Null Henri-G PILLOT (1915-2001), Saint-Cyrien (123ème promotion "du Soldat incon…
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Henri-G PILLOT (1915-2001), Saint-Cyrien (123ème promotion "du Soldat inconnu" 1936-38) et passionné d'histoire militaire. Superbe diorama figurant un épisode de la bataille de Miranda-de-Coryo (Portugal) le 14 Mars 1811, où le chef d'escadron MARBOT est provoqué en duel par un officier anglais. Échelle 1/35. Le diorama vient avec une notice manuscrite rédigée par Henri-G PILLOT, expliquant cet épisode de la bataille. 24 x 13,5 x 14 cm. (Diorama d'une qualité d'exécution remarquable. Bon état de conservation). Note : Pendant la « guerre péninsulaire ibérique» (1801-1813), le Portugal doit affronter en premier lieu les troupes espagnoles, qui retournent leur alliance et s'unissent à la France, dans la guerre des Oranges (1801), puis doit faire face aux trois grandes invasions françaises décidées par Napoléon Ier, en 1807, 1809 et 1810-1811. En 1811, dans le cadre de la 3ème invasion française du Portugal, la bataille de Miranda-de-Coryo (Portugal) le 14 Mars 1811, fait partie d'une série de petits combats retardateurs livrés par l'arrière-garde de l'armée française sous les ordres du Maréchal NEY contre la coalition anglo-portugaise commandée par WELLINGTON. Au final, l'affrontement se solda par la retraite des forces françaises en-dehors du royaume d'Espagne. Ainsi le 14 mars 1811, le chef d'escadron MARBOT, aide de camp du Maréchal MASSENA après avoir délivré un message au Maréchal NEY, sera provoqué en duel et blessé lors d'une embuscade par un officier des avant-postes anglais.

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Henri-G PILLOT (1915-2001), Saint-Cyrien (123ème promotion "du Soldat inconnu" 1936-38) et passionné d'histoire militaire. Superbe diorama figurant un épisode de la bataille de Miranda-de-Coryo (Portugal) le 14 Mars 1811, où le chef d'escadron MARBOT est provoqué en duel par un officier anglais. Échelle 1/35. Le diorama vient avec une notice manuscrite rédigée par Henri-G PILLOT, expliquant cet épisode de la bataille. 24 x 13,5 x 14 cm. (Diorama d'une qualité d'exécution remarquable. Bon état de conservation). Note : Pendant la « guerre péninsulaire ibérique» (1801-1813), le Portugal doit affronter en premier lieu les troupes espagnoles, qui retournent leur alliance et s'unissent à la France, dans la guerre des Oranges (1801), puis doit faire face aux trois grandes invasions françaises décidées par Napoléon Ier, en 1807, 1809 et 1810-1811. En 1811, dans le cadre de la 3ème invasion française du Portugal, la bataille de Miranda-de-Coryo (Portugal) le 14 Mars 1811, fait partie d'une série de petits combats retardateurs livrés par l'arrière-garde de l'armée française sous les ordres du Maréchal NEY contre la coalition anglo-portugaise commandée par WELLINGTON. Au final, l'affrontement se solda par la retraite des forces françaises en-dehors du royaume d'Espagne. Ainsi le 14 mars 1811, le chef d'escadron MARBOT, aide de camp du Maréchal MASSENA après avoir délivré un message au Maréchal NEY, sera provoqué en duel et blessé lors d'une embuscade par un officier des avant-postes anglais.

