Null Paul-Jean TOULET (1867-1920). Manuscrit autographe, [Le Bréviaire des court…
Description

Paul-Jean TOULET (1867-1920). Manuscrit autographe, [Le Bréviaire des courtisanes, 1899]; 28pages petit in-4. Deux chapitres écrits par Toulet pour ce livre rédigé par Curnonsky et Toulet, et publié sous le pseudonyme de Perdiccas, Le Bréviaire des courtisanes (H. Simonis Empis, 1899).
Ces deux chapitres sont rédigés à l’encre violette, au recto des feuillets, et présentent quelques petites corrections à l’encre noire. Le manuscrit a servi pour l’impression.
Chapitre IV. Les plaisirs de rompre (15 pages): «Il est à remarquer que les héros de cette histoire ne jouèrent, de toutes leurs vacances, pas au crockett, non plus qu’au lawn tennis ni à un tennis d’aucune sorte: et si quelques-uns d’entre eux pelotèrent ce ne fut qu’en attendant partie»…
Chapitre X. Les Fausses dédicaces (13 pages): «Comme le dîner se prolongeait, ce soir-là, sans intérêt, Eliburru disparut tout à coup sous la table»…
On joint une L.A.S. «Perdiccas» par Curnonsky, 20 février 1900, à Rachilde; une carte de visite au nom de Perdiccas; 6 l.a.s. adressées à CurnonskyPerdiccas en octobre-novembre 1899, à propos du Bréviaire des courtisanes, par Frantz Jourdain, Mme Lami, Jean Madeline, Monteil, J. de Montesquieu, Léon Morand, l’éditeur H. Simonis Empis; plus une carte de visite de Marcel Prévost, et une coupure de presse annotée («quel con!»).

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Paul-Jean TOULET (1867-1920). Manuscrit autographe, [Le Bréviaire des courtisanes, 1899]; 28pages petit in-4. Deux chapitres écrits par Toulet pour ce livre rédigé par Curnonsky et Toulet, et publié sous le pseudonyme de Perdiccas, Le Bréviaire des courtisanes (H. Simonis Empis, 1899).
Ces deux chapitres sont rédigés à l’encre violette, au recto des feuillets, et présentent quelques petites corrections à l’encre noire. Le manuscrit a servi pour l’impression.
Chapitre IV. Les plaisirs de rompre (15 pages): «Il est à remarquer que les héros de cette histoire ne jouèrent, de toutes leurs vacances, pas au crockett, non plus qu’au lawn tennis ni à un tennis d’aucune sorte: et si quelques-uns d’entre eux pelotèrent ce ne fut qu’en attendant partie»…
Chapitre X. Les Fausses dédicaces (13 pages): «Comme le dîner se prolongeait, ce soir-là, sans intérêt, Eliburru disparut tout à coup sous la table»…
On joint une L.A.S. «Perdiccas» par Curnonsky, 20 février 1900, à Rachilde; une carte de visite au nom de Perdiccas; 6 l.a.s. adressées à CurnonskyPerdiccas en octobre-novembre 1899, à propos du Bréviaire des courtisanes, par Frantz Jourdain, Mme Lami, Jean Madeline, Monteil, J. de Montesquieu, Léon Morand, l’éditeur H. Simonis Empis; plus une carte de visite de Marcel Prévost, et une coupure de presse annotée («quel con!»).

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