Null Florence Dominique DERIVE (1945)
Jardin - Contre Jour, 2009-2010
Acrylique …
Description

Florence Dominique DERIVE (1945) Jardin - Contre Jour, 2009-2010 Acrylique sur toile de lin, signée en bas à gauche, contresignée, titrée et datée au dos 195 cm x 130 cm Cette toile fait partie d’une série Jes Jardins- exécutée au mouchoir froissé (monotype). Les oeuvres sur papier ont été exposées à la galerie Albert Merola Provincetown (MA. USA) et à la galerie Giordon Robichaux NewYork. "Nous observons dans la nature tous les éléments, graphiques, formels, colorées, permettant d’exprimés nos états d‘âme. Leurs représentations, leurs interprétations formelles et colorées sur toile permettent de partager avec le spectateur, nos ressentis; une certaine vision de la vie et de ce monde qui est le notre." Florence Dominique Derive.

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Florence Dominique DERIVE (1945) Jardin - Contre Jour, 2009-2010 Acrylique sur toile de lin, signée en bas à gauche, contresignée, titrée et datée au dos 195 cm x 130 cm Cette toile fait partie d’une série Jes Jardins- exécutée au mouchoir froissé (monotype). Les oeuvres sur papier ont été exposées à la galerie Albert Merola Provincetown (MA. USA) et à la galerie Giordon Robichaux NewYork. "Nous observons dans la nature tous les éléments, graphiques, formels, colorées, permettant d’exprimés nos états d‘âme. Leurs représentations, leurs interprétations formelles et colorées sur toile permettent de partager avec le spectateur, nos ressentis; une certaine vision de la vie et de ce monde qui est le notre." Florence Dominique Derive.

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Grand masque animalier agbanabo. Igala, Nigeria. H 48 cm. Publié et exposé ! Représenté dans : K.-F. Schaedler, Encyclopedia of African Art and Culture, (2009), p. 281. Exposé : 2010 à la galerie Pixis, Munich, Kurfürstenstraße. Les Igala sont un grand groupe ethnique qui vit au sud-est du confluent du Niger et de la Bénoué et qui compte environ 400.000 personnes. Deux jours par an - un jour pendant la saison des pluies et un jour pendant la saison sèche - les Igala rendent hommage à leurs ancêtres qui vivent dans le pays des morts. Ces jours sont appelés Ote Egu, littéralement boissons pour les esprits, et tous les masques des ancêtres apparaissent et dansent. Il existe en outre une série de masques royaux, dont le plus important consiste en un costume en tissu orné de différents emblèmes appliqués, qui présente à nouveau, de manière intéressante, des motifs des vêtements rituels des Jukun. Le masque de casque proposé ici, extrêmement rare, a la forme d'une tête de babouin avec un museau allongé typique et des yeux cerclés de blanc. La coiffure est constituée d'une masse noire dans laquelle étaient insérés, comme pour les masques de conception humaine, des haricots d'écorce (il n'en reste que quelques-uns). Jusqu'à présent, seul un autre masque de babouin a été publié. Il a été photographié in situ à Idah, la capitale des Igala, par Kenneth Murray en 1949, également avec les yeux entourés de blanc. On trouve parfois des masques de singe chez d'autres groupes ethniques d'Afrique, par exemple chez les Hemba en R.D. Congo (soko mutu), mais il s'agit probablement pour cette espèce d'une reproduction physionomique d'un chimpanzé. Sinon, les masques de babouin ne sont connus chez aucun autre groupe ethnique d'Afrique et même chez les Igala, ils n'apparaissent que lors de certaines mascarades, les fêtes pour les morts.