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MARC RIBOUD (Saint-Genis-Laval, 1923-Paris, 2016). "Jeune fille tenant une fleur", Washington, 1967. Gélatine argentique. Tirage ultérieur. Signé et dédicacé "à Patrick" à l'encre, dans la marge. Provenance : Collection Zwigoff, New York. Dimensions : 25 x 36 cm (image) ; 31 x 40,5 cm (papier). Cette photographie d'une jeune femme tenant une fleur devant des soldats, prise dans le cadre d'une manifestation à Washington contre la guerre du Vietnam, est l'une des images les plus célèbres de Marc Riboud. L'intérêt de la scène, outre la force émotionnelle qu'elle véhicule, est de pouvoir universaliser le message d'espoir au milieu du déchaînement de la violence. Car, de toute façon, c'est toujours l'aspect humain des conflits que Riboud a revendiqué dans ses photographies en tant que correspondant de guerre. Ainsi, tout en photographiant la guerre du Viêt Nam et la révolution culturelle chinoise, il a également reflété des aspects de la vie quotidienne dans des villes telles que Fès, Angkor, Shaanxi ou Bénarès. Marc Riboud était un photographe français spécialisé dans le photojournalisme qui faisait partie de l'agence Magnum. Au début de la Seconde Guerre mondiale, il combat dans la Résistance et commence ses études d'ingénieur à l'École centrale de Lyon en 1945. Il apprend la photographie de manière autodidacte dès l'âge de quinze ans, en utilisant un appareil Vest Pocket Kodak fourni par son père. Après avoir travaillé comme ingénieur, il rejoint en 1952 l'agence Magnum, après avoir rencontré Henri Cartier-Bresson et Robert Capa, où il réalise les reportages les plus importants de sa carrière jusqu'en 1979. Sa première photographie publiée dans Life en 1953 est "Peintre à la Tour Eiffel". Il a été l'un des premiers photographes autorisés à entrer en Chine en 1957 et presque le seul Occidental à rendre compte de la guerre du Viêt Nam depuis le Nord-Viêt Nam. Il a publié de nombreux livres et a exposé son travail dans de nombreuses villes. En 2003, il a reçu le prix Cornell Capa des Infinity Awards. Il a fait l'objet de plusieurs expositions rétrospectives, comme celle qui s'est tenue en 1997 à New York et en 2005 à Paris. Expositions (sélection depuis 2010) : 2010 Au jardin de Krishna Riboud, Musée national des Arts Asiatiques-Guimet, Paris. 2011 I comme Image, Maison européenne de la photo, Paris. 2012 Lors des Journées du patrimoine, Saint-Genis-Laval. 2014-2015 Marc Riboud - Début de siècle, Conseil régional Rhône-Alpes. 2014 De grace un geste - Musée d'art moderne Richard Anacréonte, Granville.

DOCUMENTS HISTORIQUES et divers. -Environ 60lettres et pièces, conservées dans un portefeuille de maroquin bordeaux aux armes des comtes d'Antioche, et environ 160photographies. -Adenauer (Konrad). Lettre signée, en allemand, au baron Bruno de Leusse. Bürgenstock, 4août 1952. «Von meinem Sohn Georg höre ich von der guten Aufnahme, die er bei ihrer Gattin und Ihnen gefunden hat. Ich danke Ihnen vielmals dafür. ich hoffe sehr, dass er Ihnen nicht zur Last fallen wird. Wenn ich eine Bitte äussern darf, dann ist es die folgende. Sorgen Sie bitte dafür, dass er abends um 10Uhr spätestens zu Bett geht. Er braucht viel Schlaf, denn er hat einen schweren Winter vor sich...» Traduction: «J'apprends par mon fils Georg le bon accueil qu'il a reçu auprès de votre épouse et de vous. Je vous en remercie. J'espère vraiment que sa présence ne vous pèsera pas. Si je peux exprimer un souhait, alors c'est le suivant. Veillez, je vous prie, à ce que le soir il aille se coucher à 10heures au plus tard. Il a besoin de beaucoup de sommeil, car il a devant lui un dur hiver...» -Bismarck (Otto von). 