Description
Nicolas PETIT 1732-1791) et Jean SOLTZER (Maître le 17 juin 1778 et mort en 1783) COMMODE En acajou et placage d’acajou, ouvrant par cinq tiroirs, sur pieds fuselés cannelés. Belle ornementation de bronze doré. Dessus de marbre blanc veiné. Double estampille. Epoque Louis XVI. Haut. 89 ; Larg. 126 ; Prof. 56 cm. Restaurations. Note. Cette double estampille est assez rare pour être soulignée, Nicolas Petit n'est plus à présenter, assurant d'importantes commandes tout le long de sa carrière, du style Transition au Louis XVI. Son mobilier est présent dans les grandes collections muséales. L’estampille de Jean Soltzer est, quant à elle, plus rare, cet ébéniste n'ayant connu qu'une courte carrière. Sa veuve conservera son atelier jusqu’à la Révolution Française. Il est donc probable que Nicolas Petit soit intervenu ici à la demande de son confrère ou que la Veuve de Jean Soltzer avait une commande à honorer suite à la mort de son mari.
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Nicolas PETIT 1732-1791) et Jean SOLTZER (Maître le 17 juin 1778 et mort en 1783) COMMODE En acajou et placage d’acajou, ouvrant par cinq tiroirs, sur pieds fuselés cannelés. Belle ornementation de bronze doré. Dessus de marbre blanc veiné. Double estampille. Epoque Louis XVI. Haut. 89 ; Larg. 126 ; Prof. 56 cm. Restaurations. Note. Cette double estampille est assez rare pour être soulignée, Nicolas Petit n'est plus à présenter, assurant d'importantes commandes tout le long de sa carrière, du style Transition au Louis XVI. Son mobilier est présent dans les grandes collections muséales. L’estampille de Jean Soltzer est, quant à elle, plus rare, cet ébéniste n'ayant connu qu'une courte carrière. Sa veuve conservera son atelier jusqu’à la Révolution Française. Il est donc probable que Nicolas Petit soit intervenu ici à la demande de son confrère ou que la Veuve de Jean Soltzer avait une commande à honorer suite à la mort de son mari.
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