Null Paolo RIZZATTO et Alberto MEDA, modèle Titania D17 édition Luce PLAN - Une …
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Paolo RIZZATTO et Alberto MEDA, modèle Titania D17 édition Luce PLAN - Une suspension. Réglable en hauteur par un système de contrepoids. Deux éléments métalliques manquants.

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Paolo RIZZATTO et Alberto MEDA, modèle Titania D17 édition Luce PLAN - Une suspension. Réglable en hauteur par un système de contrepoids. Deux éléments métalliques manquants.

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FRANCESCA WOODMAN (Denver, Colorado, 1958-New York, 1981) Sans titre, de la "série des anges", Rome, 1977-1978. Épreuve à la gélatine argentique. Imprimé ultérieurement par Igor Bakht, cachet au verso. Signé par George et Betty Woodman, annoté au crayon au n. 297 "For Igor Kind Ryards". Cachet de crédit PE/FW au verso. Provenance : Collection privée de Foster Glasgow. Dimensions : 15,5 x 15,5 cm (image) ; 26 x 21 cm (papier). Cette photographie appartient à la période romaine de Woodman. Le flou du corps, les présences fantomatiques, la nuit et les spectres composent un tirage suggestif dont l'artiste elle-même est la protagoniste. Woodman plonge dans la partie cachée de son propre être, essayant de rendre visible ce qui est essentiellement invisible. Dans cette série, la photographe utilise des techniques d'exposition longue pour capturer le mouvement, ce qui donne des figures floues qui semblent s'estomper ou se fondre dans leur environnement. Cet effet crée un sentiment de dynamisme et évoque l'idée d'êtres éthérés ou de fantômes. Il a réalisé cette série (Anges) à Rome. Entre 1975 et 1979, alors qu'elle étudie au Providence College of Fine Arts, où Francesca Woodman excelle dans ses capacités artistiques, elle reçoit une bourse du Honors Program qui lui permet de vivre pendant un an dans les installations de l'école au Palazzo Cenci à Rome. Elle rencontre et rejoint un groupe d'artistes liés à la galerie et à la librairie Maldoror. Les propriétaires Giuseppe Casetti et Paolo Missigoi sont attirés par tous ceux qui sont liés aux mouvements d'avant-garde, et plus particulièrement au futurisme, au surréalisme et au symbolisme. Ce sont les propriétaires qui parviennent à inclure Woodman dans une exposition de cinq jeunes artistes à la galerie Ugo Ferranti, où elle est la seule Américaine à participer. Il s'agit de sa première exposition personnelle. C'est à Rome qu'elle réalise certaines de ses œuvres les plus connues à ce jour, telles que "On Being an Angel", "Glove Series", "Self-deceit". Ses photographies reformulent l'image de la femme, Francesca Woodman était une photographe américaine connue pour ses autoportraits intimes en noir et blanc. Elle est diplômée de la Rhode Island School of Design et de l'Université des beaux-arts de Providence. Ses photographies se caractérisent principalement par l'utilisation d'un seul modèle, généralement nu. Il s'agit généralement d'elle, mais dans certaines photographies, elle a représenté plusieurs de ses amis. Le corps capturé par l'appareil photo était généralement en mouvement, en raison des longs temps d'exposition, ou l'image n'était pas nette. Il a également utilisé d'autres techniques, comme se masquer ou essayer de se fondre dans les objets ou l'environnement lui-même. Elle est née dans une famille d'artistes. Dès son plus jeune âge, avec son frère Charles Woodman, elle a été initiée au monde de l'art par ses parents, George Woodman et Betty Woodman, tous deux artistes. Aujourd'hui, ils gèrent des archives de plus de 800 images de leur fille, dont 120 ont été exposées ou publiées. Elle appartient à la génération des femmes d'avant-garde des années 1970 qui ont revendiqué leur contribution et leur vision du monde, qui comprend également des artistes activistes comme Cindy Sherman, Martha Rosler ou Ana Mendieta.

Marguerite LAVRILLIER-COSSACEANU (1893 - 1980) Torse de femme, 1945-1946 Numéroté 2/8 (sur l'avant de la cuisse droite) Epreuve en bronze à patine brun vert Fonte posthume à la cire perdue Coubertin Signé "Margaret Cossaceanu" Cachet du fondeur et millésime (sur l'arrière de la cuisse droit): 1993 Hauteur: 114 cm ; Largeur: 36 cm ; Profondeur: 32 cm «Sa science et ses grands dons spontanés la placent au premier rang parmi la jeune statuaire moderne» écrit Antoine Bourdelle en 1928, à propos de celle qui fut son élève à l'académie de la Grande Chaumière à partir de 1922 avec Germaine Richier et Alberto Giacometti, puis sa collaboratrice jusqu'à sa mort en 1929. Parallèlement, elle devient l'élève et la praticienne de son compatriote installé à Paris, Constantin Brancusi. La jeune femme, née à Bucarest d'une mère professeur de français et d'un père ingénieur, s'est déjà fait remarquer aux beaux-arts de sa ville natale, au sein de l'atelier du sculpteur symboliste Dimitrie Paciuera (1873-1932) puis à Rome. C'est dans la ville éternelle qu'elle rencontre celui qui deviendra son mari, André Lavrillier (1885-1958), premier grand prix de Rome de gravure en médaille en 1914. Salué par des commandes et des expositions, le travail de Marguerite Lavrillier-Cossaceanu est présent avec une trentaine d'œuvres dans les collections publiques en France (musées de la Marine, d'Orsay, de la Monnaie, Cité de la musique…) et à l'étranger. Il s'agit ici de l'un des modèles les plus importants de l'œuvre de Marguerite Lavrillier-Cossaceanu (1893-1980). Il semblerait que le modèle en plâtre de ce Torse soit exposé au Salon d'Automne de 1946 (n°812), et de nouveau au Salon d'Automne de 1962 (n°414). L'épreuve en bronze acquise en 1955 (AMS 390), conservée par le musée d'art moderne de la ville de Paris, est fondue par Susse en 1949. Elle est présentée au Salon d'Automne de 1949 (n°851) et lors de l'exposition organisée par la galerie Bernheim-Jeune en 1952. Enfin, l'œuvre apparaît à l'occasion de la Biennale Formes Humaines qui se tient au musée Rodin en 1968.