ALESSANDRO RIPALTI MODESTE&FURIEUX
Pergola (PU) (BO) 1957

Quatre pivoines I
202…
Description

ALESSANDRO RIPALTI

MODESTE&FURIEUX Pergola (PU) (BO) 1957 Quatre pivoines I 2024 Numérique. Impression giclée sur papier d'art Hahnemühle German Etching. 47,00x47,00 Certificat d'authenticité Exemplaire 3 sur 20, signé et numéroté au crayon au verso, cachet QR de l'artiste au dos.

52 

ALESSANDRO RIPALTI

Les enchères sont terminées pour ce lot. Voir les résultats

Vous aimerez peut-être

MIOSHE - Antoine MARTINET, né en 1984 Dalc’h peg Plogon, 2024 Peinture acrylique sur jarre en grès, datée et signée en dessous. Haut. 38,5 - Diam. 19 cm --- MIOSHE - Antoine MARTINET, né en 1984 Antoine Martinet dit Mioshe se situe à la croisée des mondes « académiques », de la tradition de l’histoire de l’art et de la peinture, et d’une culture plus « urbaine » via son travail de muraliste. Ses œuvres font référence à l’art ancien tout en traitant de grands sujets contem porains. A travers différents médias, Mioshe aborde des sujets qui nous troublent : l’homme et son rapport à la nature, l’anthropocène et l’écologie, les rapports de domination en société et les zones à défendre. Suite à son travail de cartographie sur le sol du Musée de Bretagne, l’artiste souhaite poursuivre ce travail sur les mouvements de résistance d’hier et d’aujourd’hui qui ont forgés la singularité de la Bretagne. Sensible aux formes de liberté en société au sein de la communauté des free party Bretonnes, Mioshe, amoureux du territoire, aime le raconter à travers ses paysages, ses rencontres et ses différentes formes de désobéissances civiles. Les zones à défendre forment le terrain graphique des œuvres que l’artiste a réalisé pour l’exposition-vente aux enchères Ar Seiz Avel. La première œuvre proposée, Mega-bassines, est une jarre peinte en soutien aux manifestations à Sainte-Soline liée à la privatisation de l’eau en octobre 2022. La seconde, Des pierre contre des fusils, est emprunté au film documentaire de Nicole Le Garrec et rend hommage à la lutte anti-nucléaire à Plogoff entre 1974 et 1981. Enfin, Mioshe propose La tapisserie Hétérotopies dont le tissage est réalisé au point numérique d’Aubusson par l’atelier Néolice Robert Four. Cette grande frise écologique raconte le choc des civilisations tel un conte naïf foisonnant. L’œuvre emprunte son nom à l’essai de Michel Foucault qui définit l’hétérotopie comme une multitude d’espaces imaginaires ancrés dans la réalité, une localisation physique de l’utopie.

Solen MALRIEU, née en 1991 An Tremen N°3, détail de façade et sa rosace bigoudène,Atelier Aorin - Landévennec - 2024 Impression papier depuis lavectorisation d’un modèle 3D numérique. Pièce unique. On y joint une édition du projet. 30 x 30 cm An Tremen, projet architectural d’une salle de cérémonie bretonne en Pays Bigouden. Chaumière contemporaine inspirée par le bâti traditionnel et l’artisanat breton. Le projet «An Tremen» est un projet conceptuel de salle de céré monie, installée le long de la baie d’Audierne. Ce projet propose une autre typologie d’espace de cérémonie, non pas uniquement dédié aux funérailles mortuaires laïques, ni uniquement une salle de mariage laïque. Cet espace s’inspire des lieux religieux tels que chapelles et églises, qui accueillent les évènements marquants de chaque étape de la vie, les comprenant comme un tout, un fil conducteur où chaque moment (arrivée, union, départ...) a sa place. Ainsi on rend un dernier hommage à un être cher, dans un beau lieu, où ce même être a pu partager notre joie d’une nouvelle arrivée dans la famille, ou d’une union. «An Tremen» signifie «Le Passage» en breton, il représente donc le passage des différentes étapes marquantes qui composent notre vie. Ce lieu est ouvert à tous, dans le respect des croyances de chacun. «An Tremen» offre un espace de célébration collective ancré et inspiré par le territoire dans lequel il s’intègre, celui de la Bretagne et plus particulièrement celui du pays Bigouden. Il s’inspire de son architecture traditionnelle, sa nature, son artisanat, ses motifs Ainsi, à la manière des Seiz Breur, ce projet propose une nouvelle vision de l’architecture vernaculaire bretonne, en s’adaptant aux contraintes et des problématiques de notre temps. --- Solen MALRIEU, née en 1991 Née en Pays Bigouden, Solen Malrieu est architecte d’intérieur, designer, passionnée par la diversité des cultures et par ce qui les rend uniques. Ce sont ses parents qui lui ont transmis cette curio sité et cet amour pour les arts et traditions populaires. Tous deux dévoués à la mise en valeur et à la préservation du patrimoine breton, notamment celui de la tradition chantée et contée en Bretagne au sein de l’association Dastum. Ses aspirations personnelles l’ont poussée à suivre des études en design et architecture intérieure à l’Ecole de Design Nantes Atlantique, suivi d’un master en design et interculturalités en Inde, toujours dans la même école, dont elle est diplômée en 2014. En Inde, elle travaille au sein de l’agence d’architecture Studio Lotus et de l’organisation Indian National Trust for Art and Cultural Heritage. En 2016, elle poursuit son travail au sein de l’agence K-Studio en Grèce. Elle revient en Bretagne en 2019 où elle travaille jusqu’à la fin de l’année 2023 pour l’agence In and Out architecture. En 2024, elle fonde l’agence de design et d’architecture intérieure Aorin. L’agence est spécialisée dans les rénovations et petites constructions écologiques ainsi que dans la réhabilitation du bâti ancien, à destination des particuliers, commerces, tiers lieux. Le nom Aorin est inspiré du breton a orin (originaire de), dans l’idée de créer des espaces nouant un lien fort avec le contexte dans lequel ils s’inscrivent et ainsi s’inspirer de l’héritage culturel et naturel pour dessiner ses projets.

