis que la Vierge dirige son regard vers le spectateur de manière à l'attirer dans la scène et à l'impliquer dans le discours de son fils. Ce thème s'inspire d'un passage de l'Évangile de Luc qui raconte la présence du jeune Jésus parmi les théologiens ou les docteurs de la loi mosaïque. Le texte raconte que Jésus, âgé de douze ans, s'est perdu à Jérusalem, où il s'était rendu avec ses parents à l'occasion de la Pâque juive. Il se rendit au Temple, où il passa un long moment à écouter et à interroger les docteurs, qui s'étonnaient de ses connaissances théologiques. Marie et Joseph mirent trois jours à le retrouver, et lorsqu'ils le retrouvèrent, Marie exprima son inquiétude et Jésus lui répondit par ces mots : "Pourquoi me cherchiez-vous ? Ne saviez-vous pas que je devais être dans la maison de mon Père ? C'est le dernier récit de l'enfance de Jésus, et la seule fois où il n'obéit pas à ses parents. Dans l'interprétation catholique, ces trois jours pendant lesquels Jésus reste séparé de Marie sont considérés comme un signe de la future rédemption par le sacrifice sur la croix.