4lettres autographes signées, en français, [au baron Charles de Talleyrand-Périgord]. Berlin, 1862-1864 et s.d. «Je vous serais bien reconnaissant, mon cher baron, si vous vouliez me faire le plaisir de passer chez moi demain à midi. J'ai une séance de Conseil chez moi à une heure, et dans la matinée mes conseillers ne me permettent pas de sortir, de peur que le moulinet s'arrête en mon absence. Veuillez donc m'excuser, si je vous dérange à l'heure à l'heure du déjeuner...» Etc. -Eugénie (impératrice). 2lettres autographes signées au baron Charles de Talleyrand-Périgord. Arenenberg [dans le canton suisse de Thurgovie, 1884], pour le féliciter du mariage de sa fille Marie-Marguerite avec le comte Adhémar de Brotty d'Antioche, et Farnborough [dans le Hampshire, 1886 ou 1890], afin de lui exprimer ses condoléances pour la mort d'une de ses filles. -[Ordre de la Visitation]. -Fusina (Marie-Emmanuel). Pièce signée en qualité de mère supérieure du monastère de la Visitation d'Annecy, contresignée par quatre autres sœurs du même monastère. Annecy, 1922. «...Nous déclarons avoir reçu... du baron Chaulin, la croix de missionnaire de saint François de Sales, notre Père et fondateur, que lui-même passa au cou de Maurice de Brotty d'Antioche au moment de sa conversion [ce dernier avait jusque là été protestant]...» -Paley (Olga Valerianovna Karnovitch, princesse). Lettre autographe signée. Tsarskoïé-Sélo [résidence impériale près de Saint-Pétersbourg], 30août 1915. «...J'ai reçu le titre de princesse Paley (o i: ) qui est le nom du hetman cosaque sous Pierre le Grand et chanté par Pouchkine dans «Poltava». C'est un de mes ancêtres maternels et son nom s'est éteint avec ma grand-mère. Nous sommes infiniment heureux de quitter le nom allemand de Hohenfelsen donné par le Régent de Bavière. Tout ce qui est allemand est détesté, abhorré, méprisé en Russie, et ils le méritent bien! Pour rien au monde on ne fera la paix ici avant de les avoir terrassés complètement...» Née Olga Karnovitch, fille d'un chambellan du tsar, divorcée, elle épousa morganatiquement le grand-duc Paul Romanov (fils du tsar AlexandreII): elle fut alors d›abord titrée comtesse de Hohenfelsen, puis, en 1915, princesse Paley. -Paris (Henri d'Orléans, comte de)]. Portrait photographique, cliché Pierre Ligey à Paris, avec envoi autographe signé (1934, encre passée), et lettre signée (Rabat, 1942), les deux adressées au baron Robert Chaulin. -Édouard de Cazenove de Pradines (en qualité de secrétaire du comte de Chambord, au comte Adhémar de Brotty d'Antioche, 1882), Robert d'Orléans, duc de Chartres (au comte Adhémar de Brotty d'Antioche, 1901), Dorothée de Courlande, duchesse de Dino (2lettres au général Simon Bernard, 1837), Édouard Drouyn de Lhuys (au comte Alphonse de Brotty d'Antioche, 1864), Gaston Alexandre Auguste de Galliffet (8lettres, 1890-1901 et s.d., sur des personnalités du grand monde, Charles Haas, madame Standish, la duchesse d'Uzès, etc.), Alexandre Mikhaïlovitch Gortchakov (9lettres en qualité de ministre des Affaires étrangères de Russie au baron Charles de Talleyrand-Périgord, s.d.), IsabelleII d'Espagne (1882, douze ans après son abdication), Victor Bonaparte, prince Napoléon (1914, concernant la naissance de son fils Louis Bonaparte), Sophie de Wurtemberg, reine de Hollande (àRose-Amour de Roisin, baronne Falck, 1846), Marie Clémentine Anne de Rochechouart-Mortemart, duchesse d'Uzès (3lettres, s.d.), Henriette de Belgique, duchesse de Vendôme (1911), Victoria d'Angleterre, impératrice douairière d'Allemagne (à Marie-Marguerite de Talleyrand-Périgord, comtesse d›Antioche, 1896), etc. -Environ 160photographies, pour la plupart des portraits, conservée