Null ISABEY Eugène Louis Gabriel (1803-1886)
Rouen. Vieille maison normande
Dess…
Description

ISABEY Eugène Louis Gabriel (1803-1886) Rouen. Vieille maison normande Dessin à la mine de plomb et rehauts de gouache, signé en bas à droite, situé en bas à gauche 19,5 x 10,5 cm Exposition : « Un certain regard. 1850-1950 », Hôtel de Ville, Aulnay-sur-Bois, 1994, n°2. Collection Barrie-Chevalier

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ISABEY Eugène Louis Gabriel (1803-1886) Rouen. Vieille maison normande Dessin à la mine de plomb et rehauts de gouache, signé en bas à droite, situé en bas à gauche 19,5 x 10,5 cm Exposition : « Un certain regard. 1850-1950 », Hôtel de Ville, Aulnay-sur-Bois, 1994, n°2. Collection Barrie-Chevalier

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PRE SAINT GERVAIS (93) - PAPIERS PEINTS XVIIIème / Reliques de 2 fragments de papiers peints, dont l’ancien collectionneur raconte l’histoire: il les a acheté le 4 mai 1901 aux démolisseurs d’une maison du 90 rue Platrière au Pré Saint-Gervais, maison qui était dite de la «Belle Gabrielle» (Gabrielle d’Estrée, la maitresse de Henri IV), maison qui aurait abrité leurs passions amoureuses – De fait, passionné d’histoire, il voudrait faire arrêter la démolition de ce patrimoine et alerte son ami Paul Delay, journaliste à l’Echo de Paris, et par une lettre de ce dernier (aut. sign. de 4 p), on apprends qu’il a enquêté et s’est rendu sur place avec un spécialiste et en fait cette maison était tout au plus du Louis XIII, «d’ailleurs les peintures du plafond sont de Dupuis qui naquit en 1608 alors que Gabrielle mourait en 1599», certainement la maison initiale a-t-elle été en partie transformée – Le journaliste a appris que le nouveau propriétaire était le Comte Foy (petit-fils du général d’Empire) et qu’il avait déjà vendu le plafond à un antiquaire – Notre collectionneur a continué d’enquêter sur cette maison et on joint un ensemble de notes et documents, y compris la carte de l’acheteur du plafond de Dupuis – Le collectionneur suppose que les 2 fragments de papiers-peints sont de la Fabrique de Jean-Baptiste Révillon (1725-1811), le plus petit a dessous une première couche d’imprimé XVIIIème et une deuxième de fragments de manuscrits du XVIIème en réemploi pour soutenir le papier-peint