ORESTE INNOCENTI (1865-1949) ''La nourriture du corps et celle de l'esprit''
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Description

ORESTE INNOCENTI (1865-1949)

''La nourriture du corps et celle de l'esprit'' Tableau en marqueterie de pietra dura représentant un vieux couple attablé, Madame priant son chapelet et Monsieur déjeunant. Signé en haut à gauche. Hauteur : 40 cm - Largeur : 63 cm Dans un encadrement guilloché de bois noirci. (Très bel état)

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ORESTE INNOCENTI (1865-1949)

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SOUPIERE couverte de forme ovale en argent posant sur un piédouche. Le corps et le couvercle décorés en repoussé de branches fleuries. Les anses mouvementées à attache rocaille. Le fretel en forme de fruit sur tertre formé d'une branche feuillagée. L'intérieur vermeillé. CELLE, vers 1770 Orfèvre : Georg Carl BRENNER (1754-1814) H. 25 cm L. aux anses 36 cm Poids : 1.840 kg (petits enfoncements dans le couvercle) Poinçons sur le fond du corps : Lettre C, poinçon de Celle et de l'orfèvre Poinçon sur la gorge du couvercle : Striche Quatre poinçons de charançon sur le corps et le couvercle Poinçon de Celle et poinçon de l'orfèvre uniquement sur le corps de la soupière De nombreux orfèvres se sont installés dans les environs de Celle, ville de Basse Saxe et lieu de résidence de Maison de Brunswick-Lunebourg de 1433 à 1705. Les orfèvres travaillaient pour la cour, l'Eglise et pour de riches clients de la noblesse et de la bourgeoisie. Après le ralentissement économique provoqué en 1705 par la mort du duc Georg Wilhelm (1624-1705) la résidence de Celle fut dissoute et transférée à Hanovre. Elle perdit de son importance et de sa splendeur, néanmoins les orfèvres ont continué à fabriquer des œuvres de grande qualité pour la noblesse locale et la cour de Hanovre, comme en témoigne notre soupière. Le musée de la Résidence du château de Celle renferme une riche collection d’orfèvrerie dont plusieurs pièces de l’orfèvre Carl Georg Brenner, parmi lesquelles un important centre de table à quatre lumières. Provenance | Collection Toulonnaise, selon la tradition et un article paru dans le Figaro en 1977 chronique de Yves Dentan, l'écrivain Goethe l'aurait offerte à Charlotte Buff, l'héroine de son "Werther", lorsqu'elle épousa, le 4 avril 1773, Jean-Christien Kestner. Cet article est paru quelques jours avant que cette pièce soit vendue aux enchères à Paris. La chronique complète est disponible sur demande. Expert | Cabinet E-S Portier