Null Photographies de presse principalement sur la Guerre du Pacifique, l'Asie, …
Description

Photographies de presse principalement sur la Guerre du Pacifique, l'Asie, le Japon, la Chine, les Etats-Unis et divers. Ensemble d'une cinquantaine de tirages majoritairement argentiques, contretypes et reproductions. Circa 1940-50. Sur verso de certaines épreuves, légendes (exemples : la guerre dans le Pacifique, quatre sous-marin américains délivrent des prisonniers alliés, les prisonniers japonais à Burma, tanks japonais en action au milieu des japonais, l'artillerie nipponne prépare les victorieux assauts des forces japonaises, une attaque combinée de l'Infanterie et des chars japonais, débarquement nocturne de troupes japonaises, soldats japonais du groupe 'd'information', la guerre d'Extrême-Orient, le brassard de la mort, la mascotte du Front, ravitaillement en munitions, prisonniers japonais, le dentiste japonais, ...) et/ou cachet. Divers états et formats.

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Photographies de presse principalement sur la Guerre du Pacifique, l'Asie, le Japon, la Chine, les Etats-Unis et divers. Ensemble d'une cinquantaine de tirages majoritairement argentiques, contretypes et reproductions. Circa 1940-50. Sur verso de certaines épreuves, légendes (exemples : la guerre dans le Pacifique, quatre sous-marin américains délivrent des prisonniers alliés, les prisonniers japonais à Burma, tanks japonais en action au milieu des japonais, l'artillerie nipponne prépare les victorieux assauts des forces japonaises, une attaque combinée de l'Infanterie et des chars japonais, débarquement nocturne de troupes japonaises, soldats japonais du groupe 'd'information', la guerre d'Extrême-Orient, le brassard de la mort, la mascotte du Front, ravitaillement en munitions, prisonniers japonais, le dentiste japonais, ...) et/ou cachet. Divers états et formats.

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PERE PRUNA OCERANS (Barcelone, 1904 - 1977). "Scène onirique". Huile sur toile. Signée dans le coin inférieur droit. Dimensions : 54 x 73 cm ; 68 x 87 cm (cadre). À cette occasion, Pere Pruna nous plonge dans une scène énigmatique, mettant en scène une jeune fille ailée avec deux taureaux. L'un des taureaux penche la tête et nous ressentons l'intensité de son regard. Une autre figure se découpe sur l'horizon. La scène admet plusieurs interprétations, toutes liées à la vie et à la mort, à la force tellurique matérialisée dans l'animal instinctif et à la spiritualité concrétisée dans la figure angélique. Artiste principalement autodidacte, Pere Pruna a complété sa formation à l'École des beaux-arts de Barcelone. Après avoir commencé à exposer à Barcelone alors qu'il était encore très jeune, il s'est rendu à Paris en 1921, où il a été aidé et guidé par Picasso. Dans la capitale française, il réalise avec succès une exposition personnelle à la galerie Percier et entre en contact avec des intellectuels tels que Cocteau, Drieu la Rochelle, Max Jacob et d'autres, avec lesquels il fonde la revue "Philosophie" en 1924. Serge Diaghilev, qui a visité l'une de ses expositions, lui propose également de créer les décors et les costumes du ballet "Les matelots" en 1925. Depuis lors, il a également travaillé sur d'autres œuvres musicales, telles que "La vie de Polichinele" (1934) et "Oriane" (1938), entre autres. En 1928, il obtient le deuxième prix absolu de l'exposition de l'Institut Carnegie de Pittsburg et, plus tard, à son retour à Barcelone, il obtient d'autres prix tels que le concours "Montserrat vue par les artistes catalans" (1931) ou le prix Nonell (1936). Ce dernier fut entouré de controverse, car Pruna l'obtint pour sa peinture à l'huile "El vi de Chios", pour laquelle il utilisa comme modèle une photographie publiée dans une revue pornographique parisienne. Devant l'émoi suscité, Pruna renonce au prix, mais le jury ratifie sa décision. Après le déclenchement de la guerre civile, Pruna s'installe à Paris et poursuit son activité d'exposition internationale, avec une exposition organisée à Londres en 1937. Parallèlement, il travaille pour les services de propagande de Ridruejo, avec des œuvres telles que l'affiche commémorant la promulgation de la Force de travail, et Eugenio d'Ors, responsable national des beaux-arts, l'introduit auprès de la représentation espagnole à la Biennale de Venise en 1938. Après la guerre, il combine les expositions de peinture de chevalet avec la peinture murale, un genre dans lequel son travail au monastère de Montserrat a été particulièrement célébré. En 1965, il a reçu le prix de la ville de Barcelone et, trois ans plus tard, il a été nommé académicien de la Far de Sant Cristòfor. Pere Pruna est actuellement représenté au musée de Montserrat, où un espace porte son nom, au MACBA de Barcelone et au musée Maricel de Sitges, entre autres.

PRIX NOBEL DE PHYSIQUE – PHOTOGRAPHIE - Gabriel LIPPMANN (1845-1921, physicien franco-luxembourgeois, Prix Nobel de Physique en 1908) / Correspondance de 2 lettres autographes signées, totalisant 6 p in-8, chacune à l’en-tête de la Faculté de Sciences, Laboratoire des recherches à la Sorbonne, Paris, le destinataire n’est pas identifié «Guérault», «Guéroust»?: 1°) Le 2 janvier 1915, il le remercie de l’envoi de son livre qu’il lira avec un vif intérêt, «non seulement par amitié pour vous, mais parce que les sujets que vous traitez, me paraissent intéressants, car nous n’avons pas eu l’occasion de causer entre nous de quelques-uns d’entre eux et que j’ai toujours apprécié la solidité et la sincérité de vos réflexions»; «ma femme m’a dit que vous avez songé à la faire présenter à l’Académie des Sciences, je serai à votre disposition pour ce faire quand vous le voudrez» (nb: fille de Victor Cherbuliez, Laurence Lippmann était collaboratrice de son mari et fut très impliquée dans le développement de la photographie) – 2°) Le 16 février 1915, il félicite son ami, «votre livre est très intéressant, on n’est plus habitué aujourd’hui à des ouvrages qui sortent de certaines spécialités, le votre a la principale qualité d’un livre de grande envergure, il fait réfléchir, c’est tout ce que j’ai le loisir de vous en dire pour le moment, nous en causerons si vous le voulez bien; en attendant je ne sais ce qui a pu vous faire penser que je le jugerai défavorablement, c’est tout le contraire; je sais encore moins pourquoi vous vous imaginez que notre ancienne et très solide amitié a pu diminuer, c’est peut-être mon long silence qui en est la cause, il faut donc que je m’en excuse; vous savez qu’en temps normal nous n’avons guère le temps de nous voir comme je le voudrai, aujourd’hui c’est bien fini; un ou deux jours après notre conversation, je suis parti pour un voyage assez pénible, que je vous raconterai; en revenant j’ai été pris par mes recherches de laboratoire au nom du bien public, j’y examine moins mes démarches tout autres, de sorte que la visite que je me permettais de vous faire en rentrant a dû être remise; je crains de ne pouvoir avoir le plaisir de la faire avant le mois prochain, veuillez malgré cela, être assuré de ma très cordiale amitié»