Null RAYNAUD (Georges). Je suis un prisonnier. Lettre autographe du Général Juin…
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RAYNAUD (Georges). Je suis un prisonnier. Lettre autographe du Général Juin. Paris, la Nouvelle édition, s.d. (1944), in-4, en feuilles sous cart. édit. Avec 54 planches. Ex. numéroté (n°821).

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RAYNAUD (Georges). Je suis un prisonnier. Lettre autographe du Général Juin. Paris, la Nouvelle édition, s.d. (1944), in-4, en feuilles sous cart. édit. Avec 54 planches. Ex. numéroté (n°821).

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David G. Farragut Lettre autographe datée de la guerre, signée une semaine après la bataille de Mobile Bay, confirmant la livraison de plus de 200 "prisonniers rebelles" Lettre autographe datée de la guerre de Sécession, signée "D. G. Farragut, Rear Admiral", une page, 7,75 x 9,75, papier à en-tête du navire amiral américain Hartford, 12 août 1864. Adressée depuis le navire amiral de Farragut, l'USS Hartford, ancré au large de Mobile Bay, Alabama, une lettre manuscrite au lieutenant Henry L. Howison, commandant de l'USS Bienville, en entier : "Vous recevrez à bord les prisonniers rebelles qui vous seront remis par le lieutenant Adams de ce navire, et vous vous rendrez avec eux immédiatement à la Nouvelle-Orléans et, à l'arrivée, vous ferez un rapport au commodore Palmer qui les remettra au Provost Marshall en tant que prisonniers de guerre". Une note de secrétariat en bas de page confirme la réception de "209 prisonniers rebelles". Comprend une carte-de-visite de 2,25 x 3,5 représentant Farragut en uniforme, publiée par Brady's National Photographic Portrait Galleries. En très bon état. Une lettre remarquable du contre-amiral Farragut écrite une semaine après la bataille historique de Mobile Bay, qui a permis à la marine américaine de s'emparer du dernier port important du golfe du Mexique à l'est du fleuve Mississippi qui restait en possession des Confédérés. C'est au cours de cette bataille fatidique que Farragut a donné l'ordre, peut-être apocryphe, de "Damn the torpedoes ! Quatre coups de cloche. Capitaine Drayton, en avant ! Jouett, à toute vitesse !" est devenu célèbre sous la forme d'une paraphrase : "Au diable les torpilles, à toute vitesse !