Solen MALRIEU, née en 1991 An Tremen N°2, détail de façade et sa rosace bigoudène,Atelier Aorin - Landévennec - 2024 Impression papier depuis lavectorisation d’un modèle 3D numérique. Pièce unique. On y joint une édition du projet. 30 x 30 cm An Tremen, projet architectural d’une salle de cérémonie bretonne en Pays Bigouden. Chaumière contemporaine inspirée par le bâti traditionnel et l’artisanat breton. Le projet «An Tremen» est un projet conceptuel de salle de céré monie, installée le long de la baie d’Audierne. Ce projet propose une autre typologie d’espace de cérémonie, non pas uniquement dédié aux funérailles mortuaires laïques, ni uniquement une salle de mariage laïque. Cet espace s’inspire des lieux religieux tels que chapelles et églises, qui accueillent les évènements marquants de chaque étape de la vie, les comprenant comme un tout, un fil conducteur où chaque moment (arrivée, union, départ...) a sa place. Ainsi on rend un dernier hommage à un être cher, dans un beau lieu, où ce même être a pu partager notre joie d’une nouvelle arrivée dans la famille, ou d’une union. «An Tremen» signifie «Le Passage» en breton, il représente donc le passage des différentes étapes marquantes qui composent notre vie. Ce lieu est ouvert à tous, dans le respect des croyances de chacun. «An Tremen» offre un espace de célébration collective ancré et inspiré par le territoire dans lequel il s’intègre, celui de la Bretagne et plus particulièrement celui du pays Bigouden. Il s’inspire de son architecture traditionnelle, sa nature, son artisanat, ses motifs Ainsi, à la manière des Seiz Breur, ce projet propose une nouvelle vision de l’architecture vernaculaire bretonne, en s’adaptant aux contraintes et des problématiques de notre temps. --- Solen MALRIEU, née en 1991 Née en Pays Bigouden, Solen Malrieu est architecte d’intérieur, designer, passionnée par la diversité des cultures et par ce qui les rend uniques. Ce sont ses parents qui lui ont transmis cette curio sité et cet amour pour les arts et traditions populaires. Tous deux dévoués à la mise en valeur et à la préservation du patrimoine breton, notamment celui de la tradition chantée et contée en Bretagne au sein de l’association Dastum. Ses aspirations personnelles l’ont poussée à suivre des études en design et architecture intérieure à l’Ecole de Design Nantes Atlantique, suivi d’un master en design et interculturalités en Inde, toujours dans la même école, dont elle est diplômée en 2014. En Inde, elle travaille au sein de l’agence d’architecture Studio Lotus et de l’organisation Indian National Trust for Art and Cultural Heritage. En 2016, elle poursuit son travail au sein de l’agence K-Studio en Grèce. Elle revient en Bretagne en 2019 où elle travaille jusqu’à la fin de l’année 2023 pour l’agence In and Out architecture. En 2024, elle fonde l’agence de design et d’architecture intérieure Aorin. L’agence est spécialisée dans les rénovations et petites constructions écologiques ainsi que dans la réhabilitation du bâti ancien, à destination des particuliers, commerces, tiers lieux. Le nom Aorin est inspiré du breton a orin (originaire de), dans l’idée de créer des espaces nouant un lien fort avec le contexte dans lequel ils s’inscrivent et ainsi s’inspirer de l’héritage culturel et naturel pour dessiner ses projets.