Null [CÉSAR]. C. JULII CAESARIS quae extant omnia cum Animadversionibus integris…
Description

[CÉSAR]. C. JULII CAESARIS quae extant omnia cum Animadversionibus integris Dion. Vossii, J. Davisii [etc.]. Lugduni Batavorum [Leyde], Boutesteyn & Luchtmans, Delphis [Delft], Adrianum Beman, 1713. Fort volume in-8 vélin ivoire rigide, coutures apparentes, dos lisse, titre calligraphié à l'encre brune (Reliure de l'époque); (8) ff. dont frontispice et titre, portrait et 2 cartes dépliantes, 862 pp., (25) pp. d'index - (2) ff. Ad lectorem, 224 pp. Fente de 2 cm en tête du mors supérieur. JOLIE ÉDITION DÉBUT XVIIIe des œuvres de Jules César. Elle fait partie de la collection variorum, réputée pour son appareil critique, et est illustrée d'un FRONTISPICE gravé par B. Picart, d'un PORTRAIT, de 3 CARTES dépliantes et de 11 GRAVURES h.-t. (dont 5 dépliantes). Exemplaire en BEL ÉTAT, conservé dans sa 1ère reliure en vélin. Des BIBLIOTHÈQUES William Dowdeswell (1721-1775) puis William Charles de Meuron, Earl Fitzwilliam (1872-1943), avec ex-libris héraldique, conservé dans sa 1ère reliure en vélin. ¶ Brunet, I-1456: «Édition recherchée, pour la collection variorum».

80 

[CÉSAR]. C. JULII CAESARIS quae extant omnia cum Animadversionibus integris Dion. Vossii, J. Davisii [etc.]. Lugduni Batavorum [Leyde], Boutesteyn & Luchtmans, Delphis [Delft], Adrianum Beman, 1713. Fort volume in-8 vélin ivoire rigide, coutures apparentes, dos lisse, titre calligraphié à l'encre brune (Reliure de l'époque); (8) ff. dont frontispice et titre, portrait et 2 cartes dépliantes, 862 pp., (25) pp. d'index - (2) ff. Ad lectorem, 224 pp. Fente de 2 cm en tête du mors supérieur. JOLIE ÉDITION DÉBUT XVIIIe des œuvres de Jules César. Elle fait partie de la collection variorum, réputée pour son appareil critique, et est illustrée d'un FRONTISPICE gravé par B. Picart, d'un PORTRAIT, de 3 CARTES dépliantes et de 11 GRAVURES h.-t. (dont 5 dépliantes). Exemplaire en BEL ÉTAT, conservé dans sa 1ère reliure en vélin. Des BIBLIOTHÈQUES William Dowdeswell (1721-1775) puis William Charles de Meuron, Earl Fitzwilliam (1872-1943), avec ex-libris héraldique, conservé dans sa 1ère reliure en vélin. ¶ Brunet, I-1456: «Édition recherchée, pour la collection variorum».

Les enchères sont terminées pour ce lot. Voir les résultats

Vous aimerez peut-être

*TIRAQUEAU (André). Opera omnia, quae hactemus extant, Septem Tomis distincta : quorum hic Primus continet libros : De Nobibilitate et Ivre Primigeniorum [...] Francfort, sn, 1574. In-folio de [12] ff. (dont titre dans un très bel encadrement gravé avec armes gravées au verso, grandes armes gravées à la dédicace et beau portrait de l'auteur gravé), 531 pp. et [19] ff. d'index. Restes de reliures (premier ais de bois avec restes de fermoirs et dos). Le jurisconsulte André Tiraqueau (1488-1558), juge prévôtal et lieutenant-général du Sénéchal du Poitou à Fontenay-le-Comte, accueillit dans son Cénacle de Fontenay-le-Comte (un cercle d'érudits composé principalement de juristes et de grands humanistes, philosophes, connaisseurs de littérature antique, philologues, historiens et médecins) les jeunes moines Pierre Lamy et François Rabelais qui le prit pour modèle du personnage de Trinquamelle dans Gargantua et Pantagruel. Le Tiers Livre est par ailleurs en grande partie inspiré du De legibus (« Traité des lois ») de Tiraqueau. Il entretint des rapports amicaux avec Christofle de Thou, Michel de l'Hospital et Charles Dumoulin. En 1541, il fut appelé par le roi à siéger au Parlement de Paris, après avoir refusé, quelques années auparavant, un siège au Parlement de Bordeaux. Ses connaissances encyclopédiques et sa finesse d'esprit lui valurent d'être appelé par Théodore de Bèze « le Varron de son siècle ». L'œuvre d'André Tiraqueau fut de première importance pour le développement de la culture juridique française et connut un très grand succès. Il a écrit de nombreux traités, dont les plus fameux sont le De nobilitate (« Traité de la noblesse ») et le De poenis temperandis (« Traité de la modération des peines »). La valeur de ses écrits, inspirés des auteurs grecs et latins (Platon, Aristote, Galien et Cicéron) ne réside pas tant dans l'apport de solutions neuves que dans la contribution qu'il apporta, en temps de troubles, à la réorganisation des diverses institutions juridiques, à la frontière du droit commun et du droit coutumier. Tiraqueau réactiva la Querelle des femmes en affirmant, dans son traité De legibus connubialibus le rôle protecteur du mari et, partant, la supériorité de l'homme sur la femme. Le Tiers livre de Rabelais se fait écho de certaines de ses idées par l’intermédiaire de Panurge. (source Wikipédia.)