Description
Jules COIGNET (1798-1860) Cimetière en pays ottoman (environs d’Istanbul ?) Huile sur toile. Signée en bas à gauche. 43 x 67cm Beau cadre en bois stuqué et doré du XIXe siècle. Entre 1844 et 1846, Jules Coignet visite la Turquie, le Liban, l’Egypte. Il expose au Salon de 1849 deux tableaux sur Constantinople ; Les Eaux Douces d’Asie et un second intitulé Vue du château d’Europe - Bosphore, Elève de Jean-Victor Bertin, Coignet apprend les principes du paysage classique mais appartient aussi à la génération des paysagistes voyageurs (Rémond, Giroux) qui renouvellent le genre en pratiquant l’étude des motifs en plein air, la réalisation de la composition définitive s’effectuant ensuite en atelier. Doté d’une grande sûreté de crayon et d’une habileté de facture exceptionnelle, il devint l’un des paysagistes les plus reconnus de son époque. Notre tableau représente une mosquée et un cimetière pittoresque dans la montagne probablement aux environs d’Istanbul. Il est incontestablement une réussite de l’Orientalisme turc où la description réaliste de la vie ottomane est baignée du climat romantique, alors en vogue, dans la peinture française.
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Jules COIGNET (1798-1860) Cimetière en pays ottoman (environs d’Istanbul ?) Huile sur toile. Signée en bas à gauche. 43 x 67cm Beau cadre en bois stuqué et doré du XIXe siècle. Entre 1844 et 1846, Jules Coignet visite la Turquie, le Liban, l’Egypte. Il expose au Salon de 1849 deux tableaux sur Constantinople ; Les Eaux Douces d’Asie et un second intitulé Vue du château d’Europe - Bosphore, Elève de Jean-Victor Bertin, Coignet apprend les principes du paysage classique mais appartient aussi à la génération des paysagistes voyageurs (Rémond, Giroux) qui renouvellent le genre en pratiquant l’étude des motifs en plein air, la réalisation de la composition définitive s’effectuant ensuite en atelier. Doté d’une grande sûreté de crayon et d’une habileté de facture exceptionnelle, il devint l’un des paysagistes les plus reconnus de son époque. Notre tableau représente une mosquée et un cimetière pittoresque dans la montagne probablement aux environs d’Istanbul. Il est incontestablement une réussite de l’Orientalisme turc où la description réaliste de la vie ottomane est baignée du climat romantique, alors en vogue, dans la peinture française.
